2050 résultats trouvés

Revenir à la recherche avancée

Summarit 75 2,5 M noir

Je vends mon Summarit 75 2,5 M noir, avec bouchon avant et arrière

Prix souhaité : 900 €

Etat parfait.
Manque la bague filetée (égarée) qui se visse à la place du parasoleil (ou du filtre) lorsqu'il n'y a pas de parasoleil.





par marielle
dimanche 31 octobre 2010 - 12:48
 
Forum: Ventes conclues et annonces anciennes inactives
Sujet: Summarit 75 2,5 M noir
Réponses: 12
Vus: 3082

Summilux 50 1,4 M pré-asphérique, pare-soleil intégré

Je vends mon Summilux 50 1,4 M pré-asphérique noir avec pare-soleil intégré, (bouchons avant et arrière inclus)
MAP mini 70 cm.

Prix souhaité : 1000 €

Bon état cosmétique
Lentilles parfaites, pas de rayures, pas de champignons





par marielle
dimanche 31 octobre 2010 - 12:40
 
Forum: Ventes conclues et annonces anciennes inactives
Sujet: Summilux 50 1,4 M pré-asphérique, pare-soleil intégré
Réponses: 3
Vus: 1181

Leica M7 chromé

Je vends mon M7 chromé, acheté neuf en 2007.

Prix souhaité : 1450 €

Très bon aspect général. 2 marques d'usure sur la semelle (voir photo). Pas de rayure.
A noter : poussières dans le viseur

2 modifications ont été effectuées :
- décoloration de la pastille rouge
- adaptation d'un levier d'armement, bouton de déverrouillage et sélecteur de cadre type MP











par marielle
dimanche 31 octobre 2010 - 12:36
 
Forum: Ventes conclues et annonces anciennes inactives
Sujet: Leica M7 chromé
Réponses: 6
Vus: 2086

Aller au message

Phil VDD a écrit :
Ici:


M9 et Summilux 35 ASPH

l'envie, ça c'est sûr!

:D

J'aurais dit plutôt la luxure :roll:
par marielle
vendredi 8 octobre 2010 - 6:45
 
Forum: Divers (photos)
Sujet: Les 7 péchés capitaux ...
Réponses: 111
Vus: 31813

Aller au message

As-tu téléchargé la version pour Vista ?
Sinon, le concepteur de Vuescan est très disponible et répond rapidement aux mails qu'on lui envoie.
(en tous cas, il y a 3 ans).
Je n'ai plus le Dualscan pour t'aider

Courage !
par marielle
lundi 6 septembre 2010 - 21:52
 
Forum: Labo numérique
Sujet: Minolta DualScan IV et Windows VISTA
Réponses: 34
Vus: 11431

Aller au message

Tu as la réponse ici

Le plus simple est de désinstaller le logiciel dédié au Dualscan, et de faire marcher Vuescan tout seul.
par marielle
lundi 6 septembre 2010 - 21:00
 
Forum: Labo numérique
Sujet: Minolta DualScan IV et Windows VISTA
Réponses: 34
Vus: 11431

Aller au message

clicclac a écrit :
Juger du parcours de Rimbaud, le cul calé dans son fauteuil du 21 ème siècle... il faut oser :?

Comment faire autrement ? :?: Je n'ai pas eu l'occasion d'être de ses contemporains :wink: .
Tu juges bien Céline, le cul calé dans ton fauteuil, toi aussi...
par marielle
vendredi 3 septembre 2010 - 7:42
 
Forum: Divers (photos)
Sujet: PoEsIe…
Réponses: 74
Vus: 13331

Aller au message

J'ai écrit "scribouillard" en pensant à Rimbaud tel qu'il est décrit dans certaines biographies : occupé à faire du négoce, employé d'une agence d'import-export, trafiquant d'armes, voire même demandeur d'esclaves (pour lui-même)...

C'est un terme péjoratif, certes, mais qui illustre surtout ma déception de réaliser combien un cerveau bouillonnant, brûlant d'adolescent génial peut s'éteindre pour devenir un cerveau banal d'adulte banal aux aspirations banales (gagner de l'argent sur le dos des autres, être malhonnête, rêver de devenir rentier, etc)
par marielle
jeudi 2 septembre 2010 - 17:16
 
Forum: Divers (photos)
Sujet: PoEsIe…
Réponses: 74
Vus: 13331

Aller au message

Nikoviet a écrit :
Quant à celui qui se permet d'insulter un poète totalement gratuitement sur la base d'une phrase pêchée sur youtube

Ce n'est pas qu'une phrase. C'est un entretien de plusieurs minutes, où Ferré se complait à insulter tout bonnement la moitié de l'humanité, à savoir les femmes, réduites à leurs seuls ovaires, à qui il refuse le droit d'être artistes ou intellectuelles.
Le pauvre. Avait-il peur qu'elles lui fassent de l'ombre ?

