dossier 17
Posté: lundi 30 septembre 2013 - 22:09
My beloved enemy - Iraqi-American Stories
Européens, Américains, Irakiens… En mars 2003, nous avons tous suivi en direct sur nos écrans de télévision le déclenchement de la seconde guerre du Golfe.
Dix ans après, l’une des conséquences méconnue et tragique de cette guerre est la réinstallation de près de 100 000 réfugiés irakiens aux États-Unis, par l’intermédiaire du Haut Commissariat aux Réfugiés de l’ONU.
Quelles séquelles ces Irakiens gardent-ils de la guerre et de l’exil ? Comment s’adaptent-ils à leur nouvel environnement et quels liens gardent-ils avec leur ancienne vie ? Quel regard portent sur eux les Américains ? Quel avenir offre ce pays nourri de tant de paradoxes ?
Dans des villes emblématiques de l’imaginaire américain - Boston, Detroit, Chicago, Las Vegas et San Diego - Irakiens et Américains racontent leurs parcours personnels et leur histoire commune. La guerre est officiellement terminée mais eux continuent de vivre au quotidien avec ses conséquences intimes. Les rares réfugiés diplômés n’ont jamais pu obtenir l’équivalence de leurs titres et la plupart occupent des emplois peu ou pas qualifiés. Vulnérables, mais déterminés, ils construisent une nouvelle vie chez l’ancien ennemi.
Réfugiés ou vétérans atteints d’un syndrome post-traumatique, Irakiens de deuxième génération dans l’attente anxieuse de leurs proches ou Américains impliqués dans la reconstruction de l’Irak, ils partagent le souvenir d’une décennie douloureuse et confient leurs vœux pour l’avenir.
- À propos de la démarche -
Turquie, Liban, Suède, France: depuis 2009, je documente la diaspora Irakienne.
Dix ans après le début de la guerre, il m'a semblé essentiel de partir à la rencontre des Irakiens réinstallé aux États-Unis pour décrypter ce paradoxe.
Ce reportage a été réalisé en mars et avril 2013 avec un Leica M9, principalement avec un 24mm et un 35mm.
Avec le Prix Summilux, j'espère pouvoir continuer à suivre cette histoire, notamment en Allemagne, ou habite désormais une famille rencontrée sur la route de l'exil.
Mon pseudonyme sur le Forum : El_Paparazzi
Les liens vers les 5 photos postées sur le forum avant le 1er avril 2013 :
viewtopic.php?f=28&t=3905&p=491983#p491983
viewtopic.php?f=4&t=7669&p=403730#p403730
viewtopic.php?f=10&t=28324&p=368508#p368508
viewtopic.php?f=6&t=7251&p=380202#p380202
viewtopic.php?f=40&t=20322&p=380214#p380214
Cordialement,
Européens, Américains, Irakiens… En mars 2003, nous avons tous suivi en direct sur nos écrans de télévision le déclenchement de la seconde guerre du Golfe.
Dix ans après, l’une des conséquences méconnue et tragique de cette guerre est la réinstallation de près de 100 000 réfugiés irakiens aux États-Unis, par l’intermédiaire du Haut Commissariat aux Réfugiés de l’ONU.
Quelles séquelles ces Irakiens gardent-ils de la guerre et de l’exil ? Comment s’adaptent-ils à leur nouvel environnement et quels liens gardent-ils avec leur ancienne vie ? Quel regard portent sur eux les Américains ? Quel avenir offre ce pays nourri de tant de paradoxes ?
Dans des villes emblématiques de l’imaginaire américain - Boston, Detroit, Chicago, Las Vegas et San Diego - Irakiens et Américains racontent leurs parcours personnels et leur histoire commune. La guerre est officiellement terminée mais eux continuent de vivre au quotidien avec ses conséquences intimes. Les rares réfugiés diplômés n’ont jamais pu obtenir l’équivalence de leurs titres et la plupart occupent des emplois peu ou pas qualifiés. Vulnérables, mais déterminés, ils construisent une nouvelle vie chez l’ancien ennemi.
Réfugiés ou vétérans atteints d’un syndrome post-traumatique, Irakiens de deuxième génération dans l’attente anxieuse de leurs proches ou Américains impliqués dans la reconstruction de l’Irak, ils partagent le souvenir d’une décennie douloureuse et confient leurs vœux pour l’avenir.
- À propos de la démarche -
Turquie, Liban, Suède, France: depuis 2009, je documente la diaspora Irakienne.
Dix ans après le début de la guerre, il m'a semblé essentiel de partir à la rencontre des Irakiens réinstallé aux États-Unis pour décrypter ce paradoxe.
Ce reportage a été réalisé en mars et avril 2013 avec un Leica M9, principalement avec un 24mm et un 35mm.
Avec le Prix Summilux, j'espère pouvoir continuer à suivre cette histoire, notamment en Allemagne, ou habite désormais une famille rencontrée sur la route de l'exil.
Mon pseudonyme sur le Forum : El_Paparazzi
Les liens vers les 5 photos postées sur le forum avant le 1er avril 2013 :
viewtopic.php?f=28&t=3905&p=491983#p491983
viewtopic.php?f=4&t=7669&p=403730#p403730
viewtopic.php?f=10&t=28324&p=368508#p368508
viewtopic.php?f=6&t=7251&p=380202#p380202
viewtopic.php?f=40&t=20322&p=380214#p380214
Cordialement,