Bon, qui prendra enfin l'initiative d'intégrer l'art à l'architecture -je plaisante-.


A l'air libre à Lisbonne

Salut Steve, ou devrais-je dire M. Hilts, je parie que même là-haut tu les fais tourner en bourrique.


En vitrine à Genève

Rêvez de plaies et bosses mais allez en paix...


En pèlerinage à Messine

Et l'heureux gagnant sera...


Au hasard d'Amsterdam

Voyez l'âme du poète...


En pensée à Livourne

Bon week-end.

Passage obligé...

Montons donc et restons même au sommet en remplissant nos obligations ; à femme passionnée homme de conviction, c'est ainsi depuis des lustres...


Giuseppe à Livorno

Que serait Rome sans un brin de légèreté...



What else ? Quelle bonne blague, pardon étrange question... un café digne de ce nom, tout simplement.



Notez que justement, le café Greco est a proximité mais que voulez-vous, même là tout se perd. Pour la drôle de petite histoire qui alimente celle des grandes aventures, il me faut vous révéler que la fourniture de café soluble fut même élément de négociation dans des contrées ou la confection du vrai est pourtant art, donc allez savoir...

Ne plus savoir à quel Saint se vouer... Saint Père faudrait-il bien que tu te dédoubles vu l'ampleur de la tâche, c'est moi l'athée pas si mécréant pour avoir tant prié pour les autres qui te le dis ! Que fais-tu autrement là en paravent pour ces statues de gens coté pile dans le plus simple appareil et à côté d'un César au salut conquérant si tristement célèbre.



A l'aise dans ses baskets... bénites, peut-être ? Dis l'Abbé trompe-la-parque, jusqu'au bout farceur impénitent devant les fileuses si elles se multiplient, sacré bon dieu d'aumônier superbe avec ton béret et tes godillots de soldat d'une si bonne cause, qu'en penses-tu de là haut ? Folie mercantile certes mais j'espère en riras-tu comme moi.



Fontaine, je ne boirai pas de ton eau ; image d'archive et d'actualité sur thème de nécessité mais aussi de futilité encore du travail et de l'intelligence derrière ce gentil contraste entre touriste en tenue légère et techniciens-toubibs sous bulle s'affairant patiemment sur un patient de marbre que des c... notoires, pardon personnes à l'activité cérébrale provisoirement perturbée, vandaliseront à l'occasion.



« Palazzaccio », perspective corrigée sur le siège du grand manège de justice... et celui des petits chevaux de bois. Ne me demandez pas pourquoi, mais j'imagine des orateurs en frac tournant en chevauchant avec quel mérite telles montures à la recherche d'un axe commun de vérité qui se dérobe sans cesse.



Ainsi la perspective de quelque chapardage devant l'abondance affichée n'est-elle pas excusable déjà pour celle qui remontera jusque là le Tibre latin ?



Pour le reste, j'aime tellement Rome que moi qui vous parle, j'ai même baptisé César. Ah oui, pour ne pas que l'on se méprenne, cet autre César est un gentil siamois aussi vagabond que moi mais qui a élu comme les autres domicile ici... forcément puisqu'il y a là dames à fréquenter.

A fredonner : « bella ciao », naturellement.

« All that Jazz » aurait dit M. Poulenc aux « ceusses », selon ses propres termes, qui trouvent et croient en l'harmonie dans l'éclectisme et la diversité des styles.

Vous avez remarqué ? Une petite série sur le délaissé des fora -oui, je persiste dans la grammaire traditionnelle sinon je vais en perdre mon Latin- mort depuis des lustres -pas le, pardon mon Latin, le forum-, un soupçon d'innocence, une pointe de provocation et nos artistes s'affairent à combler les vides... excellent.

Femme qui s'affiche fait nous rêver de tes horizons...


Vigo

Femme que l'on affiche même en musée pour que tu montres à tous le reflet de ta passion fait nous en profiter...


Cadix

Femme si femme que l'on épouse fait nous prendre le large...


Kotor

Femme si voluptueuse sirène habillée d'écarlate fait nous voir la mer...