_____________

Je n'aime pas Ferré. Ni sa voix, ni ses textes, ni sa musique. Hop !

_____________

Mais j'aime Rimbaud (jeune, avant qu'il ne devienne scribouillard et trafiquant d'armes)
par marielle
jeudi 2 septembre 2010 - 13:04
 
Forum: Divers (photos)
Sujet: PoEsIe…
Réponses: 74
Vus: 13331

Aller au message

Oh la la ! La traversée de la Meije !! Le Grand Pic, le Doigt de Dieu !
Un rêve !
Merci pour ces photos - et vivement celles faites par gros temps ! Brrrrrrrrrrrr, j'en frissonne d'avance !
par marielle
mardi 31 août 2010 - 12:18
 
Forum: Paysages
Sujet: Aimez-vous la montagne ? Retour à la montagne
Réponses: 2269
Vus: 394030

Aller au message

Geraud a écrit :
(Apres le plus dur c'est de resister a baffer les gamines de 16 ans en train de dire "kawaiii, ohhh c'est trop chou" devant chacune des boutiques...)

citation :
Mais pourquoi voulez-vous baffer comme vous dîtes les gamines qui trouvent kawaï Hello Kitty, pourquoi ne pas baffer les gros ventrus barbus qui fantasment sur le piqué des objectifs Leica?

Pour éviter de baffer tout le monde, j'ai trouvé la solution, trop rapidement évoquée par cet invité :
citation :
j’ai dit que j’aimais Hello Kitty et les Barbapapa

Demander aux géniaux ingénieurs de Solms de développer un M Barbapapa qui pourra se transformer à volonté, en M6 Hello Kitty de gamines de 16 ans en train de dire "kawaiii, comme en sobre M9 noir de gros ventrus barbus qui fantasment sur le piqué des objectifs Leica, en passant par le MP "à la carte" en cuir de zébu, (voire même à poils à l'instar de Barbouille, qui donnerait une allure vintage années 70 au boîtier), le vénérable M3 intemporel, le M8 safari ou le M7 Hermès...
Comme ça, tout le monde sera content :content:
Summilux serait un havre de paix envié par tous les forums du monde entier !
par marielle
dimanche 15 août 2010 - 12:21
 
Forum: Leica M : boîtiers
Sujet: Nouveau boîtier M
Réponses: 282
Vus: 50214

Aller au message

Voici un article reçu ce soir dans mon courrier (adressé à tous les cardio-pédiatres de France) : en prime une photo faite par Gautier !!!

Il est question, dans l'article, d'un Raymond Turpin. Y aurait-il aussi un lien avec notre LaurentT ???
Ce serait une sacrée coïncidence, non ?


"Ceux qui ont fait la Cardiopédiatrie française

Marthe GAUTIER



Photo Gautier BARTOLI




À la question "Peux-tu rédiger une note biographique sur une personnalité qui a marqué la cardiologie pédiatrique française de ces dernières décennies ?" ma réponse a été immédiate et enthousiaste : Marthe Gautier.

Non seulement parce qu’elle m’a tout appris de cette étrange discipline qui, dans ces années, faisait surtout appel à des extraits de fleurs et de la compassion, mais parce qu’elle m’a transmis une forme d’humanisme et de tendresse n’excluant ni la rigueur ni cette tension vers ce qu’il y a derrière l’horizon qui est la marque des plus grands scientifiques. Et c’est pourquoi je la considère comme une des pionnières de la cardiologie pédiatrique au même titre que d’autres femmes un peu avant elle comme Maude Abbott ou Helen Taussig ou dans le même temps qu’elle en Europe.

