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Bonsoir,

Face au peu de succès de ma proposition chambre 4x5 contre Summicron M (là: http://www.summilux.net/forums/viewtopic-an.php?t=47887), je propose cette fois un Mamiya C220, matériel dont je suppose qu'il intéressera peut-être plus de monde.

La valeur des deux n'étant pas équivalente, je suis tout à fait disposé à compléter par quelque chose comme 200-300 euros.

A noter que la présente annonce n'annule pas la précédente.

Détails:
Le boîtier Mamiya C220 n° B89120 est en bon état. La mécanique est fluide, le soufflet est excellent état, les crémaillères sans aucun jeu, les mousses d'étanchéité ne sont plus neuves, mais répondent encore correctement à la pression, toutes les fonctions (sélecteurs, déclencheur, verrous) sont, de façon générale, opérantes.
L'aspect extérieur n'appelle aucune remarque particulière, à ceci près que des traits coincidant avec les axes verticaux et horizontaux ont été gravé de façon assez grossière sur le verre de visée (interchangeable, si l'on en trouve...).
L'objectif est un 2,8/80mm à point bleu n° 855714; d'après ce site (http://www.btinternet.com/~g.a.patterso ... #Heading39) son numéro situerait sa fabrication dans l'avant-dernier lot de production, donc vers 1981-1982, ce qui doit également correspondre à la date de fabrication du boîtier.
L'obturateur Sekor fonctionne à toutes les vitesses (je n'ai pas les moyens de certifier leur exactitude). Les lames de l'obturateur comme celles du diaphragme sont dépourvues de toute trace d'huile. Les lentilles d'arrière et les lentilles frontales sont en parfait état physique, sans rayure, ni traces de nettoyage, ni suspicion de champignons ou de voile de condensation, mais un examen attentif à la loupe sous éclairage dirigé indique la présence de poussières internes.
Cet ensemble est accompagné du bouchon d'objectif, de la sangle, d'un pare-soleil en caoutchouc, ainsi que du sac TP original, lequel est fourni en prime sachant de sa texture externe est passablement craquelée (le cuir n'aura sans doute pas supporté d'être naguère graissé ?).

En échange, j'attends un M Summicron 50mm, version IV (à taquet) ou V (à pare-soleil incorporé), dont la verrerie est irréprochable, même si l'aspect cosmétique ne l'est pas.

Bien cordialement,

Bonsoir,

je propose une chambre Cambo 4x5 prête à l'emploi contre un Summicron M 2/50mm version IV.

Détail de la proposition:
Chambre:
Cambo monorail, incluant: sabot serrage sur rail, corps avant, soufflet standard, corps arrière, dos rotatif+dépoli, planchette avec objectif monté.

Objectif
Nikkor-W 5.6/135mm
Formule 6/4, 73 degrés, cercle d'image: 200mm.
Obturateur Copal 0, poses: T, B, 1 - 1/500.
Diaphragme 7 lames jusqu'à f/64.
Diamètre des filtres: 52mm.
(pour plus de renseignements: http://www.bhphotovideo.com/c/product/3 ... _Lens.html)

Le tout, acheté neuf au début des années 1980, a très peu servi. L'objectif est en parfait état, la chambre aussi (mécaniques fluides et fermes, soufflet complètement étanche), à ceci près qu'un des repères de niveau (bulle d'eau), particulièrement saillant, a été cassé. Des photos sont disponibles sur demande.

en échange, je souhaite un Summicron M 50mm, version IV (avec taquet) dont j'attends deux choses: qu'il soit (a) en état optique irréprochable et en bon état cosmétique et (b) qu'il ait été fabriqué dans la dernière tranche de production, celle des années 1989-1994, "made in Germany" (non que les "made in Canada" soient inférieurs, mais il s'agit de marier l'optique avec un M6 de 1993).

Bien cordialement.

En effet. Autres temps...




Je pense que la différence vaut surtout avec les révélateurs dilués (mais j'avoue n'avoir jamais fait l'expérience moi-même de vérifier à quel degré les choses se dégradaient).



De façon générale, je crois que le ZS est une excellente façon comprendre ce qu'est la sensitométrie photographique, mais qu'avec les émulsions actuelles, une bonne partie de l'enseignement d'Adams ne correspond plus aux réalités.

En effet, la surface d'un PF est inférieure à celle d'un film 35mm ou 120, mais le calcul doit prendre en considération le fait que la couche sensible est plus épaisse pour un PF que pour un film en rouleau, autrement dit, qu'à surface identique, le révélateur s'épuise plus vite en développant un PF qu'un rouleau. C'est sans doute moins vrai aujourd'hui que par le passé, notamment parce que les couches sensibles sont, physiquement, de plus en plus fines, mais la différence demeure, d'autant qu'un PF se développe généralement plus à fond qu'un rouleau.

