Malheureusement ce superbe ouvrage est méconnu.
Un autre ouvrage à lire sur la composition et la couleur cette fois... (j'en avais déjà parlé plus haut dans ce post) :
Composition et couleur en photographie de Harald Mante

Bien que ce ne soit pas la panacée, il est possible d'utiliser le CL en manuel intégral pour du street photo.

Tri X 400

Cellule type Gossen Digisix en main, prendre la mesure d'expo :
un petit f8-1/60 c'est sympa

Caler la distance comme il convient:
1m ===> cela permet une netteté de 0.85m à 1.2m environs
1.2m ===> cela permet une netteté de 1m à 1.5m environs
1.5m ===> cela permet une netteté de 1.2m à 2m environs
etc.

On ne bouge plus aucun de ces paramètres. Et on entre en chasse.
Restera plus qu'à cadrer et déclencher sans se soucier de la map, vitesse ou ouverture.

C'est d'une efficacité et d'une rapidité redoutables.
Le CL est hyper discret (visuellement) si on a pris le soin de gaffer toutes les mentions écrites en blanc sur l'appareil.
Seul défaut, le déclencheur n'est pas aussi discret qu'un M4 (loin s'en faut).

Est-il possible de procéder à la ré-argenture du prisme (de quelques millimètres carrés) d'un Leica CL avec le Mylar ?

Voila a quoi ressemble le prisme en question :

http://www.angelfire.com/biz/Leica/page21.html

Oui, c'est bien pour cela que les valeurs sûr restent les M1 M2 M3 et M4.

Le M4 est et restera le meilleur leica M intégralement mécanique jamais construit.
Tant du point de vue composants internes (pièces industrialisées), clarté du télémètre que du point de vue ergonomie.

Les M4-p seront les futurs M6.

Ses illustres prédécesseurs (M1, M2, M3) sont des pièces uniques. Chaque appareil a vu ses composants ajustés à la main !
Ce qui veut dire qu'en cas de panne mécanique et dans l'éventualité d'un changement de pièce, eh bien seuls "les anciens" ayant été formés à Wetzlar ou Solms possèdent les compétences techniques et le savoir "des maîtres" pour ajuster la pièce remplacée.

Le M5 pour sa part était en avance sur son temps ! Un appareil mythique, certes, mais mis à l'écart par les Leicaistes purs et durs. "Comment prétends-tu donc bousculer la lente évolution des Leica M ?". Et pourtant quelle pièce magnifique, premier appareil avec spotmètre intégré ! Que dire aussi de sa molette des vitesses sous l'indexe (emplacement de la molette - même si ce n'est pas pour la même fonction - reprise des années plus tard sur les Canon EOS, rien de moins !)

Le M6 a perdu en clarté du télémètre... et est devenu plus "électronique" pour moi, hélas.

Ceci n'est bien entendu "que" mon point de vue les amis.

Super news pour Kodak.

Mauvaise news du coté de Fujifilm qui annonce la fin de 2 films 135 : Neopan 400 N&B et Fujichrome Provia 400X

http://www.bjp-online.com/british-journ ... tinuations

As-tu bien regardé l'imprimante que cet artiste utilise ?
Ton imprimante, malheureusement, ne révélera pas les fins détails de l'image qui ont transité par ton magnifique summilux (ou sumicron) et capturés par le capteur de ton, non moins magnifique, Monochrome.
Aussi, tu risque d'être sévèrement déçu du résultat...

Oriente toi plutôt vers ce modèle d'imprimante : Canon pixma Pro 1

http://www.lesnumeriques.com/imprimante ... st-complet

Pour être bien informée sur le sujet de l'équipement pour le développement et le tirage, il n'y a pas mieux que de se procurer le livre :
Titre : Noir & Blanc de la prise de vue au tirage
Auteur : Philippe Bachelier
Editions : Editions VM
ISBN 2-86258-164-X

Qui sera pour vous une mine d'information, pour toute la chaine photographique : de la prise de vue au tirage final (en noir et blanc).

On est d'accords Jean D., je ne disais rien d'autre.