Fille de la terre née au mitan des années vingt, rien ne lui sera simple ni typique au long d’un parcours professionnel pourtant exceptionnel. Études de médecine dans le Paris de la guerre qui va lui ravir sa sœur aînée admirée et tant aimée, concours hospitaliers peu ouverts aux femmes (dont il faut rappeler qu’elles n’ont pas encore le droit de voter) mais qui lui sourient et lui offrent un Internat de pédiatrie couronné par une thèse sur l’étude clinique et anatomo-pathologique des formes mortelles du rhumatisme articulaire aigu et par une bourse d’études au Children’s de Boston, la déjà fameuse école de Harvard où un certain Alexander Nadas fondait la cardiologie pédiatrique moderne et où Benedict Massel faisait référence en matière de RAA. Elle s’abreuve de connaissances, construit sa base de données sur les routes d’Amérique et, petit supplément au programme en forme de clin d’œil du destin, exerce le travail de technicienne dans un laboratoire de culture cellulaire dont elle acquiert la maîtrise.

Retour à Paris en 1956. Clinicat à Trousseau chez Raymond Turpin, ce qui n’était pas prévu, sauf, encore, par le destin. Mais, passons, un service de Cardiologie Pédiatrique confié à Jean Nouaille s’ouvre à Bicêtre où elle est attendue et où elle va réaliser son rêve : s’occuper des enfants souffrant de maladies cardiaques. Tout cela a l’air simple et linéaire. Mais les choses s’accélèrent sous forme d’une aventure scientifique que Marthe va conduire dans la solitude mais avec une volonté aussi farouche vers un succès retentissant. Comme elle sait cultiver les fibroblastes, que la comptabilité des chromosomes humains est en plein débat et que Turpin se demande si le mongolisme ne serait pas associé à une anomalie chromosomique, elle propose de monter un laboratoire de culture cellulaire, le fait dans des conditions qui font penser aux romans de Dickens et qu’elle raconte elle-même1. Ses connaissances, sa rigueur, son indomptable détermination font fi d’une accumulation d’obstacles incroyable et le jour vient où la découverte s’affiche sous le vieux microscope : toutes les cellules des mongoliens ont 47 chromosomes au lieu de 46. Quelle sensation ! Et les embrouilles vont commencer car las de lire dans les lignes de la main des mongoliens, un élève de Turpin, Jérôme Lejeune, va soudain s’intéresser à ladite sensation et se rendre coupable d’un vol scandaleux2 : pour le monde entier, il se présente comme le "père" de la trisomie 21 et il semble que la route du Nobel ne lui ait finalement été barrée que par les chaînes qui lui servaient à s’attacher aux tables de gynécologie pour protester contre la loi Veil sur l’interruption de grossesse.

Revenons à Bicêtre, à la cardiologie des enfants et au vrai métier de Marthe. Quatre-vingt-dix lits sur trois étages. Au début, on y assistait surtout les fins de vie des jeunes enfants souffrant des séquelles valvulaires du RAA. Il y avait bien une petite crèche au deuxième étage, une dizaine de berceaux, là encore pour choyer et accompagner les quelques nouveau-nés qui avaient échappé à la sélection naturelle des premiers jours. Marthe était leur marraine et rageait de ne pouvoir leur offrir qu’une infinie tendresse. Il était évident que la cardiologie pédiatrique devait commencer par s’opposer à cette impitoyable sélection et que le moyen en était la chirurgie cardiaque. À Paris, la chirurgie cardiaque des années 1960, c’est surtout l’école de Jean Mathey à l’hôpital Laennec d’où émerge Georges Lemoine avec qui elle noue une complicité des jours et des nuits. C’est à cette époque, que je fais la connaissance de cette grande femme au regard passionné, sourire dévastateur et chignon oxygéné. Je l’aime dans l’instant et je passerai 18 mois à l’aimer sans réserves, l’écouter, m’abreuver à mon tour, subir parfois, partager toujours, partager l’envie de savoir, de soigner pour de vrai, guérir de plus en plus. J'ai aussi compris combien l'équilibre d'un service hospitalier tenait à la qualité des relations humaines entre ses différents membres: c'était le cas entre Marthe et ses complices, Philippe Lucet, Jean-Noel Mercier, Jean Fidelle. C'est alors que tout le personnel infirmier donne le meilleur de lui-même avec son affection. C’est l’époque d’avant les ultrasons, d’avant les prostaglandines, celle des cathétérismes dangereux et aléatoires et il faut, enseigne-t-elle, d’abord comprendre les cardiopathies congénitales par la dissection et l’analyse des pièces anatomiques, ce qu’elle fait à merveille, puis utiliser toutes les ressources de la clinique et des seuls examens disponibles, radio et ECG. Combien de fois, le jeune Interne de garde que j’étais lui ai-je envoyé rue de Douai par taxi une radiographie de thorax encore humide et agrafée sur son cadre, et attendu que le taxi revienne avec ce mot : "Blalock droit" ! Car sous son impulsion, la chirurgie démarre, palliative d’abord, en urgence souvent, le jour, la nuit. Les bébés Fallot survivent, les bébés transpositions survivent, les CIV à gros débit du nourrisson survivent, les coarctations s’opèrent et survivent. Bientôt la chirurgie à cœur ouvert s’invite à la fête, d’abord pour les grands, puis pour les petits, de plus en plus jeunes. Les valvulopathies s’opèrent et le RAA est éradiqué. La cardiologie pédiatrique passe du compassionnel à la haute technologie, des rhumatisants aux congénitaux et Marthe s’investit de plus en plus dans la recherche clinique, adhère contre l’avis des mandarins de la Cardiologie parisienne mais avec enthousiasme à un petit club de cardio-pédiatres européens, l’AEPC, auquel elle participe activement et qui deviendra la grande Société savante que l’on sait.

