Dans ce pays, il harnachent les hommes ? Scandaleux !
J'aime bien la note d'humour qui se dégage de ce portait.

Guy

Salut,

Tu as un problème : j'ai déjà reçu le numéro 1 de 2007 (décembre/janvier).

L'abonnement passe depuis peu de temps par un nouveau distributeur (néerlandais) et je crois qu'ils ont une certaine latence au déclenchement : j'ai bien reçu les numéros 5 et 6/2006, version anglaise, comme prévu, et puis deux mois plus tard un envoi supplémentaire de ces deux mêmes numéros, avec une lettre d'excuse (ben y'a pas de quoi) pour l'erreur de langue sur les deux précédents envois (???)

Guy

Je crois que le principe est différent, pour les révélateurs dits "tropicalisés, l'intérêt est de travailler à haute température (25-26° par exemple), ce qui rend plus facile le maintien de tous les bains à la même température.

Le traitement se ferait vers 25-26° (révelateur tropicalisé, arrêt, fix), avec un lavage vers 28-30°, cet écart étant supportable par une émulsion moderne.

Guy

En complément, l'auteur du blog ci-dessous parle plus particulièrement de ses essais "panthermic-777" avec Tri-X et APX400. Il dit avoir adopté la combinaison TriX / Panthermic au lieu de TriX / D76.

http://400tx.blogspot.com/2006/07/afga- ... c-777.html

Guy

Bonjour,

Je me sens concerné par ce problème car chez moi, en été, sans glaçons, j'ai parfois du mal à descendre sous 23-24°. A cette température, je ne note pas de dérive notable des caractéristiques du négatif (en compensant par une réduction de la durée, bien entendu) qui viendrait d'un activité différenciée des composantes du révélateur (toutes ne réagissant pas de la même façon à l'élévation de température).

Au-delà, je pense qu'il serait plus prudent d'envisager un révélateur "tropical", formulé pour fonctionner à plus haute température. J'ai vu plusieurs sites faisant mention du "777- panthermic", utilisé parait-il par les reporters de Life.
http://www.frugalphotographer.com/catChemicals.htm propose une version poudre, et des instructions à télécharger.

Le bien connu http://www.digitaltruth.com/data.html propose diverses formules de révélateurs "tropicaux".

Bien sûr, il faudra procéder par essai, ce genre d'article "redécouvrant" un révélateur ancien étant souvent un peu exagéré.

Bonne chance,

Guy

D'autant plus que je clabaude sur le pipi de chat, mais que si ça se trouve ça marche très bien pour la Tri-X (quelqu'un a essayé ? Dilution, durée svp ?)

Bonjour,

Je peux peut-être parler de mon expérience (totalement amateur) en la matière. J'ai utilisé le X-tol sur deux périodes différentes, autant avec le Tri-X qu'avec de la Delta 100. Il m'a donné des résultats que j'ai trouvé très bons (subjectivement), je dirai un poil meilleur en finesse de grain que le D-76. Pour TriX à 400iso, je mettais 8'45-9' à 1+1.

Pourtant je suis revenu au D-76, car ces deux périodes se sont terminées sur un film "blanc", c'est à dire totalement non développé. J'ai vérifié à chaque fois pour les co***ries habituelles (fixateur au lieu du révélateur, ce genre).
Mais non, c'est bien mon Xtol qui en un rien de temps, sans changer de couleur, sans sommation, se transforme en pipi de chat (oups, désolé pour les amoureux des félins domestiques, je retire).

La deuxième période d'essai, j'utilisais pourtant les poches "5 litres", et de l'eau déminéralisée. D'après ce que j'ai pu lire, cela viendrait de traces de fer qui feraient "virer" la solution (les méfaits de l'eau ferrugîîîneuuuse)?
Le site suivant à l'air calé sur le sujet (un spécialiste de photo astro, pinailleur), et il propose un test : http://www.covingtoninnovations.com/xtol/

Mais je confirme que le X-tol m'a donné de très agréables résultats, et j'ai souvent la tentation de refaire un essai, en adoptant un test systématique de la solution.

Bonjour,

Jusqu'à présent, sur ce forum, j'ai surtout été "demandeur". Je vais essayer de participer un peu plus en parlant d'un article vu récemment dans la revue anglaise "Black and white magazine" (n°58, april 2006, je suis un peu fénéant sur ce coup-là).

Frances SCHULTZ, qui fait souvent des tests de télémétriques dans le magazine, aborde dans l'article la question de la "luminosité Leica" (Getting the Leica glow). Elle part du constat que les tirages de son mari Roger HICKS présentent parfois une brillance que les siens n'atteignent pas. Ce constat est partagé par des amis (un couple d'éditeurs dans la presse photo) auxquels elle soumet des tirages tests.

