
J'ai un pote qui expose en ce moment à la galerie de la petite poule noire (Paris 4ème) un travail sur Beyrouth fait au M9 (+ film).
C'est un très beau travail qui interroge sur le temps passé et présent.
Les plus grands formats sont en 80x120 et c'est vraiment à voir, jusqu'au 25 novembre !
C'est ici La petite poule noire
Sinon pour les autres expos de l'agence c'est ici :
MYOP in Paris


"Il y a le temps d’avant. Et le temps d’après. La cassure, 1975, est la date de la guerre civile qui a embrasé le Liban.
Dans les images de Stéphane Lagoutte, on retrouve les évocations d’une vie balayée à tout jamais, le murmure de fantômes chéris qu’on tente, en vain et pourtant inlassablement, de ramener à soi, la bouleversante palpitation de ce qui n’est plus. De l’autre côté de la cassure, surgit le Liban d’aujourd’hui couturé des cicatrices qu’a laissées le conflit dans son paysage urbain.
Entre ces deux époques, ces deux ères, ces deux mondes, s’ébauche un dialogue subtil par un processus patient reposant sur des recherches d’archives, des superpositions et un travail très délicat de la tonalité. Pour tisser, peut-être, un avenir commun…".
C'est un très beau travail qui interroge sur le temps passé et présent.
Les plus grands formats sont en 80x120 et c'est vraiment à voir, jusqu'au 25 novembre !
C'est ici La petite poule noire
Sinon pour les autres expos de l'agence c'est ici :
MYOP in Paris

"Il y a le temps d’avant. Et le temps d’après. La cassure, 1975, est la date de la guerre civile qui a embrasé le Liban.
Dans les images de Stéphane Lagoutte, on retrouve les évocations d’une vie balayée à tout jamais, le murmure de fantômes chéris qu’on tente, en vain et pourtant inlassablement, de ramener à soi, la bouleversante palpitation de ce qui n’est plus. De l’autre côté de la cassure, surgit le Liban d’aujourd’hui couturé des cicatrices qu’a laissées le conflit dans son paysage urbain.
Entre ces deux époques, ces deux ères, ces deux mondes, s’ébauche un dialogue subtil par un processus patient reposant sur des recherches d’archives, des superpositions et un travail très délicat de la tonalité. Pour tisser, peut-être, un avenir commun…".