Posté: mardi 31 mai 2005 - 21:33
Merci à tous pour l'intérêt que vous portez à cette photo !
Cette petite fille est une enfant de la DASS, qui habite depuis quelques années, avec sa soeur, chez ma marraine, éducatrice de son état, en tout point comparable à la "Jeanne" de Brassens (je t'embrasse Biquette si tu lis ce fil). Cela donne au sourire son poids d'histoire.
Le village est Barfleur, havre familial du côté des grands-parents maternels depuis des temps quasiment immémoriaux. Pou y aller c'est très simple : le Cotentin, "tout au bout à main droite". Attention, la route s'arrête dans le port, c'est un cul de sac.
Ginko, la petite maison est un phare. Même si je ne l'ai pas spécialement voulue, elle est là, discrète dans l'image, comme un élément de cette réalité : nous somme dans un port, sur une cale, en face de l'Angleterre, à marée basse. Si j'avais cadré comme le suggère Daniel, tout ce commentaire serait gratuit : on dirait 'prouve-le'.
Prouve-le. Cette énergique apostrophe devrait continuer à servir de viatique à tous les photoreporters du monde, même à l'époque où la technique permet de rajouter des barbes et de gommer les amers...
Bises à tous
JY
Cette petite fille est une enfant de la DASS, qui habite depuis quelques années, avec sa soeur, chez ma marraine, éducatrice de son état, en tout point comparable à la "Jeanne" de Brassens (je t'embrasse Biquette si tu lis ce fil). Cela donne au sourire son poids d'histoire.
Le village est Barfleur, havre familial du côté des grands-parents maternels depuis des temps quasiment immémoriaux. Pou y aller c'est très simple : le Cotentin, "tout au bout à main droite". Attention, la route s'arrête dans le port, c'est un cul de sac.
Ginko, la petite maison est un phare. Même si je ne l'ai pas spécialement voulue, elle est là, discrète dans l'image, comme un élément de cette réalité : nous somme dans un port, sur une cale, en face de l'Angleterre, à marée basse. Si j'avais cadré comme le suggère Daniel, tout ce commentaire serait gratuit : on dirait 'prouve-le'.
Prouve-le. Cette énergique apostrophe devrait continuer à servir de viatique à tous les photoreporters du monde, même à l'époque où la technique permet de rajouter des barbes et de gommer les amers...
Bises à tous
JY