Une recette dont on entend rarement parler :
Rodinal 1+100 avec agitation.

En visitant son site je me rappelle avoir eu ARCADIA dans mon panier pendant quelques jours en 2019. Au final je n’ai pas passé commande, sûrement une histoire de frais de livraison vers la Norvège qui sont parfois ridicules… bref. J’aurais peut-être une chance de me rattraper avec ce deuxième livre!

Moi ce qui m’a choqué c’est que la courroie en cuir livrée par Leica avec mon M10 n’était pas réglable!!
Du coup je l’ai remise dans la boîte et ne m’en suis jamais servi. J’ai une courroie en cuir basique trouvée en boutique à Oslo.

Je viens de recevoir KNIT CLUB de Carolyne Drake.

https://carolyndrake.com/knit-club

Un livre mystérieux, qui a cette qualité rare de nous faire sentir à l’orée d’une découverte. Comme un mot qui vous échappe mais qu’on a sur le bout de la langue.

Et surtout, c’est peut-être le livre le mieux imprimé de ma collection.
Les images ont la texture d’un tirage sur papier baryta.
Ça aide à comprendre le prix de 70€….

Il en reste quelques exemplaires ici et la (j’ai trouvé le mien à la boutique de la fondation HCB) mais déjà des revendeurs sur eBay en demandent 150€…
Je me mouille et j’annonce : futur classique.

Je me souviens que ce comportement était à l’époque documenté par d’autres utilisateurs, ce qui m’a poussé à vendre mon cron au profit d’un
Plannar Zeiss…

Si d’autres utilisateurs avec une bonne mémoire peuvent confirmer ce comportement… sinon c’est assez facile à tester : shooter le 50 cron en fort contre jour sur un m240 et vous verez -sûrement- une fine bande sombre apparaître en haut de l’image.

Merci!

Ah tiens je me rappelle maintenant que le M240 avait un comportement bizarre avec mon summicron 50 en contre jour. Une bande sombre apparaissait en haut de l’image…

Pour avoir eu deux M240 et actuellement un M10, sur la qualité d’image je ne vois rien qui justifierait la différence de prix.

J’aime bien la réactivité du M10 quand on veut s’appuyer sur l’électronique (live view, visoflex) et ce sera peut-être votre cas venant du Q… mais si c’est pour s’en servir comme d’un M, les deux font parfaitement l’affaire.

Le retour à la forme « classique » du M6 avec les mêmes dimensions et le sélecteur de cadres ont eu un plus grand effet chez moi que ce que j’avais anticipé. Mais pour quelqu’un qui n’a pas de vécu avec un M argentique, ces 3mm de gagnés passeraient sans doute complètement inaperçu.

Je ne connaissais pas cet appareil!
Quelle bonne idée pour la macro!

Par contre on voit bien que même avec 1cm de déplacement (ce qui est énorme en terme d’épaisseur à ajouter au boîtier) ce n’est pas vraiment utilisable au delà du 50mm.

Non car il faudrait déplacer ce capteur sur des distances trop importantes.
Prend n’importe quelle optique M et joue la mise au point de l’infini à 70cm. Tu verra l’objectif s’allonger de plusieurs millimètres ; beaucoup trop pour le système que tu imagines.

De plus cette distance dépend de la focale, plus la focale est longue, plus l’extension pour atteindre 70cm est longue. Si tu a accès à un 75mm ou 90mm tu peut observer que les extensions nécessaires sont bien trop importantes.

Fin du suspens? J’ai développé les deux premiers rouleaux et le film est sans trace!

Voir en plus grand

Les 18 rouleaux restants devraient y passer d’ici à fin juillet, la question sera alors : est-ce que je refait mon stock en FP4 -mon film fétiche en 120- ou est-ce que je change de film pour quelques mois, le temps que les revendeurs écoulent ce mauvais stock

C’est le même numéro sur l’emballage plastique :


J’ai chargé les deux premiers rouleaux, un dans le blad, un dans le Mamiya, on va voir assez vite ce qui en ressort.

Le numéro de série sur les films ne ressemble pas au même formatage.


Apple iPhone 13

Mince, j’ai 20 rouleaux de fp4 au frigo avec péremption en 23/24.

Par contre je suis surpris de la suggestion de Aurélien sur le frigo et l’humidité. L’emballage plastique de la fp4 étant plus épais et bien mieux collé que celui des films Kodak, je suis surpris d’entendre que ce film serait plus sensible à l’humidité.

En même temps OP n’a pas précisé si ses tirages sont numériques… Les tirages sur papier photo aussi peuvent être numérotés…

Quelques pistes de réflexion :

- qui dit numéroté dit série limitée? Décider d’un nombre de tirages qui permettent au photographe de gagner sa vie, tout en assurant au client qu’il achète une œuvre assez rare et qu’il ne retrouvera pas partout tel un poster IKEA.

- certificat d’authenticité : doit comporter a minima le titre de l’œuvre, le nom de l’auteur et la date de la vente.

- du côté de l’auteur : garder une trace de chaque vente, je recommande un fichier Google Drive qui est plus en sécurité en ligne sur le cloud que chez vous. Dans ce document, inscrivez toutes les infos possibles (taille du tirage, type de papier, labo ayant réalisé le tirage, type d’encadrement, lieux où le tirage a été exposé, publications dont l’image a fait l’objet…)

- vous pouvez envisager un QR code sur le certificat d’authenticité qui pointerait sur la page du document Google drive sus mentionné (en lecture seule du coup hein)

Pensez qu’un jour, votre acheteur ne sera plus là pour expliquer à ses descendants l’origine de cette œuvre. Vous ne serez peut-être plus là non plus pour répondre à leurs questions. Une documentation precise garanti la longévité de votre œuvre.

Bonne chance pour l’expo!