Fin d'escale en formation serrée à Ijmuiden, bon, moi j'aurais bien de suite serré le cadrage suivant l'élément d'amour qui transcende la pensée humaine, mais que voulez-vous, le travail c'est le travail et tout doit être là, lignes de fuites, ligne... tout court ; ça y est, je vous sens encore distraits par les effets induits, non, pas seulement par les formes généreuses mais en tout bien tout honneur par la couleur -menteurs-. Comme vous le voyez, nul besoin de profondeur de champ réduite, pardon, de flou à bokeh -il faut bien que tous comprennent-, lorsqu'il faut magnifier ce qui flamboie... tout en ne délaissant point le reste, point c'est marre.

Certes y eut-il le style flou thambar du pauvre justement émulé à façon par M. David, abondamment et sans cesse ressassé mais il faut bien l'avouer, être caméléon du plaisir qui vous l'avouerez est autre chose que copieur à défaut d'être faussaire est art qui se perd.

Source d'inspiration...

Point de flou mais en contrepoint, lorsque l'ivresse s'arrête et commence la contemplation, simplement tout en finesse et douceur.



A Marie.

Si bien saisir l'instant...

Femme aux contours cachés toujours surprenante lorsqu'elle est surprise, même l'éclairage dur et furtif te rendra-t-il à ce point hommage qu'il nous fera deviner ton aisance alors que de tes doigts fins tu caresses l'objet.

Qui c'est les meilleurs... les Robert -oh, pour les autres, je déconne, pas question d'ainsi avancer quelque motif de fâcherie avec la katiba des artistes-.

Que voici par cette citation homme de culture et de goût...

Frêle silhouette si bien découpée, forme immanquable entre dureté d'un sol si gris et ciel de traîne -comme quoi des fois, la profondeur de champ tant honnie des sélectionneurs est aussi don céleste-.



Femme que l'on expose et qui s'expose, lassive et si légère entre Prada et graffitis, porte ouverte entre deux univers que tout hélas oppose alors que les couleurs et l'Art souvent les réunissent.



Femme si attentive qu'un parfum fait de sons attire, que passionne l'aimable fantaisie sur un Pleyel, du moins il me semble, fixée sur un instantané brut de décoffrage... saisi juste à côté d'un Stradivarius de la Royal Academy of Music, Londres.



Femme fatale, brillante et brillant dans le noir mérites-tu bien une photographie d'un style... différent.



Oui, je sais, on ne mélange pas les formats, mais puisque je suis seul maître après Dieu de la destinée de ces prises et que l'on se doit ici de tout partager.

Et le sacre du printemps du paternel M. Igor, alors, jamais on écoute ? -je plaisante-

Reste donc un sacré bout de temps pour en profiter et assouvir sa passion...

Je recommande autrement l'Avro Lancaster puisque la vision depuis l'habitacle est rien moins que somptueuse sinon dramatique si l'on pense aux images du flamboyant enfer qu'ont connu au jour le jour et nuit après nuit les trop jeunes gens des équipages et ceux d'en dessous, entrainés dans une tourmente dont l'on ignora et excuse même encore les responsables, ces discrets usuriers ivres de richesses portant piteusement les armoiries de leur clan des puissants dans cette vaste comédie qu'est le monde des passions * -autres que nobles s'entend, donc déjà autres qu'amoureuses envers la gent féminine, les aéroplanes... et les Aston-Martin naturellement, ceci bien sur dans un quelconque ordre suivant l'opportunité dont sait profiter tout gentleman-.

* D'après la divine comédie de ce sacré M. Dante, chants 17 et suivants.

Or donc, j'ai eu ainsi l'honneur d'être accueilli car c'est le mot -prestige et partage de l'uniforme sans doute- à bord du « City of Lincoln » du Battle of Britain Memorial Flight en l'an de grâce 19... oui, celui qui perdit le « 4 » l'année précédente suite à incendie donc dépêchez-vous, on ne sait jamais dans ce métier, bref passons.

Luxe d'un temps passé...

