L’obligation de fourniture de pièces détachées pendant une durée d'au moins cinq ans après la vente du dernier exemplaire est définie par l’article L111-4 du code de la consommation, que l’on peut lire ici :

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/ar ... 0044330854

.... et qui est précisé notamment par ces dispositions d’ordre réglementaire :

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/ar ... 0044809323

Les appareils photographiques n’entrent donc pas dans les catégories de biens soumises à cette obligation. Une fois passée la période de garantie, la durée de disponibilité des pièces est laissée à l’appréciation du fabricant, qu'il s’agisse du M240 ou du dernier modèle sorti. De toute façon, le M 240 ayant cessé d'être produit avant que cette loi n’entre en vigueur, elle ne lui serait pas applicable même si les appareils photo entraient dans les catégories concernées.

Lorsqu’on achète aujourd'hui un appareil photo quel qu'il soit, le problème des pièces détachées peut donc se poser dès la sortie de garantie du dernier exemplaire vendu. Le problème est plus sensible en ce qui concerne les numériques : compte tenu de la succession rapide des modèles, les constructeurs sont sans doute moins enclins à assurer la maintenance des appareils anciens, vite considérés comme obsolètes. Bien plus que l’argentique, l’appareil numérique est un bien de consommation.

Le mieux est donc de faire des essais avec l'appareil et les objectifs que vous comptez utiliser.

Il y a ici quelques éléments de réponse :

https://www.lapetiteboutiquephoto.com/f ... 02x3948695

30% d'argentiques chez les M, ça reste tout de même une proportion très significative ! Sans compter que si le regain d'intérêt pour le film se confirme, ces appareils seront appelés à servir plus longtemps que les M numériques.

En ce qui concerne le point jaune, la réponse est dans le mode d'emploi. Il faut régler la vis comme indiqué pour que le déclenchement se fasse bien. L’utilisation d'un câble ne change rien à la procédure.

Aucune pièce de ce genre n’est décrite dans le mode d'emploi de la Visoflex III :

https://www.summilux.net/documents/Noti ... 300ppp.pdf

Je ne vois pas de tube de protection sur ma Visoflex 3. La vis est nue. C’est aussi comme ça qu’elle est représentée sur le mode d'emploi. De quelle pièce parlez-vous ?

Pour ce qui est de la signification de "M" (Messsucher = télémètre), Leica n’en est pas à sa première incohérence : le M1, sorti en 1959, n'avait pas de télémètre.

Ce vase est grec et vient de Grande Grèce, à savoir d'Italie du sud ou de Sicile. Il date du VIe s. av. J. - C.

Chez Yashica, les ML sont les plus réputés. Il existe un Yashica ML 35mm f/2,8.

Il y a au moins une possibilité : celle que je décris ci-dessus. Je la pratique avec un 139q.

Attention, c'est ici un forum Leica. Pour les questions relatives à d'autres marques, mieux vaut aller par exemple sur https://forum.35mm-compact.com

Un avantage majeur d'un boîtier Contax, c’est tout de même d'y monter des optiques Zeiss. Cela dit, on peut aussi y monter des M42 via un petit adaptateur. On peut donc par exemple utiliser de très bons Carl Zeiss Jena, notamment le trio Flektogon 35mm f:2,8 , Pancolar 50mm f:1,8 et Sonnar 135mm f:3,5 ou f:2,8. Attention : avec certains adaptateurs ou objectifs, la mise au point est "au delà de l’infini" quand on est en butée sur la marque de l’infini. On peut donc régler la map à toutes les distances avec le viseur, mais on ne peut plus se fier à la bague des distances ou à l’échelle de profondeur de champ. De plus, il faudra faire la mise au point à pleine ouverture, puis fermer au diaphragme voulu avant de déclencher. On peut évidemment soit travailler en tout manuel, soit en priorité à l’ouverture et contrôler la vitesse en appuyant sur le bouton de la face avant avant de déclencher.

