Merci
Robert et
cirta Marc Nolin a écrit :
Partant pour aquérir ce trésor lors de sa parution, à la condition que la livraison au Québec soit possible…
Dans tous les cas, cela ne devrait poser aucun soucis pour expédier un exemplaire au Québec
Il faut cependant que je me renseigne sur les coûts de port exact et, surtout, si je peux bénéficier du
"tarif d'envoi de documents culturels" mis en place par La Poste au titre du "
rayonnement culturel français" et qui serait très, très intéressant pour les expéditions internationales hors UE. Normalement, oui, mais les conditions spécifiques de vente précisent bien que, pour y avoir droit, les livres doivent être rédigés en langue française et/ou langue régionale. Cependant, le mien sera rédigé en français et contiendra une traduction d'office en anglais... Je me suis d'ailleurs trouvé un traducteur en début de semaine, c'est un ami anglais qui vit à Glasgow et prépare une thèse sur, justement, la traduction de l'OULIPO. Bref, il faudra voir à quel point La Poste est tatillonne
Fift a écrit :
Quel boulot !
.
J'avoue que les premières photos donnent envie - et je rejoins l'aspect "Moriyamesque" que d'autres ont mentionné, plus que l'approche humaniste à mon avis. J'aime beaucoup cette traduction d'ambiances.
Bon courage pour la suite, et je vois que tu es bien entouré
.
Merci ! Côté boulot, ma DA n'est pas sortie de l'auberge puisqu'elle va devoir produire deux versions : l'actuelle, qui mélange des cahiers de 8, 12 et 16 pages, et une version uniquement basée sur des cahiers de 16 pages. La seconde fera, forcément, un livre plus épais, mais, paradoxalement, risque de coûter moins cher. On attendra les devis d'Escourbiac pour les deux.
Pour l'aspect moryiamesque plus qu'humaniste de mes photos, c'est amusant, mais cela change en fonction des personnes auxquelles je montre mes prototypes. Naoko Sekine trouve qu'il y a quelque chose de "
Shōwa" dans mes images (faisant référence à l'ère impériale correspondante), et elle aime ce mélange de "rugueux et joli, brut et silencieux". Gaston Bergeret, qui a fréquenté Brassaï, Doisneau et était un intime de Delpire, trouve que je "
photographie le vivant". La mère d'une amie, qui est journaliste et critique littéraire, m'a qualifié de "
photographe crépusculaire" et trouve dans mon travail des réminiscences de Nicolas Bouvier... Bref, chacun y trouve un peu ce qu'il y veut, et j'aime bien cet aspect là : chacun, en partant de mes photos, se fera son propre voyage à Tokyo. Enfin, j'espère