
Dans le grand froid Sibérien.
Ces images sont le fruit dune double rencontre.
Celle d’une vieille dame, sur les rives du Lac Baikal, qui m’a donné envie d’aller voir les Evènes éleveurs de rennes sur les bords de la Lena.
Celle du Sylvain Tesson de l’Axe du loup, arpentant (entre autre) la Route des Os à la suite des prisonniers évadés du Goulag.
C’est aussi, un peu, la suite de mon errance Transsibérienne, histoire d’aller plus loin, plus au Nord, plus à l’Est.
Toujours en quête de froid et d’immensités blanches, je suis parti en hiver, en train jusqu’à Iakoutsk, puis en taxi collectif, en WAZ ou en traineau jusque dans les monts du Verkhoïansk.
Pour le froid, j’ai été servi. Il a fait jusqu’à – 57°. - 45° en moyenne. Faire des photos sans gants (allez régler le diaph et faire la mise au point avec des moufles, quand ce ne sont pas les lunettes, couvertes de buée…ou de givre
) n’était pas si facile, voire risqué.
J’ai rencontré et partagé le temps des Evènes, nomades éleveurs de rennes.
Je me suis enfoncé dans la neige des camps de prisonniers dont il reste encore quelques terribles et émouvants vestiges.
J’en suis revenu un peu plus riche de la sagesse des hommes, un peu plus lourd de leur folie.
J’étais parti avec un MP, un 21 (Voigtlander Color Skopar cette fois ci) et de la HP5.
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Ces images sont le fruit dune double rencontre.
Celle d’une vieille dame, sur les rives du Lac Baikal, qui m’a donné envie d’aller voir les Evènes éleveurs de rennes sur les bords de la Lena.
Celle du Sylvain Tesson de l’Axe du loup, arpentant (entre autre) la Route des Os à la suite des prisonniers évadés du Goulag.
C’est aussi, un peu, la suite de mon errance Transsibérienne, histoire d’aller plus loin, plus au Nord, plus à l’Est.
Toujours en quête de froid et d’immensités blanches, je suis parti en hiver, en train jusqu’à Iakoutsk, puis en taxi collectif, en WAZ ou en traineau jusque dans les monts du Verkhoïansk.
Pour le froid, j’ai été servi. Il a fait jusqu’à – 57°. - 45° en moyenne. Faire des photos sans gants (allez régler le diaph et faire la mise au point avec des moufles, quand ce ne sont pas les lunettes, couvertes de buée…ou de givre

J’ai rencontré et partagé le temps des Evènes, nomades éleveurs de rennes.
Je me suis enfoncé dans la neige des camps de prisonniers dont il reste encore quelques terribles et émouvants vestiges.
J’en suis revenu un peu plus riche de la sagesse des hommes, un peu plus lourd de leur folie.
J’étais parti avec un MP, un 21 (Voigtlander Color Skopar cette fois ci) et de la HP5.
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