Je vais faire très fort : deux commentaires aussi hors du sujet l'un que l'autre.

1 - Qu'il est pénible pour accéder à une information intéressante de devoir supporter les aigreurs chroniques, fulminantes, et, pire, jamais drôles de certain(s?). Soyez impertinents, soyez iconoclaste, mais que diable mettez-y la forme si vous êtes incapable d'y mettre les formes !

2 - La photo ratée mériterait un sujet dédié... Je l'assimile à une fausse note. De celles qui répondent à cette définition : "Une fausse note, c'est une note qu'on n'a pas désiré jouer". Avec une nuance de taille : tout dépend de qui l'a émise.

[quote="Robert a écrit :"


Ces gris sont vraiment superbes.
Impossible à obtenir au départ d'une image couleur...[/quote]

Bonjour à tous... "I have a dream"... serait-il possible d'en dire un peu plus sur cette "impossibilité" sans laisser le débat tomber dans la foire aux rancoeurs ou la tribune à trolls si fréquentes ces derniers temps ?
Merci d'avance à tous les avis éclairés et constructifs.
Pierre.

[quote="Robert a écrit :"


Ces gris sont vraiment superbes.
Impossible à obtenir au départ d'une image couleur...[/quote]

Bonjour à tous... "I have a dream"... serait-il possible d'en dire un peu plus sur cette "impossibilité" sans laisser le débat tomber dans la foire aux rancoeurs ou la tribune à trolls si fréquentes ces derniers temps ?
Merci d'avance à tous les avis éclairés et constructifs.
Pierre.

Oui le sujet a été traité par ailleurs, mais j'ai moi aussi la flemme de le rechercher (c'est pourtant simple).
Dans l'urgence : presser le filtre sur une surface caoutchoutée (envers de lino ou de moquette, morceau de chambre à air...) et faire tourner l'objectif pour dévisser en maintenant la pression.
Bonne chance.
Pierre.

PS: l'effet de ce filtre en argentique sera certainement dicté par la sensibilité de l'émulsion utilisée aux infra-rouges. Pour ce qui est des UV... ça reste un filtre UV honorable. Mais il doit y avoir plus expert que moi pas bien loin...

Merci Robert.
Les outils passent, les principes demeurent...
Si un généreux possesseur de profil sur mesure passe par là, qu'il se fasse connaitre...

Bonjour à tous.
Je lance ici un SOS aux experts du post-traitement et autres gourous de la couleur qui pourraient clarifier un aspect de l'utilisation de Lightroom qui me semble assez peu documenté, du moins en dehors de certaines prestations onéreuses.
J'en viens au fait : après avoir pu constater les effets dévastateurs de certains éclairages de scènes modernes (LEDs et autres sources supposées produire plus de lumière que de chaleur), j'en suis venu à constater que certaines des options accessibles dans l'onglet "étalonnage de l'appareil photo" de Lightroom permettaient de sérieusement limiter les dégâts en renonçant au profil Adobe par défaut au profit d'un profil dcp plus neutre. la base de post-traitement ainsi obtenue devient bien plus facilement exploitable. Par ailleurs, ici même, on trouve quelques renvois aux bonnes pratiques via l'usage d'hypothétiques "profils linéaires" hors desquels il n'y aurait point de salut...
La pratique s'avère un peu moins simple car, si les fichiers raw des boitiers japonais donnent accès à plus d'une demi-douzaine de profils différents, les dng de mon M9 ne me laissent le choix qu'entre le profil Adobe et un profil "Embedded" aux effets peu convainquant (rouge aux joues garanti).
Je serais donc friand des informations suivantes :
- vos commentaires et expériences, pour l'usage général et la photo de concert en particulier (ou toute situation à très violente saturation de dominantes issues de sources artificielles)
- avez-vous connaissance de profils disponibles qui, sans atteindre les perfos d'un profil sur-mesure permettent de fournir une meilleure base de post-production ?
Merci d'avance à tous pour vos retours.
Pierre.

PS : inutile de recommander Capture One, c'est mieux, je sais, mais ce n'est pas ma question .

Non, pas étonnant du tout. D'abord parce que la visibilité en question n'est peut être pas à la hauteur des espérances de l'artiste, mais surtout parce que c'est à chacun de décider de ce qu'il considère être ce que j'appelle plus haut le "prix de sa gratuité". Je pense que c'est là tout le contraire de la banalisation du travail du photographe. Filer 100 balles pour une cause parce qu'on estime qu'elle le mérite, ou filer une photo qu'on estime à la même valeur parce qu'elle répond à un besoin concret doit rester le choix de l'auteur. Il m'est arrivé de le faire, je n'imagine pas pour autant en faire une règle, et je ne conseille nullement d'en généraliser la pratique, bien au contraire. Je rappelle simplement qu'un arrangement ponctuel entre deux personnes qui y trouvent leur intérêt est toujours possible et n'a pas lieu d'être diabolisé. Surtout à une époque où la grande majorité joue "chacun pour soi" devant le pillage des droits d'auteurs à grande échelle sur internet (et ailleurs) par des gens qui se soucient bien peu de demander l'avis des auteurs.

