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2013, deux mois à Cuba, le temps d’en percevoir un peu plus tout en sachant que la complexité nous échappe.
Des scènes de vie, en dehors des « boites à touriste »
Boitier M9, objectif 90 2,8, lux50, et 21 zeiss






Premier contact, les vendeurs dans les rues, partout.



Quelques voitures, vielles pour la plupart. On nous expliquera plus tard que seuls les militaires et les artistes à succès ont les moyens pour avoir des voitures récentes



Pressage de canne à sucre. Culture vivrière et autonomie sont la règle



A la fin de l’URSS le blocus Américain a empêché toute importation, le manque de pièces détachées a mis un terme à la mécanisation



Interdit mais sport national, les paris de combat de coq



Les concours de chant d’oiseaux sont aussi un sport national



Les artistes. Ici chez lui, il nous a longuement parlé de la période « spéciale »,Que Français ne pouvions pas comprendre, les Polonais, les Tchèques, eux pouvaient



Un rue déserte, une entrée d’immeuble, de la musique, les Cubains ne jouent pas que pour les touristes.



Pas de voiture mais beaucoup de transport en commun et toujours ces affiches de propagande de l’ère révolutionnaire. Celle ci est pour nous totalement surréaliste.



l’art de la débrouille et de l'imagination

Mon quarté dans l'ordre: 5-6-2-3

Sur le traitement, je trouve les noirs un peu bouches et les blancs un peu gris, ce qui enleve toute dynamique.
Au niveau photos, je trouve que ca manque d'images fortes pour une serie.
J'aime bien l'avant derniere avec le contraste du bus flambant neuf symbole de tourisme et d'ouverture, et l'affiche revolutionnaire, ainsi que le portrait de l'artiste dans son atelier.
La photo du combat de coq est interessante pour sa vue d'ensemble mais le traitement ne lui rend pas service.
Qu'est-ce qui a motive le choix du noir et blanc poir cette serie dans un pays si colore?

Allo? Y'a quelqu'un?