summilux.net

Bonjour, j'ai vendu tout mon matériel Canon, 1DX, 5D MkII et des optiques du 14mm au 500mm.
Je suis passé chez Leica il y a 4 ans en achetant un M (240), un 35 Summicron et un Super-Elmar-M 18mm
Il y a un et demi, j'ai craqué pour le SL. Au début je n'utilisais que des optiques M.
Depuis j'ai acheté un VARIO-ELMARIT-SL 24–90 f/2.8–4 ASPH d'occasion et l'APO-SUMMICRON-SL 75 f/2 ASPH.
Je ne regrette absolument pas mon choix, le rendu Leica est au RDV et surtout le plaisir de la simplicité d'utilisation.
C'est bien la première fois que je n'ai plus envie de voir les nouveautés, tellement je suis content de mon matériel.

Bonjour.
Passé chez Leica après Canon également mais il y a déjà un moment, depuis le M8, abandonné les M pour le SL, conservé mon SUMMILUX-M 50 mm f/1.4 ASPH. et acheté l'APO-SUMMICRON-SL 75 f/2 ASPH. je ne ferais pas marche arrière.
Et le SAV de Leica, accompagné par son conseillé Leica, (me concernant Nicolas Muro à qui je voue une grande fidélité), sont là en cas de souci. Présents et compétents.
J'attends les nouveaux objectifs, et si je peux ... mais pas d'autres projets, même si et quand arrivera un nouveau SL.
gégé67 j'admire vos photos, merci, continuez.

Merci MALUBA, je vais essayer de continuer.

Mon SL a maintenant près d'1 an 1/2/ il marche toujours très bien. Heureusement !

Pour l'instant, l'adaptateur pour optiques R est installé en permanence (j'ai aussi des optiques M mais je les utilise bêtement avec... un M). Je viens toutefois de commander une optique SL, je me modernise.

Jeune SL.. Iste, je découvre le mien chaque jour un peu plus, et avec mon Summilux-M 50 je suis aux anges.

Je vais vous dire, le SL est tout simplement notre chainon manquant à nous les leicaïstes : il excelle avec les optiques M, il ressuscite les optiques R et avec les optiques SL c'est le Nirvana ! On est au 7ème Ciel !!!

Et le menu ,vous le trouvez comment ,
Moi il me déroute

J'apprécie beaucoup mon SL, acheté en janvier 2017, utilisé avec des optiques M et R.

Cependant, il semble que l'écran arrière soit défectueux.
Les images sont dégradées avec des zones d'irisation et de couleurs intempestives :


HUAWEI CLT-L29


HUAWEI CLT-L29

Cela n'apparaît pas, heureusement, sur le fichier image.


Leica SL type 601 Summicron-M 28 mm f/2 Asph.

J'ai réinitialisé le boîtier et mis à jour la version du logiciel en 3.6, sans succès.
C'est un boîtier utilisé modérément, comme alternative au M pour des travaux précis
ou si besoin de couleur, donc pas surmené
Pas de liveview ni de vidéo.
Nicolas Muro me dit ne pas avoir eu connaissance de ce genre de panne.
Je n'ai d'ailleurs rien trouvé sur le net.
J'ai interrogé Wetzlar...

Exposition à une température extrême ?

C'est apparu pendant un voyage au Maroc, entre désert et montagne. 35 degrés max. Pas de facteur évident.
Et quand bien même...

J’ai acheté neuf mon SL en juin 2017.
Je rejoins Didier : il est le chaînon manquant des leicaistes. C’est un peu le R numérique tant espéré depuis l’arrêt de cette gamme avec le R9.

J’ai eu un défaut « d’origine » sur le capteur (une poussière persistante, impossible à nettoyer, en fait prise entre deux couches de verre, diagnostic confirmé par Hervé Ropp). Pas un drame en soi, facile à gérer en post-traitement, mais Leica a fait le nécessaire pour changer mon capteur en SAV dans un délai très rapide tenant compte des dates de mon voyage en Islande.

A part ce petit incident, que du bonheur. Je l’utilise beaucoup, dans des conditions parfois rudes, sans avoir subi de défaillance. C’est un boîtier bien conçu et très fiable. C’est du reste un boîtier qui reste parfaitement « à l’ordre du jour » alors qu’il a été révélé au public il y a 4 ans. Cela en dit long...

Mon seul reproche, uniquement « cosmétique », réside en la fragilité de l’aluminium et de la peinture noire du boîtier. Même un petit choc marque irréversiblement le boîtier. J’ai par exemple fait une marque assez profonde à l’angle de la semelle, sous la monture, en étant bousculé lors du montage du 24-90. L’angle vif de la monture de l’objectif (acier inox) a irrémédiablement « usiné » l’arrête de la semelle (aluminium peint).
Ça ne fait pas louper les photos, cela n’affecte pas le fonctionnement, mais c’est un peu dommage à ce niveau de prix, et ça augmente de facto la dépréciation en cas de volonté de revente.

Le SL2 semble un peu mieux pensé sur ce point, avec la leatherette qui fait tout le tour du boîtier. Mais l’alu peint demeure sur le capot et la semelle, si j’ai bien compris.

De mon côté rien à signaler non plus en termes de défaillances électroniques.

En ce qui concerne les chocs potentiels, évoqués par Bohns, je reconnais que le SL ne demande que ça vus toutes les arrêtes dont il est doté...

Quand j'ai acheté le mien je l'ai immédiatement bardé de gaffer. Il est moche mais bien à l'abri.

Ah, si, ce boitier a quand même un gros défaut : acheté 6500E à sa sortie en 2016 il faudrait que je le vende aujourd'hui 2500E et ça me fait enrager

RAS sur le mien, exemplaire de démo acheté d'occasion, état nickel. Comme pour d'autres, à part le revêtement qui est effectivement sensible aux éraflures, c'est un boîtier hyper fiable qui se trimballe partout sans souci. Côté électronique, il m'arrivait de temps à autre d'avoir un blocage sur le M240 (qui se résolvait avec le retrait de la batterie), ça ne s'est jamais produit sur le SL.

On en trouve des neufs à 4400 et sans doute à moins...
A 2500, c'est une affaire car il n'a rien perdu de ses qualités.

Tout à fait d’accord. Je ne pense pas que l’arrivée du SL2 va le retirer du catalogue de sitôt, et dans tous les cas, y compris un éventuel upgrade, c’est probablement un boîtier qu’il vaut mieux garder tant qu’on le peut financièrement parlant. Certains disent aujourd’hui, verbatim marketing oblige, que le SL2 marquera son époque comme l’ont fait avant lui les III et M3. Je pense en fait que c’est le SL dont on se souviendra; bien né, très qualitatif, une visée électronique qui reste une référence après 4 ans, la création d’une gamme optique qui touche à la perfection, et une rétro-compatibilité avec les objectifs historiques de la marque qu’aucune autre marque ne peut (veut) oser.

Quant à la dépréciation évoquée par Didier, elle est malheureusement inhérente au numérique, et à l’évolution rapide des technologies et la création des nouveaux besoins qui lui sont associées.