Parmi les explications possibles qu'elle examine:
- le constraste offert par le bafflage interne des optiques Leica, qui permettrait de bien "isoler" les taches lumineuses;
- son mari utilise souvent un diaph de 4 à 8, ou son Summilux 35 pré-asphérique est bien net. La combinaison contraste-netteté serait ainsi optimale;
- l'usage de films HP-5 ou tri-X, alors qu'elle utilise plutot du delta400. Elle pense que les films classiques favoriseraient cette impression de luminosité;
- son mari utilise un M3 et un M4, avec usage décontracté d'une cellule à main et correction "finement pifométrique" du coté de la sur-exposition. Cela va à l'encontre de sa pratique (au spotmètre Pentax) ou elle cherche à poser précis et à la limite de la sous-exposition, pour une bonne netteté;
- enfin le choix des sujets : son mari apprécie les sujets contrastés, scènes "couvertes" avec quelques tâches de lumière vive.

Sur le site "Luminous landscape", Mike JOHNSTON (qui a aussi une rubrique dans ce magazine) donnait des conseils proches pour avoir une "luminosité" : film classique sur-exposé, optique fixe des années 70-80 (il parlait des Takumar), limite sous-développement, usage d'un filtre jaune.

Voilà, j'espère simplement que cette rapide fiche de lecture donnera un peu de grain à moudre à quelqu'un.

Eh oui, j'ai bien vu le fil !
Mais je n'arrive pas à remettre la main sur le pied-de-biche.

Tant pis, je vais essayer de le garder encore un peu !

Merci à tous de vos renseignements.
Pour moi ce sera donc probablement une vérif-nettoyage des rideaux chez Denis Horvat. En espérant qu'il n'y aura rien d'autres.

Guy

Bonjour à tous,

En Juillet 2005 (à l'occasion de leur venue sur Arles), je confie mon M4, qui fonctionne, à Procirep pour vérification, nettoyage et réglage. Je récupère l'objet avec 6 mois de garantie.
Début 2006, l'espace inter-image se modifie entre certaines vues, jusqu'au recouvrement. Je suis "hors-garantie", mais j'envoie le boitier de nouveau à Procirep pour qu'ils voient ce qui peut être fait. Discussion "cool" au téléphone, ils me prennent la réparation sous garantie, et me le retourne.

Maintenant je constate un problème d'obturateur, sur les vues (plutot autour de 1/500) du côté levier d'armement, sous-expo franche (en fait le film est blanc sur plusieurs millimètres). Et le problème s'est franchement aggravé en 4-5 films. Je précise que je déclenche assez régulièrement à toutes les vitesses, et bien sur, depuis que j'ai constaté ce qui arrivait, j'ai plusieurs fois "parcouru" la gamme de vitesses, mais sans amélioration.

Pouvez-vous me conseiller un réparateur qui puisse examiner l'engin, et soit me le régler soit me dire clairement si il y a un "os" et que je ferai mieux de le mettre de côté et d'en chercher un autre (mais pas les moyens en ce moment).
C'est probablement injuste à leur égard, mais j'ai maintenant un problème de confiance à l'égard de Procirep. Je n'avais pas eu d'incidents depuis que j'avais l'appareil, et puis depuis leur "grande révision", deux pannes en un an. Je précise que le nettoyage et réglage de l'armement et de l'obturateur sont indiqués sur leur facture.
Mais elle indique aussi l'étalonnage de la cellule (sur un M4 !).

Guy

Bonjour à tous,

Décidement, les amoureux de mécanique "de caractère" se retrouvent : j'ai eu une Moto Guzzi V65 (ma première moto, pour commencer à rouler), puis une "Strada 1000". Avec celle-ci, je suis notamment allé visiter l'usine de Mandello, pour ses 75 ans. Je me souviens aussi d'un jardin de villa splendide à Bellagio, "à la fourche" du lac.
Depuis, plus de moto (mais toujours pas de voiture), c'est cyclotourisme, train, bus et marche à pied.

Amitiés,

Guy

Je me réponds à moi-même, en parcourant les fils du forum, j'ai trouvé une précédente discussion sur le même sujet.
C'est vrai que summilux.net présente plus de richesse rédactionnelle, mais ça ne fait quand même pas de mal d'aller jeter un oeil sur cette production.

Bonjour à tous,

Pour ceux qui lisent un peu l'italien, je vous signale un magazine "en ligne" gratuit : Leica Passion, à l'adresse :
http://www.leicapassion.com/

Manifestement un travail d'amateurs passionés (comme summilux.net ?), il propose les premiers numéros en chargement (format pdf).

Au sommaire, un mélange de portfolios, d'études historiques, de sujets d'actualités, quelques essais de matériel (dans le numéro 1 de 2006, la rondinax!) le tout très sobre et très classique dans la mise en page.

J'ai testé le film Rollei Pan25 (en espérant "retrouver" le défunt APX25), et le support conduit effectivement à un noircissement autour des trous des premières vues. Et pourtant j'étais averti, j'ai chargé à l'ombre (à la maison).

Mais je crois que pour les "classic" (ex APX100/400), on retrouve le support des Agfa APX, donc sans ce souci.

Plus généralement, tout cela me donne à penser sur la transition en cours : on abandonne les "produits de producteurs" pour les "produits de distributeurs", c'est à dire qu'un revendeur propose un produit à sa marque et le fait fabriquer par un producteur différent selon le résultat des dernières négociations, sans que l'acheteur puisse compter sur une stabilité des caractéristiques. C'est un phénomène déjà connu dans la grande distribution, cela à l'air de se répandre dans la photo (Rollei, Bergger, Tetena ?)