Bonjour. J’ai beaucoup utilisé les Wacom mais la politique d’obsolescence et le prix m’a incité à changer, j’ai acheté une XPen qui est très bien et pas chère. Jamais je ne reprendrais de Wacom.
https://www.storexppen.fr/buy/deco-pro-mw-sw.html?_gl=1*186396*_up*MQ..&gclid=CjwKCAjwjqWzBhAqEiwAQmtgTxSJJw7aDKvRgEo6ePmKoSRZzivnDS09mEtuDZvV1LHZYYtLpsE1iRoCENYQAvD_BwE

Super merci !

Désolé pour les fautes de frappes avec le téléphone !

Tu as raison on peut bien sur enlever le grip marqué Leica, mais je préfère garder les courroies d'origine au cas ou je veuille revendre un boitier...
D'ailleurs cette courroie est elle encore disponible chez Leica ?

Le système de courroie cousue avec des sangles de montagne me convient et ne coute rien, c'est à prendre en compte, mais évidemment ce n'est pas aussi "smart" qu'une courroie cousue main, en cuir d'un artisan célèbre. Je priviligie toujours le confort à la prise de vue par rapport au look.

Ah ah p
Oui il y a un mélange des deux systèmes.
La courroie s’installe bien une fois compris le système qui sert surtout à pryles coins du boîtier, c’est d’ailleurs assez futé.
Mais pour moi le gros handicap est le grip qui interdit tout portage sous la veste rendant les cadrages verticaux très problématiques.

J'ai pas trop confiance dans ces attaches rapides, surtout le fin lacet qui s'attache sur le boitier...

Voici mon système, le M2 avec sa courroie fabriquée :



Et le MP 240 :

Passionnant sujet !

Depuis mes débuts photographiques j'ai toujours utilisé des courroies en cuir pour tous mes boitiers. A l'époque de l'argentique la meilleure était la Nikon, fine souple et solide, accrochée au boitier avec des anneaux ronds en acier inoxydable.
Elle n'était pas vraiment réglable mais la longueur tombait pile poil pour ma taille, il y avait aussi la possibilité de la recouper pour la raccourcir.
Mais, au fil du temps toutes les courroies en cuir se fendillent et il faut être très attentif car on ne s'aperçoit pas forcément de l'usure au niveau de l'oeillet.
Je me suis aperçu qu'effectivement il y avait un risque de rupture et j'ai relégué définitevement ce type de courroie, c'était juste après avoir fait le Transsibérien.
Dans le train je vivais littéralement avec mon M2 jour et nuit, le M2 était sous ma veste et la courroie en cuir permettait le glissement du Leica vers l'oeil sans contrainte, même en vertical !

A la suite j'ai trouvé pas mal de courroies mais toutes dures et sans souplesse, jusqu'a ce jour ou dans la boite de mon Canon Eos 1 il y avait une courroie en nylon tressé plate, je parle des grises, le seul défaut c'était le simili cuir servant d'antidérapant au niveau de l'épaule, je l'ai vite décousu et c'est devenu la courroie parfaite, j'en ai acheté quelques unes pour tous les boitiers.
Bien sur Canon a changé le modèle et il est devenu plus dur et beaucoup moins bien, puis atroce.

La courroie Leica en Nylon est pas mal, les attaches sont solides mais compliquées à installer, mais pas assez souple et antidérapante donc pas pour moi.

Les grosses en nylon rond sont inconfortables pour moi et très encombrantes...

Depuis quelques années je les fabrique moi même avec de la sangle de montagne achetée Au vieux Campeur, gage d'une solidité pouvant retenir plusieurs centaines de kilos, d'après le vendeur...
Elles existent en toutes sortes de formes largeur et couleur, la mienne est plate et à la taille d'un petit doigt, presque la taille de la fameuse courroie Nikon.
Une fois la longueur déterminée il faut juste coudre les bouts avec du fil nylon haute résistance fin, puis mettre des anneaux ou des straps si l'on veut.
La longueur est très importante car comme mon Leica est TOUJOURS sous ma veste je dois pouvoir le prendre et cadrer en vertical facilement, de plus le front doit pouvoir mettre en tension la courroie pour garantir les poses lentes de tout bougé, c'est ainsi que j'ai opéré dans le Transsibérien.

https://www.richebe.com/le-transsiberien.html

Je vous ferais une photo que je posterai prochainement, le plus compliqué c'est de trouver des anneaux de grandes qualité, les miens viennent de chez Weber Métaux mais c'est fini...

C'est une très bonne presse.
Ce que je n'ai pas mentionné c'est qu'il faut bien laver les tirages puis les essorer soigneusement et ensuite les mettre à sécher, face contre un treillis style fibre synthétique.
Une fois sèches ont peut se servir de la presse pour les aplanir, en aucun cas il ne faut les passer en presse à chaud humide ou mouillée...

