Bonsoir,
Je n'avais pas vu votre message.
La démarche est très simple et il faut commencer par dissocier l'outil de captation de l'outil de diffusion.
On tourne des films encore en argentique aujourd'hui (le nombre de films tournés en pellicule ne cesse de monter tous les ans, voir par exemple à Cannes, les chiffres le démontrent depuis 2016) car ça amène, entre autre, une autre signature à l'image. Ce n'est pas mieux ni moins bien, c'est juste différent. On aime, on aime pas, ce n'est pas la question.
Aujourd'hui, on scanne très bien, on peut donc retrouver la matière de la pellicule, le côté organique qu'on arrive à numériser pour le retrouver jusqu'au tirage jet d'encre. On a donc les avantages d'un support analogique et d'une post-prod numérique.
Une image numérique (capteur) a d'autres particularités très intéressantes, mais elle est plus chirurgicale, plus parfaite... c'est souvent pour ces raisons, et des milliers d'autres, que parfois, ça fait du bien de retrouver 36 poses et pas une de plus.
J'espère que cette réponse vous éclairera (un peu) sur une pratique différente de la vôtre.
Bonne soirée.
dominique.L a écrit :
je ne comprend pas la démarche.
Retour à l'argentique certes mais si c'est pour numériser après autant prendre un appareil photo numérique, sauf pour numériser des anciens négatifs ou diapositives.
En 135 un reprodia avec un soufflet et un objectif d'agrandisseur voire un macro ça le fait, et pour peu que l'on branche le numérique sur l"ordi avec le logiciel qui va bien on a la même qualité qu'avec le coolscan la rapidité en plus.
J'ai ainsi numérisé des vieux négatifs 6,5 x 11 de mon grand père sans problème en utilisant le statif de mon agrandisseur pour soutenir appareil numérique.
Fournitures :sony a7r3, soufflet canon fd, focotar 50 , les bagues adaptées,Imac, câble usb, Imaging edge desktop. vuescan pour inversion des négatifs couleurs, puis Affinity photo ou autre.
Autre avantage cela recharge la batterie de l'appareil "en même temps".