Tout est dans tout et inversement, en effet.
Quelque soit le plaisir que l'on prend à photographier en argentique ou à retrouver ses vieilles diapos,
pourquoi se priver de l'apport des techniques modernes ???
On a vu comment on pouvait ressusciter des vieux négatifs ou des vieilles "transparentes" comme celle de Lartigue,
à la MEP ou maintenant chez Polka.
L'argentique n'avait pas que des vertus...
Le tirage papier reste difficile et le pro est trop cher pour le commun des mortels.
On peut remarquer à l'usage qu'un bon négatif bien exposé peut demander moins de post-traitement qu'un fichier numérique.
La discussion sur le rendu final est, ensuite, infinie.
En attendant, voici un exemple.
Temple du Daitoku Ji, cimetière des acteurs de Kabuki.
Temps affreux, comme souvent à Kyoto.
Kodachrome 64. Leica M2, Summicron 2/35 Canada
Avant traitement
Après traitement
C'est, évidemment, discutable.
La première est sans doute conforme à ce que j'avais vu mais, depuis
1989,
j'ai un peu oublié
.
La deuxième est sans doute plus agréable à regarder
La juxtaposition des deux exacerbe les différences, chacune pouvant vivre sa vie...