Voigtlander Super-Heliar 12 mm

Je n'ai pas encore de photos faites avec. Une photo de Fil à Montpellier m'avait impressionnée. Alors j'ai craqué.
Ce post uniquement pour vous faire part de mon sentiment face à l'objet : c'est du niveau du Color-Skopar 28 que j'ai également, c'est-à-dire d'une construction supérieure aux Leica modernes, presque égale aux Leitz de la grande époque (le Summaron 3,5 cm notamment - je ne parle ici que des montures à vis).
La rampe hélicoïdale est en bronze. Les parties chromées sont magnifiquement satinées. Tout les jeux sont "serrés" idéalement, ni trop ni trop peu. La bague de diaph est crantée aux demi-valeurs, très espacées. La bague de MAP est également crantée en 3 segments ! Il faut le voir pour le croire... Et vu le prix on croit encore plus qu'on rêve... Le pare-soleil peint en noir craquelé, le bouchon d'objectif avec son joint de velours bleu, les superbes reflets, très denses, du traitement multicouche, ... aucune faute de goût et une réalisation exemplaire. Sans parler du viseur, une pièce de musée en soi, qui procure une image d'une taille incroyable, et qui est encore plus contrasté que celui du 28. En basse lumière, il semble plus lumineux que l'air...
Donc je dis :
1. Merci les Japonais de nous montrer encore une fois la voie (c'est vrai que le premier qui l'a fait, Lao Tseu, vous avez toutes et tous lu Tintin, était, lui, chinois)
2. Et vous les Européens, arrêtez avec les "à la carte" en lézard rouge et RESSORTEZ NOUS les merveilles de Leitz (avec le même cahier des charges pour la mécanique et éventuellement des formules optiques améliorées). Sinon les Leica à vis seront progressivement tous équipés d'objectifs Cosina... Pour le plus grand bonheur des amoureux de beau matériel !
Ce post uniquement pour vous faire part de mon sentiment face à l'objet : c'est du niveau du Color-Skopar 28 que j'ai également, c'est-à-dire d'une construction supérieure aux Leica modernes, presque égale aux Leitz de la grande époque (le Summaron 3,5 cm notamment - je ne parle ici que des montures à vis).
La rampe hélicoïdale est en bronze. Les parties chromées sont magnifiquement satinées. Tout les jeux sont "serrés" idéalement, ni trop ni trop peu. La bague de diaph est crantée aux demi-valeurs, très espacées. La bague de MAP est également crantée en 3 segments ! Il faut le voir pour le croire... Et vu le prix on croit encore plus qu'on rêve... Le pare-soleil peint en noir craquelé, le bouchon d'objectif avec son joint de velours bleu, les superbes reflets, très denses, du traitement multicouche, ... aucune faute de goût et une réalisation exemplaire. Sans parler du viseur, une pièce de musée en soi, qui procure une image d'une taille incroyable, et qui est encore plus contrasté que celui du 28. En basse lumière, il semble plus lumineux que l'air...
Donc je dis :
1. Merci les Japonais de nous montrer encore une fois la voie (c'est vrai que le premier qui l'a fait, Lao Tseu, vous avez toutes et tous lu Tintin, était, lui, chinois)
2. Et vous les Européens, arrêtez avec les "à la carte" en lézard rouge et RESSORTEZ NOUS les merveilles de Leitz (avec le même cahier des charges pour la mécanique et éventuellement des formules optiques améliorées). Sinon les Leica à vis seront progressivement tous équipés d'objectifs Cosina... Pour le plus grand bonheur des amoureux de beau matériel !
