Un an est passé déjà.
Je vous propose une troisième série de photos sur cette tradition des chanteries de coqs.
Cela se passe donc toujours tôt le matin, chant du coq oblige.
L'aménagement des lieux s’organise comme par exemple amener sur place les loges où seront placés les coqs.
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Certains en amènent un seul.
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D'autres nettement plus.
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Les participants inscrivent et paient l’inscription de leurs volatiles. Ils annoncent également leurs paris.
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Même la TV est là. Le jounaliste ne connaissant pas ce genre de manifestation ne peut cacher son étonnement.
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Les coqs étant placés en loge, le concours démarre et dure 30 minutes.
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Une fois la compétition entamée, il est possible de prendre sur place un petit-déjeuner.
Au menu : omelette au lard.
Au menu également, le tintamarre provoqué par les cris de coqs.
C’est à celui qui chantera le dernier cocorico.
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Tout se déroule dans une ambiance villageoise et bon enfant.
Et à propos d’enfants, c’est surtout eux qui sont intéressants à observer par leur étonnement et leur attitude.
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Et la mine réjouie des participants traduit la joie qu’ils ont eu de participer.
Je suis chaque fois étonné de voir ce plaisir accompagné d’une vraie passion.
Aussi de remarquer combien sont variées les professions des participants.
Pas que des paysans, c’est certain. Question que je me pose au sujet de ces derniers : où diable gardent-ils leurs coqs durant l’année ?
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Ah oui ! J’oubliais de dire qu’à côté de ces coqs, on pouvait voir l’un ou l’autre couple de tourtereaux !
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Données techniques :
MP, Tri-X et Lux 35 na.