Merci merci zatous

Patrick, je suis sûr qu'il y aura moyen de boire un p'tit picon au passage

Pour ceux qui comme moi sont scotchés par Sluban, je viens de poster une annonce à propos d'un stage qu'il organise sur Paris, avec Diana Lui :
http://www.summilux.net/forums/viewtopic-an.php?t=33776

Damned, je ne serai pas à Bruxelles avant juin

C'est beau...

Hello !
Dans la série, "je me la pète", je viens d'apprendre que j'étais sélectionné pour exposer à Révélation 4 (Foire de photo contemporaine à Paris)








Je pense que ce sera vraiment chouette comme manifestation (superbe endroit, bonne ambiance, de beaux tirages...)

A peu près toutes mes photos sont faites au M

Les 26 et 27 juin,
Au Comptoir Général,
80 quai de Jemmapes
75010 Paris

http://www.revelation-photo.fr/

@ aileka

Un photographe plus contemporain :


JH Engström

Je viens de "feuilleter" l'ensemble du livre sur le site de l'éditeur (on peut le voir en entier).

Ben je trouve ça insipide et indigeste à la fois

Nul quoi

C'est grave docteur ??

Voilà, c'est ça

Bonsoir,

J'ai envie de faire découvrir cette leicaïste à ceux qui ne la connaîtraient pas .

Je recopie la bio de son site :
Claudine Doury est une photographe née à Blois et basée à Paris. Elle reçoit le prix Leica Oscar Barnack en 1999, le World Press et le prix Paris Match en 2000 pour sa série « Peuples de Sibérie ». En 2004, elle reçoit le prix Yan Arthus Bertrand et le prix Niepce pour l'ensemble de son travail. Sa première monographie, Peuples de Sibérie, a été publiée au Seuil en 1999. Depuis, Claudine Doury a publié Artek, un été en Crimée (ed.de la Martinière, 2004) et Loulan Beauty (Le Chêne, 2007). Elle est représentée par la galerie Camera Obscura à Paris et elle est membre de l'agence VU.

Les photos sont ici : http://www.claudinedoury.com/

(on peut même commander directement des livres signés !)

@+

Tiens, un extrait de la 400H à exactement la même résolution :


Ça parait plus granuleux, mais en même temps, les conditions de lumière ne sont pas les mêmes et visiblement j'ai un peu plus accentué. Ça reste quasi invisible sur un 20x30 (et quand je dis 'quasi', c'est juste parce qu'on peut toujours tomber sur quelqu'un qui regarde le tirage avec une loupe )

Et en fait je le trouve joli ce grain

Bref, je te conseille d'essayer toi même les deux films, dans les conditions de prise de vue que tu prévois, et en essayant dans les deux cas d'aboutir au résultat qui te plait au scan. Ensuite tu choisis celui qui nécessite le moins d'effort en post-traitement pour arriver à tes fins

La 400 NC dernière génération est une tuerie, AMHA (après, pour couper les cheveux en 4 sur le grain etc..., il faut lire "Le Photographe").

Il faut bien prendre la toute dernière, la NC-3 (il est écrit "Even Finer Grain" sur la boite. Le "Even" est très important : c'était juste "Finer Grain" sur la NC-2)

Un exemple :


Et un crop pour évaluer le grain :


Si ton écran fait 96dpi, ça correspond, en taille, à une portion d'un tirage 70x47cm. Pas mal non ?

Ça serait mon film d'île déserte. Les couleurs sont vraiment subtiles.

Oui, j'ai utilisé les 400H et 160S.

Cette série est entièrement faite avec de la 400H
Exemple :


Pour peu que la photo soit bien exposée (ou un peu surex), le grain est pratiquement indiscernable sur un 20x30.

Ça c'est de la 160s :




Ce film est très très fin pour une sensibilité qui permet de travailler encore à main levée quand le soleil commence à se coucher. Avec un objectif qui arrache, c'est miam.

Les deux se mélangent très bien avec des prises de vues en Portra NC. D'origine, les couleurs des Fuji sont peut être plus louches à cause du "4th layer", mais une fois qu'on les recale, c'est justement cette couche qui permettrait d'être plus juste en lumière artificielle.

Cela dit, je dois avouer que la dernière génération de Portra me scotche (400 NC-3). J'en ai quelques rouleaux d'avance

Tu as du mal voir. Dans de telles circonstances, je ne porte que des escarpins.

Je te l'ai déjà dit, mais bravo Eric. La dernière photo est... Pfff... Martienne

De l'xpan aussi non

On avait pu voir ses photos à la projection de Visa pour l'image (pratiquement la seule série marquante AMHA) et dans Polka. C'est vrai que c'est beau purée. Les couleurs sont hallucinantes (apparemment beaucoup de post-traitement numérique, mais le résultat est très naturel).