Hello
1) je sais, il parait même qu'il y a des littéraires!!!!
2) d'où l'importance d'apprendre ses cours....
3) effectivement, de même que la charité n’enrichit que celui qui la fait. Une rapide recherche sur google ou wikipédia aurait renseigné ce "fainéant moderne" en quelques pages de lecture. Ces connaissances nouvelles auraient peut-être éveillé en lui l'envie d'en savoir un peu + sur ce sujet, lui auraient ouvert l'esprit...
cedric-paris a écrit :
Sympa...
pas de soucis, quand je peux rendre service, je n'hésite jamais.
Le dessin est assez explicite, je vais en rajouter une couche:
préambule:
a) dans un objectif photo (et dans quasi tous les systèmes optiques) il y a deux choses susceptibles d'intercepter la lumière: le diamètre des lentilles et le diaphragme. Ici le mot diaphragme peut représenter une iris bien connue ou un simple trou dans la mécanique.
b) la focale d'un objectif est la distance H'F' entre le foyer image et le plan principal image. Le plan H' est défini comme étant à l'intersection d'un faisceau incident venant de l'infini et de son émergeant passant par F'. Le plan H' n'est pas palpable ni matérialisable avec un écran.
c) il en est de même pour H, F et la distance focale objet f dans l'espace objet par retour inverse de la lumière (principe de Fermat)
d) entre l'arrière de premier dioptre de la première lentille et l'avant du deuxième dioptre de la lentille, c'est l'inconnue total! sauf à faire un tracé de rayon, ou un calcul optique et donc de connaitre la formule optique.
explication:
Si le diaph est au milieu des lentilles, son image par les lentilles arrière va définir la pupille de sortie dans l'espace image. Ces lentilles agissant comme une loupe, vont changer la taille et la position de l'image du diaph. Ainsi, un diaph de 2cm peut être "conjugué" par les groupes arrières comme une pupille de 5cm.
Ce "problème" est récurent chez les grand-formistes qui veulent changer un obturateur central par un autre et refaire l'échelle du diaph...
Dans le cas d'un objectif photographique, le concepteur peut être intéressé à augmenter le champ pleine lumière. Il le fait en augmentant le diamètre des lentilles afin qu'avec des faisceaux optique incliné, tous passent par le diaph.
à partir du moment où une lentille commence à couper le faisceau optique incliné, elle définie alors une "lucarne". La déformation de la pupille par ces lucarnes crée le vignetage géométrique, à ne pas confondre avec le vignetage optique qui dépend uniquement de l'angle de champ avec un loi en cos^4.
Je ne connais pas d'astuce optique permettant d'obtenir un objectif de + petit diamètre que son F/d, peut-être avec les rétrofocus?
J.Ph.