Cuve de développement en inox et chargement films

lapaju
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Les spires métalliques sont toutes fabriquées sur le même modèle ?
Rive Gauche
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lapaju a écrit :
Si j'ai bien compris il faut un peu incurver le film côté support afin d'éviter mon problème. Pas évident à faire on dirait, il me faudrait une troisième main :lol:

Oy,

une Nikor pour ma part.
La spire dans la main gauche, le film dans la droite. Je prends le film entre le pouce et l'index, à deux-trois centimètre de l'amorce qui a été coupée de manière idoine, je le tuile en pressant un peu, et le glisse dans la fente. Je relâche un peu la pression ensuite et le déroule entièrement dans la spire. C'est un coup de main à prendre, ça vient très vite.
La troisième main, c'est juste pour se caresser les cheveux. :wink:
"Et demain matin, avec quelle facilité je me lèverai à cinq heures pour aller à ton enterrement. Je suis toujours si gentil aux enterrements."
lapaju
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Rive Gauche a écrit :
La troisième main, c'est juste pour se caresser les cheveux. :wink:


J'ai eu peur un instant ! :lol:
lapaju
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En ce qui me concerne ce n'est pas tant les cuves que les spires.

J'en ai marre de régulièrement flinguer des films avec mes spires Paterson qui se bloquent.

Les spires en métal n'ont pas ce genre de problème mais apparement il est plus délicat d'y introduire les films. Je pense qu'avec un peu de pratique on doit s'y retrouver.
yousse
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Le controle de la température, l'économie de chimie et l'absence de dépots calcaires sur les spires sont les principals avantages de ce système.
Son prix et l'apparente difficulté de chargement en sont les inconvénients.
"Il est impossible de sortir de votre peau pour rentrer dans celle de quelqu'un d'autre .... La tragédie d'un autre n'est pas la même que la vôtre." Diane Arbus
Rive Gauche
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fotd a écrit :
Elles sont très belles ces cuves, mais quels avantages ont-elles
par rapport à une bonne vielle cuve plastique ?

Plus simple à charger pour moi (simple opinion personnelle, hein) et surtout une réelle écomonie de chimie (220 ml poour un film, 430 pour deux). Ça se ressent sur les chimies qui douillent, comme le DD-X.
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Antochine
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Saint Viâtre (41)
Bonjour,

C'est assez simple sans instrument une fois qu'on a compris le truc.

La position des mains:
De la main gauche on tient la spire dans son axe entre le pouce et l'annulaire, on guide le film d'un legere pression de l'index, de la main droite on fait legerement tuiler le film entre le pouce et l'index pour qu'il s'insere bien dans la spire. On fait pivoter le tout par de mouvements du poignet pour enrouler le film.

Illustration:


Apres avoir repete l'operation 2-3 fois de jour, le repeter une dizaine de fois dans le noir ou les yeux ferme... C'est parti pour une longue vie de pratique, c'est comme le velo, ca ne s'oublie pas.

Crdlt.
Antonin
La sagesse est d'avoir un rêve assez grand pour ne pas le perdre de vue lorsqu'on le poursuit
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Tristan H
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Je trouve les spires utiles surtout en 120, pour ma part. Jamais eu de problemes de zones lors des développements spéciaux. Mais en 135, faut avouer que c'est se priver de la facilité des paterson.
lapaju
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Antochine a écrit :


C'est bien ce que je disais, il faut une troisième main, pour faire la photo en tout cas.

Merci pour cette illustration Antochine.
lapaju
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Bon, je me suis lancé et j'ai développé mon 1er film 120 (delta 400) dans ma cuve inox.

Et bien j'ai assuré le bobinage du film dans la spire sans problème et le développement comme d'habitude, hormis que l'eau était à 23,5°.

J'ai bobiné le film d'un geste sûr et sans m'arrêter et c'est réussi...
ivanb
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Bon et bien ce fil tombe à pic. Je viens aussi de recevoir une cuve inox 120 de marque I.S.E. et je ne vois pas trop comment on charge la spire.

De plus, combien de chimie mettez-vous pour traiter votre film ? 400ml environ ?

PS : je suis au bureau et pour l'instant, je n'ai toujours pas réussi à OUVRIR la cuve, c'est pour dire ... :shock: mon cas est désespéré je sais
Antochine
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Saint Viâtre (41)
Bonjour,

Pour le 120 c'est encore plus simple que le 135, perso je deroule d'abord la bobine (dans le noir) la debarasse de son papier, on accroche et on enroule sur la spire avec la meme methode que celle proposee ci-dessus.
C'est plus simple car les "etages" spires sont beaucoup plus ecartees les uns des autres et on ne risque pas de partir de travers.
D'une meme maniere un entrainement en sacrifiant un film de jour puis dans le noir est fortement conseille avant se se lancer avec un film expose.

Crdlt.
Antonin
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Piair
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Bonjour,

J'ai une cuve en Inox depuis un an et je ne m'en suis jamais servi.
J'ai à plusieurs reprises essayer d'enrouler un film en plein jour mais le problème et que parfois le film se superpose donc ce qui veut dire qu'en développant j'aurai eu un négatif coller et donc une partie non révélée.

Si quelqu'un à une solution pour éviter ce problème je suis preneur.
M4 | Summicron 35 f2
yousse
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Oui, ça arrive au début.
Je vais le dire à la façon de Louis De Funès et de son "plein emploi" dans "La Zizanie" : 1) L'entrainement 2) L'entrainement 3) L'entrainement
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lapaju
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ivanb a écrit :
Bon et bien ce fil tombe à pic. Je viens aussi de recevoir une cuve inox 120 de marque I.S.E. et je ne vois pas trop comment on charge la spire.

De plus, combien de chimie mettez-vous pour traiter votre film ? 400ml environ ?

PS : je suis au bureau et pour l'instant, je n'ai toujours pas réussi à OUVRIR la cuve, c'est pour dire ... :shock: mon cas est désespéré je sais


Bonjour ivanb.

Je m'y prend un peu tard peut-être pour répondre mais effectivement il est assez simple de charger un film 120.

Il faut sacrifier un film afin se s'entraîner quelques temps à blanc en regardant ce qui se passe, puis en fermant les yeux et enfin en chargeant dans le noir un film exposé afin de le développer.

Il faut avoir un geste franc quand on fait tout ça et normalement tout se passe bien (3 films 120 développés pour l'instant sans problème).
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