Et j'ajouterais que seul des verres de hautes qualité on une surface plane et parallèles ET un plan de fixation parallèle à la lentille frontale.
Si ces trois paramètres ne sont pas réunis, alors il n'y aura pas focalisation sur le même plan que le négatif ou le capteur. D'ou la perte de netteté sur les bords et le vignettage.

La Loi de Descartes ne dis pas moins.
(Cela n'a rien à voir mais quand j'étais jeune j'allais au Lycée Descartes...)

Il ne faut pas oublier que lorsque l'on installe un filtre devant la lentille frontale d'un objectif, on ajoute un "verre" à cet objectif.
Hors cet objectif a été calculé (nombre de lentille et groupement) pour focaliser de façon optimum sur le négatif (ou le capteur numérique). Aussi, lorsque l'on ajoute un filtre devant la lentille frontale, on modifie ce calcul, et par conséquent la manière dont les rayons de lumière entrent dans l'objectif et focalisent sur le négatif ou le capteur.

Il faut donc fuir tout ce qui est "bon marché" en plastique ou en résine. Il faut prendre des filtres en verre, certes plus chères, plus fragiles, mais de très haute qualité optique.

Voici deux exemples de constructeurs de filtres de haute qualité, en verre, la marque LEE par exemple :
http://www.lovinpix.com/fr/filtres-nd-g ... et-09.html

Ou encore la série X Pro de Cokin en verre organique :
http://www.cokin-filters.com/fr/systeme ... ro-series/

Ps. un petit coucou à mes amis de Ceret, Colioure.

Si c'est à cause de la luminosité que tu mets ton filtre, alors utilise plutôt un filtre ND (neural densité ou gris neutre). Ca a l'avantage de ne rien modifier en terme de contraste, et de pouvoir utiliser des vitesses plus lentes. Ma TriX 400 devient une 100/125 en plein soleil avec ce filtre. (compensation sur ma Gossen Digisix).
J'utilise un B+W S. 5.5 4X sur mon Summicron C 40 avec mon M4.

Ton HP Elitebook 2530P peut faire tourner LR4 sans problème.
Mon ultraportable le fait bien : Compaq mini 311c-1170Sf = Atom N270 (1,6ghz mono cœur évidement) - 3Go de Ram.

Par contre fiabilité des couleurs, tu repasseras.
Il ne me sert que pour le transfert (sauvegarde) des images et de "tirage de lecture" lorsque je suis en congé. (Canon Eos 5DMk2).

Et cela fonctionne suffisamment bien.

Rollei RXN dilution 1+9 penadnt 7-8 minutes.
(ne pas se tromper, je n'ai pas écrit Rollei RXA)

Le zone system d'Ansel Adams traite de l'ensemble de la chaine : de la prise de vue au tirage final. Que ce soit en grand format ou en 24x36 cela ne change rien... si les 12, 24 ou 36 poses du négatif on été pensé de la même manière à la prise de vue. Ensuite pour ce qui est du développement du négatif... il faut pratiquer le stand dev. De cette façon, tu ne traite pas "cliché" par "cliché" comme pour du grand format, mais l'ensemble pour obtenir une homogénéité de la densité du négatif dans son intégralité.

Pour ce qui est de l'usage des filtres séparés, je n'ai aucun argument "pour" ou "contre", parce que je ne suis ni pour ni contre, de plus, je n'ai jamais pratiqué le filtrage séparé. Et pour cause, je n'ai jamais fait de tirage NB avec une tête couleur. Pour la bonne et simple raison que j'utilisais une tête multigrade.

Ensuite, quelque soit le résultat du tirage de lecture, tu auras toujours à utiliser des masques pour "faire venir" ou au contraire pour "retenir" des zones de l'image ; mais là on est plus dans l'art et la maitrise de cet art par le tireur. Chaque tireur aura une interprétation personnelle de la scène...

C'est pour répondre à ces questions que le tirage doit être pensé à la prise de vue d’où l'utilité de pratiquer le zone system d'Ansel Adams...