Excellentissime, si, j'insiste ! Photographies d'une fort belle qualité et ouvrage documentaire parfait car tellement révélateur... d'une sacrée pathologie.
Inutile en effet d'être Jacobin pour deviner que pour ceux-ci qui ont un problème de dent... contre l'autre identité qui nous réunit pourtant ou simplement de rassemblement pour le fest-noz -pardon, c'est mon petit côté taquin-, Bouétard ou Léostic sont de simples nom de rue.
Allez, tiens, moi qui les connais -pas ceux qui tentent de se cultiver le pois chiche en calebasse bouchée, enfin si, mais surtout les 2 derniers dont l'âme est noble- et suis peut-être un peu Breton à force d'en avoir côtoyé tant d'excellents, d'avoir avec eux servi -pas que la boisson- et bu aussi, je vous propose de faire aussi de ce gamin que je pleure un Breton d'honneur, lui que seul Dieu connaît, en paix à 2 pas de la rue de la Marine, les érudits sauront où et qu'importe si cette terre qui l'entoure soit d'Islam après avoir été Française ou un peu même Bretonne.
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Il n'y a qu'une seule manière d'avoir la paix hormis être Suisse.
« J'ai pris cent francs et ma carte d'identité. A Dieu vat ! Je veux être français, français encore, français toujours! »Voilà paroles de Breton comme j'aime... ne vous y trompez pas, c'est aussi et surtout pour les deux mots qui suivent liberté qu'elles sont écrites, faisant ainsi fi des frontières et d'un isolationnisme imbécile plus qu'intéressé.
En voyant ces bonnes bouilles d'évidence bien incapables de s'opposer aux marcheurs au pas de l'oie si même ils savaient seulement identifier la menace de ceux qui les animent, mes bons amis classés apatrides du simple fait d'avoir trop de racines à force d'être de toutes les aventures, j'imagine que nous ne pourrons bientôt plus pouvoir faire nombre au fest-noz sans n'être qu'étrangers à plumer.
Allez, Bretons même de robe à défaut de l'être d'épée, même si les travaux de John Maynard sont pour vous du Chinois, reconnaissez que le Chouchen n'est vraiment bon que s'il est partagé.
Soyez tolérant déjà pour ma pomme qui parle le Grec ancien sous la torture et m'y remettrai volontiers si cela pouvait apporter la paix, même né de père savoyard de père inconnu, mère de Saône-et-Loire à tendance Meurthe et Moselle, donc enfantant ma pomme à Paname 18ième arrondissement, voisins qui assuraient le tour de garde auprès de ma personne à gauche naturellement Grec et à droite péripatéticienne Polonaise qui faisait allégeance au Calvados tous les matins -et ceci est la stricte vérité, d'où mon aptitude à la diplomatie-.
Quant au reste, il y aurait de quoi écrire un bouquin a archiver à l'INA ; je sais, vous vous en foutez autant que moi de la pensée d'édentés superbes de naïveté et après avoir tant oeuvré pour préserver leurs abatis, du coup m'en vais-je biberonner mes chatons de félins (des quintuplés, tous européens bicolores, allez savoir pourquoi), cela a-t-il au moins de l'importance.
Nonobstant toute considération politique, quel savoir-faire d'aussi bien démontrer l'absurde pour le journaliste, qui plus est au Leica.