Attendons de voir ce qu'il en est du 24x36 (en admettant qu'il s'agisse vraiment du même film qu'en PF).
En attendant, je suis un peu étonné que, dans un révélateur solvant, la durée de traitement double pratiquement (x 1,9) quand on passe de la solution pure à la dilution 1+1; habituellement, le facteur de multiplication est aux alentours de 1,3.

D'après ce qui se dit ici et là, la résolution est pratiquement identique à celle de la Tri-X, mais avec un micro-contraste moins élevé diminuant la perception de netteté. La latitude d'exposition est bonne, avec une sensibilité effective vers a sensibilité se situe vers 320. Le rendu général semble un peu manquer de dynamique (je ne fais que résumer des jugements d'utilisateurs, sans avoir rien expérimenté moi-même).
En tout cas, ce film est proposé dans divers formats, ce qui est en soi une nouveauté pas vue depuis des lustres.

Je ressuscite cette ancienne annonce qui reste d'actualité.

Tom Abrahamsson vient de disparaître.

https://www.flickr.com/photos/rapidwinder/

Pour ceux qui l'ignoreraient, il avait été photographe professionnel en même temps que concepteur de divers accessoires pour Leica qu'il fabriquait lui-même.
Il était surtout un fervent de matériel de prise de vue, de films et de techniques de développement dont il avait une connaissance et une mémoire extraordinaire. Ses jugements et ses critiques en la matière, qu'il partageait avec grande générosité sur internet étaient fondés sur des expérimentations effectuées dans toutes les conditions réelles possibles, parfois durant des années. Son expression était toujours avisée, pondérée et sans parti-pris. Il était toujours curieux de nouveauté, sans pour autant devenir amnésique.
Les amateurs trouveront sur son site ainsi que dans ses interventions sur rangefinder.com une foule de remarques utiles et précieuses.

L'affaire étant conclue, je remercie Summilux.

j'ai rencontré le même problème avec de la Foma 200 en format 6x6 il y a bien des années. Il s'agissait alors clairement d'un défaut de fabrication visible dans le fait qu'en lumière rasante, la surface du film opposée à l'émulsion reflétait des traînées plus ou moins mates. Voyez s'il en serait de même dans le cas présent ?

toujours en vente

Pour la prise de vue:
-- film naturellement granuleux;
-- filtre orange ou rouge
-- sous-exposer d'au moins 1 IL
-- révélateur non solvant, non dilué (Rodinal ou autre)
-- sur-développer

Pour le tirage:
même principe, en ajoutant un peu de bromure dans le révélateur pour éviter de voiler les zones les plus claires lors du développement prolongé.
Eventuellement retoucher les valeurs claires au ferricyanure avec un pinceau fin.

Des traces huileuses sur les lamelles d’un diaphragme ne sont jamais bon signe pour diverses raisons :
-- l’huile à vocation à siccativer, autrement dit à « coller » entre elles les lamelles, en tout cas à entraver leur libre circulation ;
-- une dérive huileuse (ou graisseuse) peut être causée par l’emploi d’un lubrifiant trop dispersant (banal, surtout après 50 ans) ou bien, plus rarement, mais plus sérieusement, par un défaut mécanique du diaphragme (typique de certains Nikkors).

J'ai une cuve américaine Nikor en inox (pas Nikkor) qui présente exactement les mêmes inconvénients que les autres.
Son avantage est qu'on peut la laisser tomber sans risque de la briser et qu'elle est très facile à nettoyer. Pour le reste, c'est pareil...

En l'absence de toute réaction à ma proposition d'échange d'un Summicron II contre M3 (annonce archivée), je change les termes.

Je propose à présent:
-- un boîtier M2 dont l'état d'apparence est normalement usagé, sans marques particulières, mais sans l'apparence du neuf. Ce M2 a été entièrement révisé par Marc Nicolas il y a deux ans (facture jointe).

à échanger contre:

-- un boîtier M3 postérieur à 1959 (numéro de série supérieur à 976501), en bon état d'apparence comme de fonctionnement, de préférence révisé. Je précise bien que je ne cherche aucun autre modèle.

Je ne mets pas de photos, mais il va de soi que si quelqu'un est intéressé, je lui en ferai parvenir, de même que j'attendrai de sa part des photos.

J'ai regardé d'un peu près le rayon "charnières" d'une grand quincailler en me disant qu'il ne devait pas être bien difficile d'en retailler une. Hélas, je me suis rendu compte que les fabricants laissent un écart d'au moins 2mm entre les deux faces quand on les place parallèlement. Cette piste semble donc exclue.
Si quelqu'un envisage de se lancer dans une production limitée, il serait avisé de prendre comme référence le modèle permettant de biseauter l'extrémité du film de façon à la faire rentrer dans la fente réceptrice d'un cartouche IXMOO.

toujours d'actualité

il y a un problème de tension évident. C'est très facile à traiter, mais cette intervention n'a de sens que si votre appareil est "propre" (les vieux lubrifiants ont été remplacés dans les règles) et que si vous avez un appareil pour vérifier la vitesse d'obturation.

C'est ce que j'ai pensé, mais avec un bémol, cependant: les Contax IIa et Leica IIIc ont été conçus à la fin des années 1940. Les Nikon sont plus récents d'une décennie. Attendons de voir dans dix ans comment ils se comportent.
En tout cas, il est certain que la fiabilité et la régularité de ces Nikon est remarquable.