C'est pas sorcier.
Tu prends deux carton sans acide pas trop épais et deux buvards, quand la presse est chaude tu mets ta ou tes photos entre les buvards et les cartons et tu places le tout sou la presse, pendant 30 sec.
Ca ne sert à rien de laisser plus longtemps, ensuite, tu sors les photos et tu les place encore chaudes sur une surface plane recouverte d'un autre buvard.
Tu peux répéter l'opération plusieurs fois.

Mais !

Ce ne sera jamais parfait car les papiers de maintenant gondolent et frise sur les bords.

En dernier recours tu peux les coller grace à la presse à chaud en utilisant en film thermo soudable...

Bonjour.

Je suis à la recherche d'un Pare Soleil Elmarit M 2.8 24 mm.

Merci.

Très bel instrument !
J'ai aussi un King mais un Tenor de 1941, magnifique, avec les cheminées soudées...
MonTenor Mark VI est de 64 et j'ai trouvé dans une broc un Tenor SML Révision C qui est superbe mais qu'il faut refaire car ça bouche pas du tout sur la main droite et encore moins les graves...

Beau !
Ca ressemble à un King mais j'ai un doute au vu des clefs...
En tous les cas tu possèdes de beaux Sax !

Bonjour.
Bien joli sax, c'est quoi un Mark VI ?

Oui c'est normal, nous on parlait de l'effet dans le temps !

L'imprégnation des fibres du papier par les produits sera plus profondes et donc le lavage devra être beaucoup plus long et énergique, plus un risque de tache jaune sur le tirage.
Il faut utiliser de l'Hypam, car c'est un fixateur rapide très efficace si pas épuisé, bien lire le mode d'emploi pour comprendre comment l'utiliser...
Ilford propose aussi un éliminateur d'hypo pour améliorer le lavage.
Pour déterminer si le fixateur est épuisé on peut compter le nombre de tirages ou utiliser un bout de film non développé et le tremper dans le bain NEUF et mesurer le temps pour qu'il devienne transparent, ensuite, une fois le bain bien utilisé, refaire la même opération et mesurer le temps pour clarifier le film, si cela prends trois fois plus de temps ou voire impossibilité de clarifier le bout de film, ça indique que le bain est bien fatigué, personnellement j'utilise les deux méthodes...
Ensuite pour le lavage il faut faire 6 ou 8 bains de 5 minutes dans une cuvette remplie d'eau neuve toutes les 5 minutes et rincer la cuvette à chaque fois.
L'hyposulfite étant plus lourd que l'eau ce dernier se dépose au fond, donc un lavage en eau courante en cuvette ne sert pas à grand chose.
Pour le lavage en eau courante il faut utiliser une laveuse conçue pour ça !

Pour résumer. La bonne exposition est atteinte quand le tirage a atteint son maximum de densité et contraste à environ 3 minutes dans le révélateur, trop clair pas assez posé, trop dense trop posé...
Après 3 min si bien exposé, le tirage prend des noirs plus profond les blancs se grisent mais l'aspect sera toujours bien, c'est comme ça que je sais si mon maquillage et l'expo sont parfaits.
Si on insiste les marges se voilent, mais j'ai parfois laissé 10 à 15 minutes un tirage dans le révélateur, notamment une photo de William Klein sur le pont Alexandre III car il voulait un ciel uniformément gris et le maquillage était très compliqué sur cette image...
Jean Yves Bregand développait 3 minutes mais avait toujours un bac d'eau chaude à coté de la cuvette de révélateur pour faire monter certaines parties.
C'est efficace mais prend de la place et les marges blanches se voilent vite dans ces conditions, Jean Yves les nettoyait au Ferri !

Enfin le principal problème d'un développement long c'est le voile du à la lumière du laboratoire, souvent je l'éteins pour ne pas risquer de voile

Sans aucun doute le plus grand tireur N/B, Eugene Smith développait longtemps ses tirages, parfois 10 à 20 minutes, mais la pose devait être très précise dans ce cas...

Le fait de diluer son révélateur est une option mais les noirs seront moins profonds qu'a une dilution normale, sauf dans le cas du feu Ilford LS que Jean Yves diluait un peu plus que préconisé.

L'intérêt de développer plus longtemps aussi c'est d'avoir des noirs plus chauds.
Plus le temps de développement est long plus le tirage sera chaud, je parle du cas ou on utilise du papier baryté les RC sont moins sensibles à ce phénomène.

Et Robert parle d'or en disant qu'il ne faut pas laisser les tirages plus que le temps nécessaire dans le fixateur, qui ne doit jamais être épuisé, contrairement au tireur qui dans ce cas révèle qu'il s'est donné à fond dans ses tirages !

Je fixe avec de l'Hypam pendant 2 minutes puis je transfère le tirage dans une cuvette d'eau ou ils séjournent le temps de faire les autres et une fois la séance finie je passe au lavage de tous les tirages.