M8/M9 Quelle est leur sensibilité réelle ?

Je m'explique: Chacun de ces boitiers permet de prendre des fichiers RAW exceptionnels de qualité.
Le traitement de ces fichiers avec un bon "dérawtiseur" permet de rattraper de très fortes sous expositions un peu comme nous le faisons lorsque nous poussons le développement de nos négatifs. Certains d'entre nous sous exposent, d'ailleurs, assez massivement dès la prise de vue (- 2/3 voire -1 IL).
Est-ce que quelqu'un a une idée de la sensibilité (ou équivallent sensibilité ?) que nous pouvons alors atteindre sans dégradation de nos précieux fichiers ?
J'ai l'impression que l'on peu aller très au delà des 1250 (ou 1600) ISO supposés être la "limite" supérieure acceptable sur M8/M9 ?
Après tout, les sensibilités extrêmes atteintes par les boitiers japonais les plus performants ne sont dues qu'aux exploits de leurs logiciels de traitement internes (firmwares). On peut ensuite gagner encore un peu avec le logiciel "dérawtiseur" mais sensiblement moins qu'avec nos fichiers DNG me semble t-il ?
Ne faut-il donc pas tenir compte en réalité du résultat de traitement du firmware + du dérawtiseur en quel cas les fichiers DNG issus de nos Leica atteignent des sensibilités effectives bien supérieures aux 1250/1600 annoncés comme la limite acceptable ?
Vous me suivez ?
Qu'en pensez-vous ?
Le traitement de ces fichiers avec un bon "dérawtiseur" permet de rattraper de très fortes sous expositions un peu comme nous le faisons lorsque nous poussons le développement de nos négatifs. Certains d'entre nous sous exposent, d'ailleurs, assez massivement dès la prise de vue (- 2/3 voire -1 IL).
Est-ce que quelqu'un a une idée de la sensibilité (ou équivallent sensibilité ?) que nous pouvons alors atteindre sans dégradation de nos précieux fichiers ?
J'ai l'impression que l'on peu aller très au delà des 1250 (ou 1600) ISO supposés être la "limite" supérieure acceptable sur M8/M9 ?
Après tout, les sensibilités extrêmes atteintes par les boitiers japonais les plus performants ne sont dues qu'aux exploits de leurs logiciels de traitement internes (firmwares). On peut ensuite gagner encore un peu avec le logiciel "dérawtiseur" mais sensiblement moins qu'avec nos fichiers DNG me semble t-il ?
Ne faut-il donc pas tenir compte en réalité du résultat de traitement du firmware + du dérawtiseur en quel cas les fichiers DNG issus de nos Leica atteignent des sensibilités effectives bien supérieures aux 1250/1600 annoncés comme la limite acceptable ?
Vous me suivez ?

Qu'en pensez-vous ?