Fotodiox propose une bague d'adaptation M42 vers Y/C, avec le problème précédemment évoqué de la mise au point au-delà de l'infini pour les Carl Zeiss Jena. Mais il y a un truc très simple pour arranger ça :

https://forum.35mm-compact.com/viewtopic.php?p=1052807

Comme on voit, le problème ne se pose pas avec tous les m42. Voir par exemple ce qu'il en est des SMC Pentax, qui sont réputés mais que je ne connais pas.

De façon générale, on ne peut adapter sur un appareil que les objectifs nécessitant un tirage mécanique supérieur à celui du boîtier receveur (tirage = distance surface d'appui de la monture/plan du film) . Anisi, les objectifs Leica à vis, demandant un tirage de 28,8mm, peuvent être montés sur un boîtier Leica M, de tirage 27,8 mm, via une bague d'un millimètre d'épaisseur.

C'est une question d'époque. Dans le livre de Benoît Gysembergh "60 ans photographes Paris Match", éd. de La Martinière, Paris 2009, on trouve p. 16 deux photographies de l'équipe de photo-journalistes de ce magazine : sur la première, prise en 1960, tous ou presque posent avec un Leica M. Sur la seconde, prise en 2009, les reflex Nikon dominent. Dans les équipes de photographes du ministère de la Défense (ECPAD, SIRPA), que j'ai quotidiennement côtoyées avant l'avènement du numérique, l'instrument de travail était un reflex haut de gamme Nikon ou Canon, au choix du photographe. Sur les théâtres d'opérations, les reporters civils étaient équipés de même. Je n'ai guère vu qu'un journaliste équipé d'un M6, au Kosovo, en 2000. Didier François, si mes souvenirs sont bons.

Tu veux sans doute dire "la priorité à l'ouverture". Sur les appareils que tu cites, c'est la vitesse qui est automatique en fonction de l'ouverture choisie.

Dans le fond, je suis d'accord avec toi, à condition que l'appareil soit débrayable. J'utilise d'ailleurs de temps en temps un Contax 139q, appareil comparable à l'OM2. Je trouve tout de même que le tout manuel est la meilleure école pour s'initier aux principes de base de la photographie. Et si notre ami achète un Leica argentique, il faudra bien qu'il se passe de tout automatisme, à moins de choisir un M7 ou certains R.

Je crois aussi qu'il est mieux de s'initier avec une focale fixe afin d'apprendre à se placer et de bien comprendre l'effet de la distance de prise de vue sur la profondeur de champ et le rendu de la perspective. Là aussi, si Martin67 opte à terme pour un Leica non reflex, la focale fixe s'imposera.

Mais nous ne savons toujours pas si Martin67 veut de l'argentique ou du numérique.

Contrairement à Tilu, je conseillerais pour débuter en argentique un appareil dépourvu de tout automatisme, afin de bien comprendre l'effet de chaque paramètre : sensibilité, vitesse, ouverture, mise au point. Pour ce faire, je choisirais pour débuter un réflex pas cher mais de qualité, comme par exemple un Praktica MTL3, MTL5 ou MTL5b muni d'une bonne optique : Carl Zeiss Jena Tessar ou Pancolar de 50mm. Si vous n'accrochez pas, au moins, vous n'aurez pas beaucoup perdu (voire rien, car le matériel que je conseille se revend sans difficulté). Si l'expérience vous plaît, vous pourrez songer à acheter un Leica.

Il existe plusieurs sortes de Leica argentiques. Pour citer les types les plus courants : télémétriques à monture vissante, télémétriques à monture M, reflex à monture R. Allez à la page d'accueil de ce site pour commencer à vous documenter.

Commencez aussi à lire sur le sujet. Le Manuel de la photographie argentique de Danny Dulieu vous donnera de bonnes bases et de judicieux conseils.

Le numérique est un autre monde, pour lequel je n'éprouve pas grand intérêt. Je laisse donc aux passionnés le soin de donner des conseils en ce domaine.