La suite de l’histoire manque de romantisme. L’aventure de la cyto-génétique tenait à la fois d’une exceptionnelle réussite et d’un échec. Celle de la cardiologie pédiatrique dont Marthe Gautier était devenue l’incarnation ne pouvait se terminer que par une promotion hospitalo-universitaire et la chefferie de ce service qui était son enfant. Pas les bons titres pour les femmes, pas les bonnes filières, probablement pas le bon moment. Je me sens un peu coupable, un peu honteux d’avoir pris la place qui lui revenait et qu’on a voulu pour moi. Sans doute l’hommage que je lui rends ici tient un peu de l’expiation. Daniel Alagille, notre voisin à Bicêtre, a vite pris la mesure de son talent et lui offre la direction d’un Laboratoire INSERM dédié à l’hépatologie pédiatrique : elle y fera à nouveau un travail biologique étincelant jusqu’à la fin des années 1980.

La fin de l’histoire ne manque pas de poésie. Retour à la terre, retour intermittent à Ocquerre en vallée d’Ourcq où elle peint des fleurs à l’aquarelle et dans une partition à quatre mains chacune d’entre elles recevra le poème d’un vieil ami, pour l’herbier de Marthe. Elle vit toujours et je la trouve très belle dans sa neuvième décennie. J’aime aussi beaucoup ses peintures sur porcelaine. En fait, je n’ai jamais cessé d’aimer cette grande figure de la médecine des enfants et n’ai jamais oublié tout ce qu’elle m’a donné, sans retour, et qui m’a fait grandir et aimer ce métier.


Jean KACHANER
Mai 2010

1. Gautier M. La découvreuse oubliée de la trisomie 21. La Recherche, Paris. 10/2009, 434 :57-9.
2. Gautier M, Harper PS. Fiftieth anniversary of trisomy 21 : returning to a discovery. Hum Genet 2009; 126:319-24.
3. Gautier M, Chevance LG. Flore en pays d’Ourcq. Amarco Éditions, Pavillons
par marielle
jeudi 22 juillet 2010 - 19:40
 
Forum: Travaux des summiluxiens
Sujet: Reportage à l'hôpital : des nouvelles !
Réponses: 80
Vus: 55768

Aller au message

En tant que médecin, as-tu pu avoir accès aux hôpitaux (en vrai, pas la vitrine !) et te rendre compte de ceci, (dont on se doutait).
Ce rapport d'Amnesty est terrible !
par marielle
vendredi 16 juillet 2010 - 6:54
 
Forum: Voyages
Sujet: Corée du Nord
Réponses: 339
Vus: 68335

Aller au message

Aymeric a écrit :
"Le Couesnon dans sa folie, a mis le Mont en Normandie"

C'est ce que l'on dit par chez moi (Cancale)

Dans ma Normandie bien-aimée, on m'a toujours appris :
"Et le Couesnon, dans son génie, a mis le Mont en Normandie" :langue:
par marielle
vendredi 5 mars 2010 - 0:30
 
Forum: Paysages
Sujet: Bretagne
Réponses: 1780
Vus: 352474

Aller au message

Notre-Dame d'Afrique, à Alger.
J'aime tout particulièrement ce qui est écrit dans le chœur : Notre-Dame d'Afrique, Priez pour nous et pour les musulmans.



Leica MP + 1,4/50 + Portra 400VC
par marielle
lundi 1 mars 2010 - 23:50
 
Forum: Architecture
Sujet: Lieux de culte
Réponses: 6
Vus: 3112
PrécédenteSuivante

Revenir à la recherche avancée