Bonjour,
Une petite contribution personnelle à ce sujet ; cherchant à obtenir un grain le moins visible possible, j'ai développé une pellicule Tmax400 dans ma cuve Rondinax (1/4 tour toute les 5 sec), avec du révélateur Kodak Microdol-X dilué à 1+1 : 15 min à 20°C, après pré-mouillage de 2 min. Les premiers résultats me paraissent encourageants :


Numérisation dans un Nikon Coolscan IV ED sans retraitement.
Prise de vue : boitier M7 + Color Skopar 35mm.
Je suis accessible à toute critique constructive.

Ayant (enfin ! ) maîtrisé les étapes d'insertion d'une image dans un message, je peux envoyer un nouvel exemple de pellicule Bergger 200 développée dans l'Ultrafin+, en cuve Rondinax.
Je trouve le grain encore très apparent, étant habitué au grain presque invisible des pellicules 200 iso couleur (j'utilise la Superia 200 depuis très longtemps).
Puis-je espérer trouver un couple film-révélateur de cette sensibilité qui me satisfasse ?

Grand merci à Pythéas.
Je vais essayer de progresser dans ma maîtrise de l'envoi d'images

Bonjour
Je me risque à poster une image (c'est ma première tentative) de pellicule Bergger 200 développée dans du révélateur Tetenal Ultrafin+ en cuve Rondinax ; numérisation "brute" dans un scanner Nikon coolscan IV
[img]http:www.summilux.net/cliches/2009/2/2009_2_7_3296_00001.jpg[/img]
mes excuse si le résultat n'est pas à la hauteur[/img]

Merci à Aurélien87 pour cet avis d'expert, mais le conditionnement et le tarif du révélateur PMK ne sont pas vraiment adaptés à mon usage d'amateur se remettant doucement au développement N & B après de nombreuses années d'interruption.

Bonjour
Voici mes premières impressions après un développement d'une pellicule Bergger 200 dans du révélateur Neofin bleu ; désolé de ne pouvoir fournir d'image : je ne maîtrise pas encore suffisamment le dépôt d'image sur le forum.
Conditions opératoires :
-cuve Rondinax, 20°C, agitation d'un quart de tour toute les 5 secondes
-une demi-ampoule de Neofin bleu (15 ml) diluée dans de l'eau de source en bouteille du commerce jusqu'à 200ml
-pré-mouillage : 1 minute
-temps de développement : 15 minutes
-bain d'arrêt par acide acétique dilué : 1 minute
-fixateur Tetenal Superfix dilution 1 + 9 : 10 minutes
-lavage en cuvette par eau de source à 20° : 5 x 10 minutes
-dernier rinçage dans eau déminéralisée + Photoflo Kodak

Résultat décevant : contraste élevé et grain que je trouve grossier pour ce niveau de sensibilité.
De l'avis de mon Centre Conseil Leica, ce couple film-révélateur ne serait pas un bon choix ; je vais m'orienter vers un révélateur grain fin type Microdol-X.
A bientôt j'espère pour de nouveaux résultats

Merci pour cet avis ; je vais faire un premier essai sur cette base.

Qui peut me faire part de son expérience de développement d'un pellicule N/B BERGGER BRF-2OO dans le révélateur Tetenal Neofin Bleu ?
Je n'ai pas trouvé de temps de développement pour cette "association" dans les différents sites parcourus.
Merci d'avance

Bonne année à tous
Entré dans le monde Leica depuis peu de temps, j'apporterai une contribution bien modeste à l'argumentaire du choix entre M6 et M7.
Le premier critère à prendre en considération est budgétaire.
Entre un M6 TTL et un M7, la différence de prix peut être importante.
Chez le vendeur qui me fournit en matériel depuis plus de trente ans j'avais la possibilité de choisir entre un M6 TTL d'occasion et un M7 neuf.
Lors de l'essai du M6, j'ai trouvé un peu difficile d'avoir à gérer le réglage de l'exposition et celui de la mise au point pour prendre des clichés "à la volée", comme je peux le faire avec l'Hexar AF que j'utilise depuis une quinzaine d'années.
En prenant un matériel neuf, j'ai pu bénéficier du mode de financement Leica qui est avantageux, et obtenir une reprise "satisfaisante" de mon matériel reflex.
Mon choix s'est donc porté sur le M7, et je n'ai pour l'instant qu'un objectif 2/90 (acheté à un summiluxien) destiné essentiellement au portrait ; l'acquisition d'un 2/35 attendra une embellie budgétaire et je pense que je me limiterai - par choix "philosophique" - à ces deux objectifs.
Si la contrainte financière n'intervient pas, je pense que le M7 est plus polyvalent. L'automatisme d'exposition est un facteur de réussite (la cellule de l'Hexar m'a rarement trompé).
Je n'ai pas encore consommé suffisamment de pellicule pour pouvoir confirmer la justesse de mon choix ; je reviendrai sans doute plus tard sur le forum pour livrer mes impressions.
Bonne moisson de belles photos à tous.

Bonjour
Je viens d'entrer dans le monde Leica après m'être séparé de mon matériel reflex : un boitier semi-pro, six objectifs, un flash cobra, et une multitude d'accessoires... Heureux possesseur d'un Hexar 1ère génération (avec le mode silencieux) depuis près de 15 ans, il me suivra partout jusqu'à sa mort que j'espère la plus lointaine.
Je me suis limité dans un premier temps à un M7 avec un flash SF 24D et un objectif 2/90 (pour le portrait) ; un 2/35 viendra plus tard...
Le flash dédié à l'Hexar permet une utilisation en éclairage d'appoint ("fill in") de façon très simple et avec une grande efficacité pour déjouer les contre-jours et déboucher les ombres tout en laissant un aspect naturel à l'éclairage.
J'aimerais pouvoir transférer cette manière de faire sur le couple M7 + SF 24D, mais la lecture attentive et répétée des deux modes d'emploi ne m'a pas donné la solution.
Des summiluxiens ont-ils déjà eu la même démarche que moi ? avec quels résultats ?
Merci d'avance à tous ceux qui pourront me faire bénéficier de leur expérience.