PlainVanilla a écrit :
C'est bien simple, quand je sors, mon M8 est là. Il est toujours contre moi, batterie chargée, prêt à être dégainé. Toujours. Lorsque je vois quelque-chose qui me parle, c'est automatique. Passage en mode "S", doigts sur la bague de mise au point, œil dans le viseur. Et au moment où je me rends compte que je viens automatiquement de plaquer mon boitier contre ma figure par simple automatisme, je sens la vibration de l'obturateur au bout de mon index. C'est fait. C'est tellement simple, dépouillé, naturel. Un plaisir à chaque déclenchement, plaisir que je retrouve en découvrant la richesse détaillée des photos au post-traitement.
Le M8 a un avantage concurrentiel : c'est mon boitier. Et il l'est devenu très rapidement. Cette facilité naturelle à capturer ce que je vois lui a donné une place privilégiée, puisque je l'ai toujours sur moi. Je recommande à ceux qui hésitent de tester ce boitier, car si certains ont beaucoup de mal à s'adapter aux spécificités de celui-ci, sa simplicité naturelle peut très rapidement devenir séduisante. Certaines histoires d'amour commencent comme ça, ce fut mon cas. Je n'argumente pas au sujet de la qualité des images, vous avez tous des yeux, qu'ils partent à la rencontre des photos que nous avons postées ici.
TOUT EST DIT IL ME SEMBLE.
IL Y A UNE SUITE
Je ne connaissais pas le Minilux, j'imagine en effet que cet appareil est le bienvenu chez les aficionados du "Leica look" qui éprouvent toutefois des difficultés avec la télémétrie.
PARFAITEMENT DIT
Ma seule image avec un Minilux est celle qui apparait sous vos yeux.
Merci de bien vouloir accepter ma modeste contribution photographique.
C'est celle d'un bigleux qui tâtonne dans un monde sans couleurs.
Pour moi, c'est un savoureux souvenir. Et c'est bien ce qui compte dans ce monde sans poésie. Parfois.
Je vote pour un M82, pas délavé et pouvant faire bonne besogne.
Il est terrible le petit bruit que celui du déclenchement photographique.
Quand on tient dans la main, une machine diabolique.
Bref . Passons. Le sujet me rend bavard.
Cordialement
Raymondo.