Au cœur de la Russie, loin des grandes villes et des routes neuves, subsistent des villages que le temps oublie.
Quelques maisons en bois, des fenêtres fermées depuis des années, et parfois encore une silhouette : une vieille femme, un homme seul, gardiens silencieux d’un monde qui s’éteint.
Ces visages portent la mémoire des autres Russies — celles des campagnes, de la terre… Derrière leurs regards se lit le sentiment d’abandon. L’État ne vient plus mais curieusement, dans ce vide, seule persiste l’idée d’une grande Russie, immense et fière, qui semble pourtant avoir tourné le dos à ses racines les plus profondes.
Mon projet photographie cette frontière entre présence et disparition, entre mémoire et oubli. C’est une chronique du retrait, un hommage à celles et à ceux qui demeurent, et à ces villages qui, peu à peu, s’effacent du paysage et de la conscience collective.
Je vous propose quelques images de cette nouvelle série.
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20.

Merci.
Quelques maisons en bois, des fenêtres fermées depuis des années, et parfois encore une silhouette : une vieille femme, un homme seul, gardiens silencieux d’un monde qui s’éteint.
Ces visages portent la mémoire des autres Russies — celles des campagnes, de la terre… Derrière leurs regards se lit le sentiment d’abandon. L’État ne vient plus mais curieusement, dans ce vide, seule persiste l’idée d’une grande Russie, immense et fière, qui semble pourtant avoir tourné le dos à ses racines les plus profondes.
Mon projet photographie cette frontière entre présence et disparition, entre mémoire et oubli. C’est une chronique du retrait, un hommage à celles et à ceux qui demeurent, et à ces villages qui, peu à peu, s’effacent du paysage et de la conscience collective.
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