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Il est fatigué, il en a marre

Ce que j'aime, dans tes photos, Bertrand, c'est ce regard d'amour pour les enfants dont tu t'occupes.
Que ce soit des fillettes heureuses d'être en vacances, des rugbymen en internat, une fillette songeuse, ou ce petit garçon qui craque...
Le regard du jeune adulte en face de lui est très beau. On imagine bien ce qui a pu se dire, et se vivre (fatigue, loin des parents, engueulade avec des copains, ou tout autre malheur d'enfant).
J'espère que tes élèves de 4è te rendent l'amour que tu as pour eux (on le voit bien à travers tes photos). Continue ainsi !

Merci pour le compliment, mais pour mes élèves de 4ème c'est mal barré je viens de corriger les copies,




On va pas être amis

Il n'y a pas que les enfants qui sont fatigués, leurs animatrices aussi.

Bonjour,




Leica M240 & summicron 35mm Type IV

Leica Q type 116 28.0 mm f/1.7

..Les cons s'obstinent, cette particularité a l'inconvénient de couper court aux solutions les simples...

Eternelle question !

Que faire des cons est un essai de Maxime Rovere, philosophe, enseignant à l’école normale supérieure de de Lyon. Le sujet est rarement étudié en philosophie, ce qui n’empêche pas la connerie en philosophie ni les philosophes cons. Il s’agit donc d’une approche philosophique de la connerie, autant dire inaccessible à la plupart des cons. Il m’a semblé intéressant d’en faire un bref résumé pour sa faciliter sa vulgarisation.

Il n’y a pas de définition univoque du con dans la mesure où il existe des formes variées de connerie, de multiples phénotypes de cons à différents degrés de gravité. En fait on reconnaît le con lors d’une discussion ou plus généralement d’un échange lorsque les réactions du con échappent à toute logique et entraînent un naufrage relationnel.

Les cons sont inévitables et de plus en plus nombreux. Au sein d’une communauté pourvue d’interactions, on est obligatoirement amené à rencontrer des cons. Le développement des moyens de communication, des réseaux sociaux et des forums multiplie les interactions et augmente fortement la probabilité d’être confronté à des cons.

La rencontre d’un con génère une forte émotion suite au naufrage relationnel réciproque et entrave notre capacité à communiquer avec le con. Après cette réaction initiale, notre désir grandit de restaurer la relation pour tenter d’imposer une solution sensée en faisant appel soit à l’autorité, à la raison, à la morale, ou au droit. Toutefois, l’obstination qui caractérise fondamentalement les cons risque de nous conduire à une posture agressive, dominatrice, parfois même violente. A ce point nous sommes clairement dans une situation critique et nous devons absolument éviter de basculer dans la connerie en évitant de déclarer la guerre aux cons. En effet, les cons sont non seulement obstinés, mais destructeurs, guerriers et définitivement plus nombreux si bien qu’on perd presque toujours la guerre contre les cons.

La tentation d’éliminer les cons de notre communauté est une fausse bonne idée. Sur une base d’intelligence certes plus élevée, la nouvelle communauté va inévitablement générer de nouveaux cons qu’il faudra éliminer du groupe et ainsi de suite. On est alors menacé d’isolement en nous retirant dans notre tour d’ivoire.

Pour ne pas sombrer dans la guerre contre les cons ou l’isolement il nous faut osciller entre trois stratégies : négocier avec ceux qui en ont la capacité, faire évoluer ceux qui se laissent faire et laisser à leur condition ceux qui s’opposent à tout.

J’ai conscience que ma tentative de vulgarisation n’est pas sans risque, particulièrement parce qu’elle restera probablement incompréhensible pour les plus cons. A bon entendeur, salut !

Certains s'y emploient

UN GROS C..

... En fait on reconnaît le con lors d’une discussion ou plus généralement d’un échange lorsque les réactions du con échappent à toute logique et entraînent un naufrage relationnel.

Une sieste au bazar de Téhéran, (peut être déjà postée)


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Bien à vous.

Terrible celle ci !!

Merci Mitchel.