S'installer dans l'unique hydravion Dornier 24 modèle ATT donc équipé de turbopropulseurs et pour la croisière de luxe, sièges cuir pleine peau, dôme d'amour -notez que pour cette fois, ce n'est pas une plaisanterie- est plaisir d'un autre temps, mais il faudrait bien qu'un jour il faille même pour une bonne cause, être autre que M. Harrison Ford ou bien un jour ou l'autre quelque pistonné comme votre serviteur pour être embarqué.

Autrement oui, je sais, celui-là même qui est parti en vrille à plat façon Derviche cette année là aussi... mais sur l'élément liquide de base -je savais bien que l'eau était dangereuse-. Il vous restera sinon Friedrichshafen en Avril et Biscarrosse en Mai de cette année.

A voir : the Dambusters de Michael Anderson, 1955.

A consulter et acquérir absolument, même pour trois francs six sous : Pathfinders et Mosquito at war, Chaz Bowyer chez Ian Allan, ne serait-ce pour la qualité des photographies, naturellement.

A écouter : Spitfire prelude and fugue de Sir William Walton, of course.

Mais où ai-je donc mis les négatifs du « Lanc » ?

Richesses du musée Solent de Southampton.

Tu montes, chéri...



Tout gentleman ayant biberonné l'adrénaline distillée en cocktail et qui caressa son manche -non, pas celui-là, l'autre- rêve d'être un jour ou l'autre dans un habitacle de « Spitfire ».

Preuve flagrante qu'un hydravion tangue et roule aussi.



Messieurs, un peu de sérieux, c'est par ici qu'il faut regarder ; certes fut-il un temps ou il était agréable d'admirer les si élégantes passagères... et de plus souvent riches qui montaient à bord.



Car c'est par là qu'est la plage ou nous allions, celle maintenant couverte d'improbables... plagistes trop souvent en short il est vrai -non, pas celui dont il est ici question, le panty d'homme, bon enfin pas toujours-.



« Un jour comme tout s'efface, ils nous oublieront, comme ils oublient déjà ce contre lequel nous avons tant oeuvré et ce pour lequel nous avons tant donné... »



Un message, pourquoi, vous avez envie d'en transmettre ? (Robert Mitchum, the enemy below de Dick Powell, 1957).



« Un jour et même si cela fut illusion ceux-ci s'envolèrent et s'élevèrent ensemble pour que l'espace d'un moment l'on crut en finir avec la barbarie de ceux qui n'existent qu'à cause de la naïveté des autres. » Travaux en service commandé.



Savez-vous que, fait tout à fait exceptionnel dans l'histoire si discrète, ce fut un modeste français qui prit le commandement de l'escadrille (ou escadron si vous voulez) 143 de la Royal Air Force en 1944 ; l'homme qui fut mobilisé comme simple soldat... dans les Zouaves. Salut à toi, Squadron leader « Max » dont la flamme s'éteignit justement en Janvier, avocat d'une cause si simple qu'elle se résume en 3 mots et si difficile a faire admettre de nos jours, semble-t-il.

Du coup m'en vais-je en ton honneur tirer sans protection ni permission... quelques bouffées d'un Roméo et Juliette.

Bonne année à tous.

Cadeau : un superbe 12 cylindres signé avec un sacré muscle.

Savez-vous que...

1 - Les compagnies de chemin de fer du pays d'orient exposant cette vénérable P8 spéciale immortalisée par votre serviteur portaient des noms français.

2 - La gare de l'Est recélait dans ses locaux d'archives... une station d'émission ondes courtes du service amateur qui accueillait volontiers l'élite des futurs officiers opérateurs, pardon pilotins radio de la Marine Marchande, du temps où les premières Dames le devinrent.

3 - J'ai bien connu Albert « baraka », grand personnage survivant de toutes les grandes opérations de décimation de la grande guerre tout en ayant servi façon personnage de Roger Vercel version authentique donc anonyme ayant évolué en marge des sacrifiés, pardon tirailleurs du Sénégal, redoutés seigneurs de la nuit et un peu coupeurs d'oreilles, pour être finalement esquinté par un « 75 » bien de chez nous qui ne sut faire la différence.