Il est certain qu'en plongeant 6 PF par litre (peut-être même plus ?), on obtiendra des images, mais à ce régime, il est prévisible que lesdites images ne tireront pas le meilleur parti des possibiltés du couple film-révélateur.

Dans ce registre, je viens de lire, cet après-midi, S. Anchell, The Darkroom Cookbook, 3rd. edition, 2008, selon qui le volume minimal de D-76 par rouleau 135 ou 120 serait de 500ml., donc très loin de la préconisation de Kodak qui est de 150ml.



Ce serait une mauvaise idée: un même film exposé à un même IE, ne demande pas la même densité selon qu'on est en 135 (vers 0,9) ou en 4x5 (vers 1,15).

Sur un point au moins, la conception de ce dispositif est discutable, voire fallacieuse. En effet, on ne peut traiter 6 plans-films dans un litre, comme y invite le fabriquant, car la capacité d'un révélateur n'excède généralement pas 250ml./film. On ne peut donc traiter que 4 plans par litre au maximum, et encore faut-il que le révélateur ne soit pas dilué.

Personnellement, j'ai utilisé trois fois le MOD-54 avec un, parfois deux, plans-films dans 1 litre, jamais plus. Je place ceux-ci le plus près possible de l'axe central car le système d'attache semble plutôt faible.
J'utilise une cuve de 1,5 litre, ce qui assure une meilleure circulation du liquide, donc une agitation plus sûre.

L'avantage notable (outre l'évidente facilité de traitement, chargement, lavage, etc) est qu'on peut utiliser des révélateurs très sensibles à l'oxydation aérienne ou très toxiques, ou les deux (genre PMK), sans avoir à craindre pour le développement ou pour sa santé.

Le défaut majeur est le prix, fort déraisonnable pour quelques pièces de plastique embouties (60 euros avec le port). Il est vrai qu'il s'agit d'une production semi-privée.

Il y avait naguère des cuves de métal (Nikor) qui étaient vendues avec des spires spécialement conçues pour les plans-films 4x5, mais je n'en ai jamais vues en occasion.

Mon expérience est très limitée, mais je soupçonne que le gros point faible de ce dispositif est le système d'attache des plans-films.

MP, aussi

Je n'ai pas de numérique et je ne suis pas près d'en avoir... C'est de la Tri-X.

Pendant que nous y sommes, puis-je vous demander quel est le révélateur (apparemment une fomule non solvante) ? Si je me permets de poser la question, c'est que j'utilise la même combinaison (Hexanon 2/50 + Tx), mais que le rendu global que j'obtiens est assez différent de celui qu'on peut discerner sur vos clichés.

Le propre des fonds d'investissement est qu'ils achètent et revendent à la vitesse de l'éclair sans se préoccuper de l'investissement.

Cet épisode n'est ni le début de la fin, ni celui d'une ère nouvelle, c'est le signe que Leitz est considéré comme une entreprise dont la rentabilité est suffisante pour faire partie de celles que les fonds achètent et (re)vendent.

Venter terminée, merci

Bonsoir à tous,

J'ai fait l'acquisition d'un ancien Elmar vissant qui était vendu avec une bague adaptatrice pour monture M dont j'ai déjà un exemplaire et que je propose donc à la vente.
Il s'agit d'un clone de fabrication inconnue du modèle leitz IRZOO, référence n° 14097 qui sélectionne le cadre de 50mm sur les M3-M2-M4, les cadres de 50 et 75mm. sur les M plus récents.

Sur mon M4, le test de mise au point donne un résultat similaire à l'original à 1,50m et à l'infini. La seule seule différence par rapport à l'IRZOO originale est que les angles des encoches pour le montage/démontage sont quelque peu tranchants (moins confortable pour les doigts).

Prix de vente à: 12 euros, frais de port inclus, ou, plus simplement, deux carnets de timbres à 0,60 (comme naguère dans les petites annonces de Pif le Chien).

Bien cordialement,

Si les deux premiers chiffres du numéro de série sont 59, je prends.

je me met aussi sur les rangs pour une option sur le boîtier (sans l'objectif) dans l'hypothèse où le(s) premier(s) se désisteraient.
Bien cordialement,

mp

Je suis à la recherche d'un M3 simple armement, numéro supérieur à 950300, dont j'attends qu'il soit en bon état général du point de vue mécanique (vitesses, rideaux) et, surtout, optique (télémètre !).
L'état cosmétique (vulcanite, éraflures, etc.) est moins important.
L'appareil serait destiné à l'utilisation, pas pour mettre en vitrine.

Bien cordialement.