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jeunes et moins jeunes burkinabais
Posté:
samedi 10 juin 2023 - 9:47par M911
Posté:
samedi 10 juin 2023 - 15:57par miette
Quelle qualité dans ces photos
Posté:
samedi 10 juin 2023 - 17:04par Xenophon
De la poésie, des cadrages impeccables, un regard empreint d'humanité, de très belles nuances de gris qui changent des contrastes outranciers actuellement à la mode... C'est vraiment une série d'exception. Bravo !
Posté:
samedi 10 juin 2023 - 20:10par M911
Merci, c'est mon premier post.
Posté:
dimanche 11 juin 2023 - 7:38par bellaghjatta
Très bel ensemble. Bravo !
D'autres ?
Posté:
dimanche 11 juin 2023 - 8:23par Robert
M911 a écrit :
Merci, c'est mon premier post.
Bienvenue !
Belle gamme de gris et beaux portraits.
Peut-être trop de vues d'ensemble et quelques images sur-numéraires.
"L'editing" reste un art difficile et je suis le premier à poster des séries un peu longues
Posté:
dimanche 11 juin 2023 - 8:34par jbo
Très jolie série.
Posté:
dimanche 11 juin 2023 - 9:08par M911
Merci pour vos encouragements.
C'est mon premier post et suis d'accord avec Robert. Avoir un fil conducteur et s'y tenir.
Bon dimanche
Posté:
dimanche 11 juin 2023 - 18:32par M911
Effectivement, vos remarques sont justes ; ces photos ont été mise en vrac !
Une nouvelle
Posté:
jeudi 15 juin 2023 - 17:53par M911
Leica M9
Leica Summicron-M 50mm f/2 (IV, V)
Posté:
jeudi 15 juin 2023 - 18:59par Robert
J'aime beaucoup cette série et j'aurais en savoir un peu plus sur le contexte et les motivations, les regards exprimant des sentiments assez divers :
allant d'un peu de méfiance à la tristesse en passant aussi par une certaine complicité.
Posté:
vendredi 16 juin 2023 - 17:40par Ridex
Une très belle série qui me rappelle bien des souvenirs...
Juste une remarque : le gentilé du Burkina Faso est "Burkinabè" (invariable au féminin comme au pluriel) et non Burkinabais, qui donnerait un féminin... déplaisant.
Lorsque Thomas Sankara décida de changer le nom de la Haute-Volta, il choisit un mot de la langue mossi (l'ethnie majoritaire), "Burkina" (dignité, intégrité); un mot Dioula, "Faso" (la patrie); et, pour ne pas laisser en reste l'ethnie semi-nomade Peulh, la désinence "-bè" dont elle est issue pour former le gentilé.