Kormo, vous l'aurez j'espère compris, vous n'étiez nullement désigné lorsque j'évoquais les amateurs de polémiques qui parcourent les sujets au gré de leur besoin de déverser le fiel de leurs frustrations.

Au delà je dirais même que je rejoins tout à fait votre position sur la dévalorisation de l'œuvre photographique, position et propos qui sont bien loin d'être inutiles !

Ce que je voulais avant tout mettre en avant c'est la "valeur du gratuit".
Le gratuit ne saurait être considéré comme un dû, ou la légitime conséquence de la gratuité et de la disponibilité généralisée des outils de diffusion. Ce serait confondre le moyen et l'objet. Après tout, ce n'est pas parce qu'on peut de nos jours trouver de l'essence partout qu'elle est gratuite.
Par contre, si Alanovia est en mesure de convaincre de la justesse de sa cause le photographe qui détient les images qui lui sont utiles, personne ne sera lésé et ces deux là pourraient bien s'en trouver enrichis au delà de la seule valeur de l'image ou de la gratification d'un copyright affiché.

Gardons l'esprit large, et disons gascon

J'imagine que les images recherchées gravitent autour d'un sujet ou centre d'intérêt commun... J'ai récemment réalisé qu'il existe sur les réseaux sociaux des groupes de photographes centrés sur les sujets les plus exotiques qui puissent s'imaginer... A défaut de banque d'images "éthiques" ou simplement légales, il y a peut être la une piste pour des contacts directs. Car je ne doute pas en effet qu'un passionné oeuvrant pour le bien commun ne puisse convaincre un photographe digne de ce nom. Et en cas d'échec, s'adresser au suivant...

Qu'est ce que c'est bon la polémique quand même... En tout cas, visiblement, il y en a qui aiment.
Et puis, c'est tellement plus facile que de chercher les vrais solutions...

En fait, le vrai problème n'est pas de respecter ou de contourner la loi, mais tout simplement de localiser les images souhaitées.
En effet, si le "libre de droit" est bel et bien hors la loi, au même titre que la cession de droits sans réserve d'usage ou de durée, l'auteur garde toute latitude de fixer les conditions d'emploi et le montant des droits. En d'autre termes, un auteur peut très bien être séduit par un projet et accepter d'y contribuer gracieusement, dans un cadre parfaitement défini et limité de diffusion et de durée, et dans le respect de la mention de sa paternité.
J'en reviens donc à la difficulté que j'évoquais : trouver l'image et son auteur pour établir le dialogue.
A noter de plus que l'auteur en question sera certainement beaucoup plus sensible à ce genre de pratique respectueuse de sa propriété qu'aux dix centimes qu'il pourra tirer sous X d'une pseudo banque d'images...

Une fois redressé et le contraste adapté, je suis justement frappé par le contraste entre ces gens assis et la perspective du voyage en arrière plan, sous le regard complice du visage du sac (qui aimerait bien voyager ?).
Peut être pas si anodin que ça ce cliché...

CQFD, merci pour la démonstration, le ton à lui seul en dit long sur la motivation.
Il n'y aura pas d'autre commentaire de ma part, c'est amusant mais mieux à faire, j'ai d'ailleurs déjà donné ici mon avis sur l'auto-satisfaction des détracteurs systématiques et leurs manières.

Quand on a 14 messages au compteur, qu'on cite quelqu'un qui en a plus de 1000 en intitulant son propos "Ridicule" et en le terminant par "pathétique", qu'accessoirement au fil du discours on méprise la pratique des Grands, et qu'on joue les vierges effarouchées à la première critique, il est effectivement pertinent d'alerter soi-même la modération pour éviter à d'autres de le faire.
Délicate attention.

Impressionnant tout de même l'énergie dépensée à critiquer un équipement dont on revendique de ne pas avoir l'usage (et je passe sur la forme, les manières, et les aigreurs qui se voudraient communicatives).
Si je boude parce que le dernier sorti est à 180 degrés de ce que j'espérais, je vais le dire là où on parle de ce que j'espérais. Et si le sujet n'existe pas je le crée. Pas besoin de scato-troller un sujet au prétexte qu'il est hors du champs de nos attentes. Si la stratégie de la marque que j'ai vénérée n'est plus à mon goût, je passe mon chemin. J'arrête de le dire et je le fais.

Personnellement quel que soit l'outil, moins j'ai de boutons à tripoter plus je suis efficace et mieux je me porte. C'est moi qui fait la photo, pas la machine. Si elle est naze, c'est ma faute, pas celle de l'outil. Si j'utilise un télémétrique, c'est que jusqu'à 90mm je n'ai pas trouvé plus efficace. Au delà c'est le réflex, mais je rêve de la même austérité : MaP, diaph, vitesse et sensibilité. Rien d'autre. Ca n'existe pas ? Dommage. De temps en temps je le déplore. Pas une raison pour cracher sur les perfos du dernier AF.
On en oublierait qu'on peut aussi tenir un discours constructif devant un nouveau produit, sans nécessairement l'idolâtrer ni cracher dessus.

Pourquoi tant de haine ??? J'ai raté quelque chose ? Il y a un concours pour atteindre la centième page ?