En même temps il est quelque peu naïf de croire que, même avec une grosse agence comme VU, on va pouvoir vendre aux journaux la photos de "contractuels" (mercenaires) américains brûlés jusqu'à ressembler à des tas de charbon de bois. C'est le genre d'images qui passerait à la limite dans un livre...
Gilles Peress disait que la photo de guerre avait entamé sa mutation au début des années 90 : pour trouver des financements Peress avait abandonné le monde de la presse pour celui des institutions (genre Fondation de France). Visiblement Greene a eu du mal à suivre le même chemin...
Posté: mercredi 31 mai 2017 - 21:01
par Fift
DRUON a écrit :
pat69 a écrit :
C'est triste, oui, mais bon....
oui, tout à fait d'accord.
je vais pas très fort non plus, et j'en fais pas tout un plat.
Si je me réfère aux interventions précédentes de Druon, ça ressemble très fort à du second degré. (pas facile à saisir ceci dit, et peut-être un peu déplacé à mon goût).