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MessagePosté: mercredi 25 octobre 2023 - 15:02
par mathyshdc
Nine to Five


"Nine to Five" plonge dans les méandres du monde du travail moderne, révélant l'impact silencieux et déshumanisant qu'il exerce sur nos vies. À travers l'objectif, elle capture l'âme de notre ère, où l'individualisme triomphe, où l'humanité se perd, et où le labeur se décline en une série de gestes mécaniques.
Ces images révèlent la vérité crue d'une ère où les horloges comptent les heures, mais où l'on oublie de compter les âmes, explorant la solitude d'une routine où l'on se frôle sans se voir, où l'on se croise sans se connaître. Cette série dévoile l'anonymat de l'effervescence contemporaine et invite à réfléchir sur le prix que nous payons pour le progrès.







1. Leica SL2-S & Carl Zeiss Planar 50mm ZM



2. Leica SL2-S & Summicron 50mm V5



3. Leica Q



4. Leica SL2-S & Summicron 50mm V5



5. Leica SL2-S & Summicron 35mm V4



6. Leica SL2-S & Tele-Elmarit 90mm



7. Leica SL2-S & Summicron 35mm V4



8. Leica SL2-S & Summicron 35mm V4



9. Leica SL2-S & Carl Zeiss Planar 50mm ZM


MessagePosté: samedi 18 novembre 2023 - 9:13
par monobjectifleica
Magnifique !!!!

MessagePosté: mercredi 29 novembre 2023 - 21:30
par rudobra
c'était là mon favoris !
j'aime bcp le traitement, les compôs et l'ambiance générale qui ressort de cette série
:applaudir:

MessagePosté: jeudi 30 novembre 2023 - 0:46
par Tafar
Superbe série dont le titre, le sujet et la démarche me rappellent un film "expérimental" réalisé en 1968 par 3 jeunes cinéastes marocains tout juste diplômés de l'IDHEC Paris, intitulé 6/12. Ils y dénonçaient (déjà) l'aliénation de l'homme dans une ville moderne (Casablanca).

Certes, ce film à l'esthétique quasi-photographique a été réalisé en NB comme le film dont il s'inspire (Pacific 231, de Jean Mitry en1949). Mais dans le fond, il traite du même sujet. Je me demande même si le fait que votre série, soit en couleurs, n'exacerbe pas davantage cette notion d'aliénation. La couleur n'étant là que pour tenter de justifier le présent et (tenter) de nous faire oublier la noirceur du quotidien.

Encore une fois, bravo pour cette série de photos qui se regarde comme un film, de même que le film de Bouanani se regardait il y a plus de 50 ans, comme une série de photos. C'est clair et esthétiquement imparable ...

Bonne continuation photographique.

MessagePosté: jeudi 30 novembre 2023 - 19:31
par watoo
Elle me plait beaucoup cette histoire. Ces images parlent plus qu'un film à mes yeux.
La récit est bien conçu, l'esprit du citadin bien présent.
Bravo