
Richesses du musée Solent de Southampton.
Tu montes, chéri...

Tout gentleman ayant biberonné l'adrénaline distillée en cocktail et qui caressa son manche -non, pas celui-là, l'autre- rêve d'être un jour ou l'autre dans un habitacle de « Spitfire ».
Preuve flagrante qu'un hydravion tangue et roule aussi.

Messieurs, un peu de sérieux, c'est par ici qu'il faut regarder ; certes fut-il un temps ou il était agréable d'admirer les si élégantes passagères... et de plus souvent riches qui montaient à bord.

Car c'est par là qu'est la plage ou nous allions, celle maintenant couverte d'improbables... plagistes trop souvent en short il est vrai -non, pas celui dont il est ici question, le panty d'homme, bon enfin pas toujours-.

« Un jour comme tout s'efface, ils nous oublieront, comme ils oublient déjà ce contre lequel nous avons tant oeuvré et ce pour lequel nous avons tant donné... »

Un message, pourquoi, vous avez envie d'en transmettre ? (Robert Mitchum, the enemy below de Dick Powell, 1957).

« Un jour et même si cela fut illusion ceux-ci s'envolèrent et s'élevèrent ensemble pour que l'espace d'un moment l'on crut en finir avec la barbarie de ceux qui n'existent qu'à cause de la naïveté des autres. » Travaux en service commandé.

Savez-vous que, fait tout à fait exceptionnel dans l'histoire si discrète, ce fut un modeste français qui prit le commandement de l'escadrille (ou escadron si vous voulez) 143 de la Royal Air Force en 1944 ; l'homme qui fut mobilisé comme simple soldat... dans les Zouaves. Salut à toi, Squadron leader « Max » dont la flamme s'éteignit justement en Janvier, avocat d'une cause si simple qu'elle se résume en 3 mots et si difficile a faire admettre de nos jours, semble-t-il.
Du coup m'en vais-je en ton honneur tirer sans protection ni permission... quelques bouffées d'un Roméo et Juliette.
Bonne année à tous.
Cadeau : un superbe 12 cylindres signé avec un sacré muscle.

Tu montes, chéri...

Tout gentleman ayant biberonné l'adrénaline distillée en cocktail et qui caressa son manche -non, pas celui-là, l'autre- rêve d'être un jour ou l'autre dans un habitacle de « Spitfire ».
Preuve flagrante qu'un hydravion tangue et roule aussi.

Messieurs, un peu de sérieux, c'est par ici qu'il faut regarder ; certes fut-il un temps ou il était agréable d'admirer les si élégantes passagères... et de plus souvent riches qui montaient à bord.

Car c'est par là qu'est la plage ou nous allions, celle maintenant couverte d'improbables... plagistes trop souvent en short il est vrai -non, pas celui dont il est ici question, le panty d'homme, bon enfin pas toujours-.

« Un jour comme tout s'efface, ils nous oublieront, comme ils oublient déjà ce contre lequel nous avons tant oeuvré et ce pour lequel nous avons tant donné... »

Un message, pourquoi, vous avez envie d'en transmettre ? (Robert Mitchum, the enemy below de Dick Powell, 1957).

« Un jour et même si cela fut illusion ceux-ci s'envolèrent et s'élevèrent ensemble pour que l'espace d'un moment l'on crut en finir avec la barbarie de ceux qui n'existent qu'à cause de la naïveté des autres. » Travaux en service commandé.

Savez-vous que, fait tout à fait exceptionnel dans l'histoire si discrète, ce fut un modeste français qui prit le commandement de l'escadrille (ou escadron si vous voulez) 143 de la Royal Air Force en 1944 ; l'homme qui fut mobilisé comme simple soldat... dans les Zouaves. Salut à toi, Squadron leader « Max » dont la flamme s'éteignit justement en Janvier, avocat d'une cause si simple qu'elle se résume en 3 mots et si difficile a faire admettre de nos jours, semble-t-il.
Du coup m'en vais-je en ton honneur tirer sans protection ni permission... quelques bouffées d'un Roméo et Juliette.
Bonne année à tous.
Cadeau : un superbe 12 cylindres signé avec un sacré muscle.
