Bonjour et merci à Enrok pour cette belle image empreinte de nostalgie, de réflexion sur la destinée végétale, et (par analogie) sur la nôtre aussi, parce que nous ne serons pas éternellement aussi forts qu'un arbre (un chêne ?) : nous sommes nés roseau et retournerons au néant...
Cette image - comme irradiée - évoque spontanément en moi cette photo d’un mur d’Hiroshima sur lequel une victime a projeté son ombre, telle l’effrayant souvenir de la barbarie…
Jean D.