Non, pas celui portant la tenue du baron samedi, pardon de fantaisie et titulaire des outils, le beau gosse au dessus de la croix.

Guibole si parsemée d'éclats qu'ils ne la quittèrent jamais et miraculeusement raccommodée par la science d'un toubib que nous seuls barrés connaissons, toujours spécialiste en armement léger donc d'une mécanique autre que quantique mais las des carnages, il s'engagea naturellement... à la SNCF pour échapper intact cette fois aux guignols du sabotage artisanal en mal d'idéal et aux aviateurs ailés, pardon alliés qui, eux au moins, outre risquer dignement leur existence à visage découvert lorsqu'il faut être prédateur, faisaient souvent un passage « à vide » avant d'avoiner. Notez qu'il fut avec son comparse « Equerre », éternels conseillers du renseignement option stratégique, pardon mécanique, équipage d'une Pacific 231 de « la bête humaine », inspirations de M. Honegger et après la seconde fantaisie de nos échangistes de la toute puissance, cocher de la 141R179.

Main verte de l'homme tranquille cultivant son jardin, l'humilité, la discrétion et la cuisine sénégalaise dans un monde persistant de personnages brouillons cherchant l'adulation, sa devise était : « l'excès de graisse ne sert qu'à coller ce qui use l'acier ».

Titulaire à défaut d'être bénéficiaire des plus glorieuses breloques dont l'homme discret n'avait que faire -c'est de famille-, c'était mon grand père, d'où mes devoirs au beau gosse -c'est aussi de famille-, pardon à l'artiste du coup de main.


Le kaoua servi par M. Brasseur -Pierre- pour le tournage d'opération Jericho il me semble, l'usage de la 141 n'est ainsi pas crédible mais qu'importe...

Cette dernière prise est à mettre au crédit de... devinez ; Sacha « Masour » naturellement, béotiens ! -ne tirez pas sur le pianiste du déclencheur, pardon clavier, je plaisante-.

Elémentaire, aucun... il faut apprendre les bases avant -je plaisante-.

Sinon un IIf-fox, en bref un produit épuré dont on supposera qu'il eut moins de chance d'avoir subit de sévices, à équiper avec un Jupiter-8 par exemple pour la même raison, ou pourquoi pas avec et aussi un 35 « lineogon » de Staeble -attention, le long modèle L comme et pour Leica- acquis pour trois francs six sous naturellement, cela tant que le clampin ne voit pas l'intérêt d'en affubler sa plantureuse moulinette à pixels et c'est tant mieux.

Notez que ces objectifs se caractérisent par un accès facile au réglage du diaphragme ; je sais, je sais, le vieux briscard dira avec raison que telle « programmation » obligatoire lorsqu'il l'est moins fait partie de l'apprentissage, que cela évite de bêtement se tromper de couronne au roi de l'improvisation... mais bon, on évitera ainsi et déjà le désastre de l'empreinte digitale sur l'optique frontale -remarquez que j'use de termes modernes pour ne pas effrayer le futur expert qui sommeille-.

Une bonne partie des objectifs Leica de l'époque restent autrement incontestablement voire excessivement chers pour un état... bon, plus que douteux même s'il est affirmé que cela n'influe pas sur la qualité de l'image -traduit en clair, puisque rien ne semble avoir d'importance, on se demandera dès lors pourquoi s'enquiquiner à polir les lentilles- ; d'autre part, il ne faudrait pas prendre les camarades baptisés à la Vodka pour de simples erectus turbinant à 3 grammes, ils ont usé et c'est le mot du 39 à vis plus avant que d'autres et croyez-moi, ces gens n'étaient pas que des amateurs.

Posez ainsi la question à n'importe quel ex-commissaire du NKVD, ceci pour respecter la trame historique tant utilisée par M. Karl -mais si, vous savez, l'origine des FED-, tout comme votre serviteur souvent reconverti et il vous répondra qu'à chaque boitier son objectif -chose que je n'arrête pas de répéter-, en bref oubliez toutes les absurdes discutions qui tournent au « Western » Est-Ouest sur la distance au film, ces gens furent rationnels : objectifs et boitiers gagnent à être appariés et indissociables même ailleurs que dans nos rêves les plus fous, pratique rendant caduque celle des tolérances serrées sans queue ni tête à partir du moment ou le port d'armes, pardon d'appareils peut se cantonner à 2 pour un professionnel consciencieux.

