Parmi les plusieurs dizaines de M que j’ai eu , je suis depuis près de deux ans resté fidèle à mon M4-2 que je considère comme le plus abouti et l’essence même du M.
j’ai eu évidement le MA, qui , à part son levier de rembobinage historique ne m’a pas apporté plus que mon M4-2.
Au contraire , son télémètre est moins clair ( après évidement une CLA chez photo suffren) , le traitement du verre anti reflet est gênant et son afleurement lui fait prendre toute les traces de doigts contrairement au M4.
bref je l’ai revendu pour reprendre un M4-2
La mécanique du M4-2 est la plus solide des M, faite pour le moteur rugueux qui était vendu en option .
Une cellule integre est une aberration en noir et blanc, car seul compte la lumière incidente.
Enfin après avoir eu des tas de M tous plus cher les un que les autres j’avoue avoir une certaine jubilation à avoir un M raisonnable, que je peux poser sur du béton ( je ne protège aucun de mes M) sans avoir peur de l’abimer .
Bref le M ideal. ( en second je plaiderai pour le M7, que j’ai eu 5 ou 6 fois, puis le M2.
les M numériques ont l’avantage du pratique, le M9 était le meilleur en couleur, le MD en noir et blanc, le 240 le plus raté et le M10 le plus fou en prix
comble de la provocation j’ai en ce moment un objectif lomo dessus, et je pense lui rajouter un de ces 35 voigtlander pancake bientôt.
mon voyage leica fini donc la où je l’ai commencé voici 15 ans, en argentique, avec un boîtier simple et efficace, raisonnable, et des objectifs moyens...mais petit .les disgressions numerico-summilux m’ont appris que l’essentiel n’était pas la pour moi.
aujourd’hui j’ai aussi plaisir à explorer d’autre type de prise vue... mais c’est une autre histoire .
mes bébé, les minox minox riga et AIIIF:
instagram: @ minox_mini
et @frakaphoto
un petit exemple d’une photo 8x11 mm au minox A