tu pourras leur montrer ces photos de leurs collègues birmans, ce serait étonnant qu'eux travaillent en tongs

Suite de la forge...
Le foyer alimenté en air par deux soufflets actionnés à la main

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l'enclume...

Merci à toi, j'en ai d'autres de la forge, je vais voir...

Il s'agit d'une même famille : le père, de dos sur la droite (photo 89) et ses quatre fils dont l'un assis actionne le système d'alimentation en air de la forge, chez nous cette fonction est assurée par un gros soufflet.

Merci pour vos +1

La forge où sont confectionnées les hélices des pirogues (lac Inlé)...

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la confection de pâte à papier (Hého)...
d'abord le broyage des fibres de bambou...

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puis trempage avec inclusion de pétales de fleurs et séchage dans des cadres supports...

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fabrication et vente aux birmans des feuilles d'or à déposer sur les statues des bouddhas dans les pagodes et stupas (Mandalay)...
d'abord aplatissage à la masse des feuilles d'or pour aboutir à des carrés de quelques centimètres de côté...

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puis nettoyage le chaque feuille pour la rendre bien brillante...

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et vente directe sur place...

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merci m-photo

Merci à vous pour les +1

merci à toi et oui, j'ai encore dans mes stocks d'autres domaines de l'artisanat local que je présenterai

merci à toi, en effet le Myanmar n'est pas encore atteint du syndrome du tourisme de masse. Les birmans ne sont pas encore exaspérés par les touristes et sont très accueillants. Ils sont très avenants et ont le contact facile. Et bien souvent c'est nous qui sommes plus une attraction pour eux que l'inverse.

Couture et le tissage de la soie...
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à Magwe...

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à Salay...

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sur les bords du lac Inlé...

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à suivre...

On y reviendra un jour...

oui, des hommes et des femmes qui savent encore travailler de leurs mains... mais pour combien de temps encore ?