Notez que les différences peuvent être... conséquentes, bien au-delà de vos cauchemars les plus fous même sur un Zorki de référence.

Les gens de S&W tentèrent d'ailleurs vainement d'inculquer tel raisonnement sinon de suggérer l'évidence à l'amateur de l'Ouest : 2 optiques à poste, 2 riches boitiers associés un point c'est tout ; ainsi aura-t-on pour grande profondeur de champ et plan large : 35 ou 50 sur l'un, serré et impossibilité d'aller au contact : 90 ou même 135 sur l'autre suivant l'humeur et le grossissement du télémètre. Cette combinaison révolutionnaire est encore d'actualité, une combinaison sans laquelle même l'homme trop économe, donc équipé de n'importe quelle unique optique moderne pourtant adulée, verra sa performance intimement liée au hasard.

Notez que ceci serait aussi vrai pour la Dame, mais puisqu'il s'agit là de bijoux il est fort à parier qu'elle au moins, en personne intelligente, marchera plus volontiers dans la combine et vers l'abondance de biens.

Révision ou même révisions de ces bêtes... le moins possible, oserai-je avancer avec raison puisque l'obsession du parfait est aussi le pire ennemi de la mécanique de précision ; nombre de IIf -rappelez-vous, plus c'est simple, mieux c'est- datant de la guerre froide fonctionnent encore comme au premier jour grâce au savoir-faire des gens de S&W alors que d'autres souffrent d'un jeu plus très fonctionnel à force tout simplement d'avoir été trop ajustés sans nécessité.

Vitesses pas tout-à-fait justes, télémètre peut-être un peu décalé ? Qu'importe, tout cela est normal pour un appareil rodé, profondeur de champ, soupçon d'intelligence et propriétés du film pallieront à ces menus défauts, pardon détails ; pour être en phase avec la pensée jeune, disons qu'un Leica de ce type est comme un système d'exploitation, s'il fonctionne déjà avec régularité, c'est surtout touche pas petit...

« Vivre avec et apprécier les défauts, ce n'est pas que le commencement de la sagesse, c'est aimer l'aventure et percevoir l'intérêt de l'amour. », ainsi soit-il... non mais sans blague !

Joyeuses fêtes à tous les profiteurs du 39, quai des orfèvres du plaisir et aux autres aussi, naturellement.

Dans la chaleur de la nuit...

Toi qui a des secrets méfie-toi non pas de tous les couteaux que l'on exhibe... mais des ciseaux du coiffeur qui saura tout de toi si ces Dames ne l'ont déjà obtenu.

Dame, pourquoi es-tu si belle sinon pour être admirée... chapeau bas.


Et bien fol seras-tu si tu passes sans croiser son regard.

Faute de mieux et n'ayant pas eu le temps de consulter le service historique...

Probablement fabriqué au Japon par Swallow Seiki autrement dit Accura en export, qui fabriqua aussi un succédané de Visoflex, sous toutes réserves car j'avoue mon incompétence, n'étant pas spécialiste de ce genre d'ustensile datant de la fin des années 50, du moins je présume...

Mon bon Albert, ça ne va pas être simple... désolé pour le temps de réponse, mais autre occupation fait loi.

« Lorsqu'il vous est affirmé que le parfait puisse être amélioré et qu'il y ait plus merveilleux que la merveille, dès lors pouvez-vous commencer à penser que tout soit improvisé... »

Ainsi suis-je déjà rassuré, j'imaginais déjà ces pauvres -pardon- Apo-Telyt « ex-mil » mis au rancart suite à mon modeste essai, bon, pamphlet plutôt sur la logique de l'illogisme propre à l'esprit humain, prophétique dans les circonstances présentes ; aimable manipulation verbale bien involontaire qui touche néanmoins juste. Certes était-il toutefois préférable de ne pas les jeter de suite puisqu'il doivent bien être bons à quelque chose, surtout si vous avez payé le prix fort, naturellement -je plaisante-.

