Le plus important : avoir un châssis pour les mesures sinon tu avanceras au pifomètre.

Le plus important reste le temps durant lequel les films vont rester dans le révélateur. Pour le bain d'arrêt et le fixateur, cela n'a aucune importance.

Pour les deux films cités, il y a effectivement le cas du D-76 à 1+1 qui donne un temps quasi identique pour le révélateur à 20°C.

A partir du moment où les temps sont identiques, cela ne pose pas de problème de les mettre dans la même cuve.

A Montreux.

Un petit mot histoire de confirmer les dires de Curly.

Je me suis moi-même mis à la couleur il y a peu de temps (j'avais uen trentaine de films à développer, et j'ai préféré trouver un processeur à bas prix plutôt que de tout envoyer dans un laboratoire).

Le seul impératif réel afin d'assurer un bon développement est le maintien de la température durant le temps de développement. Ce qu'il faut comprendre dans cette phrase :

- on se fout royalement de la température au final. Le but est qu'elle ne doit pas bouger durant le processus. D'ailleurs, le kit Tetenal Colortec C-41 propose des temps pour trois températures : 30, 38 et 45°C. Ce qui signifie qu'on peut développer à toutes les températures comprises dans cette branche, faut juste trouver le temps pour chaque produit.
- à part le révélateur chromogène, la température des autres produits n'a pas besoin d'un maintien très exact. Pour le révélateur, la notice du kit préconise xx°C à +/- 0.5°C d'écart. Pour le blanchiment fixage, c'est la température à 5°C près, pour le lavage entre 30 et 40°C et pour le stabilisant, c'est le pompon vu que la température doit être entre 20 et 40°C. Et après on raconte à tout le monde qu'il faut être rigoureux

Bref, le développement couleur, ce n'est pas compliqué. Avoir un processeur aide beaucoup parce que ça simplifie vraiment le travail (je suis un garçon très feignant ), mais c'est tout aussi possible avec une résistance chauffante pour maintenir un bain-marie. C'est juste plus sportif.

Quand au prix, c'est vraiment pas cher. Un kit de 5L coute un peu plus de 60 euros et permet de développer entre 60 et 80 films (135 ou 120). Pour le même prix, le laboratoire professionnel à côté de chez moi me fait huit films.

Pour finir, j'ai vu aussi que ça parlait vite fait du RA-4. Alors là c'est encore mieux parce qu'on peut utiliser les chimies à température ambiante.

C'est surtout pour essayer. Il faut que je fasse des tirages de comparaison pour voir si l'Elmar peut remplacer mon Rogonar.

Bonsoir,

j'ai un Elmar 5cm f:3.5 qui me reste sur les bras suite à la vente de mon Leica III. Je vais avoir besoin d'ici peu d'un 50mm pour mon agrandisseur et comme c'est la même monture, je me demande si ça vaut le coup.

Avez-vous déjà essayé ? Avec quels résultats ? Y-a-t-il des modifications à effectuer ?

Merci d'avance.

Plaisir de la collection ...

Oula ! Je ne souhaite pas faire renaître une polémique stérile et indésirable en tant que nouvelle arrivant.

Pour le viseur, je possède déjà un viseur HELIOS Viewfinder me permettant d'utiliser un 35, un 85 et un 135. Il me manque juste le 135mm et de réparer mon Jupiter 9.

J'ai vu ce topic avant de poster le mien , et je tenterai la méthode par la fenêtre lors du prochain film.

Ma question cherche plus à savoir qu'est-ce qui, dans la mécanique du boitier, empêche un chargement classique.

Sinon, pour la découpe, je me suis fabriqué un patron en carton qui me permet d'effectuer une belle découpe et ainsi éviter la déchirure du film.

Bonsoir à tous !

Je me présente : on me surnomme Karibouh, jeune étudiant parisien et passionné de photographie (comme vous pouvez l'imaginer).

Cela fait un petit moment que je commence à baigner dans les russeries diverses et variées, et étant toujours à la recherche d'un boitier complet et compact, j'ai sauté le pas il y a quelques mois de cela avec un très beau Leica III modèle F de 1934 (je reste conquis par le design des premiers Leica).

Avec un Elmar 3.5/5cm, ce sont les seules choses de la marque Leitz que je possède, le reste de mes objectifs étant des Jupiter, mais je commence à en profiter de plus en plus (je me remet doucement à la couleur désormais).


Petit autoportrait sans prétention

Voila, rien d'autre à rajouter à ma présentation si ce n'est que j'espère en apprendre toujours plus parmi vous, à commencer par la réponse à cette question assez simplet en soi :

pourquoi est-il nécessaire de couper l'amorce pour charger une pellicule moderne dans un ancien Leica ? Qu'y-a-t-il de différend dans le mécanisme qui ne permette pas un chargement sans passer par cette nécessité ?

Bonne soirée à vous !


~ Karibouh ~