Bon, allez j'avoue, c'est vrai, je n'ai jamais eu en main de... Nexus 7, pardon Nex 5 ; j'ai en revanche et pour me faire pardonner une assez bonne expérience des produits spéciaux et de leurs déclinaisons plus ou moins heureuses, de produit que certains qualifieront même maintenant d'anachronique ex-voto, du moins sera-ce le cas de cet Apo-Telyt à usage restreint : équipement aéroporté, milieu à faible agitation thermique.

Des conséquences de paramètres négligés, de la notion d'efficience...

A quoi servirait par exemple d'avoir le plus grand des pouvoirs résolvants, ceci en admettant donc et aussi un achromatisme parfaitement apériodique, c'est à dire grosso-modo et veuillez m'excuser si je simplifie, que soit assurée une parfaite corrélation sur toutes les longueurs d'ondes... alors que phénomènes atmosphériques et autre diffusion ne permettent d'en tirer la quintessence que dans des circonstances autres que normales, que de plus après cette greffe d'éléments supposés non neutres dans laquelle on ne perdra pas qu'en transfert, l'homogénéité des performances de l'optique s'en ressent, comme dans le cas de cet Apo-Telyt et sur ce point, tout le monde semble au moins s'accorder.

Soyez autrement persuadés d'une chose : ce n'est pas parce qu'un terme est employé qu'il implique une solution parfaite ni même qu'elle puisse l'avoir été et il en est ainsi de l'achromatisme, ainsi faudra-t-il admettre qu'une sensible amélioration puisse être sélective, qu'elle soit fonction de la tendance chromatique de votre sujet, l'hypothèse étant qu'en valeur moyenne convergence/longueur d'onde, l'optique non corrigée puisse même donner un meilleur résultat, ainsi soit-il.

Ainsi ce modèle improvisé est-il en ballotage défavorable -pardon, mais c'était trop tentant- dans une confrontation avec son jumeau sans greffon et mille photographies ne changeraient rien au fait qu'elle eussent été aussi bonnes dans la majorité des cas même dans le supposé domaine de prédilection du premier sinon sans conteste meilleures avec le second pour le reste.

Dans un autre registre, bassement matérialiste il est vrai mais tellement instructif, la fluctuation de la cotation anglo-saxonne dont la valeur moyenne n'excède guère celle d'un jumeau déjà sous-employé sera témoin d'une profonde indécision quant à cet Apo-Telyt qui semble ne se maintenir qu'avec l'opinion sélectionnée.

Dans cette impossible revendication d'avoir et recommander le meilleur cru, il y aurait maldonne car y aurait-il seulement motif à classement alors que l'objectif, pardon le but et les conditions externes ne sont pas précisément déterminés et détermineront plus qu'autre chose le choix de l'optique.

Tout cela pour affirmer, et vous l'aurez compris après la belle réplique inespérée de Maître Lapetoule un tantinet incantatoire il est vrai -pardon, je taquine-, qu'il est difficile de dissocier informations d'opinions, d'autant plus qu'elles sont ici tout à fait respectables, en tous cas bien plus que celles diffusées par nos médias à défaut d'info, c'est d'ailleurs grâce à cela qu'on la manipulera -l'opinion-.

« je sais pas ce qu'il met dans son biberon mais il devrait faire gaffe » J'en prends bonne note, néanmoins croyez-moi si vous voulez, mais est hélas requise dans certains milieux la capacité de garder les idées claires malgré l'atmosphère des soirées où le traitre cocktail n'a rien d'innocent et les rencontres moins formelles ou le mauvais alcool passe de main en main ; rassurez-vous, j'ai donc arrêté dès que possible... le mauvais alcool.

Merveille : petit beignet du Sud de la France, à consommer avec parcimonie à cause de l'édulcorant.

Que la vie serait triste sans ce petit grain d'élémentaire logique qui a déjà le mérite de tant amuser.

Cocktail de 180, telle œuvre d'un attrait purement symbolique est en noir et blanc parce que... cela prend moins de place, tout simplement.