J'habite tout près de Nantes, et ai acheté un beau M8 état neuf, chez CAMARA il y a 3 mois.
Je l'utilise comme mon M6 : la seule différence est que la pellicule est remplacée par le capteur, et avec les mêmes contraintes : pas ou peu de sensibilité au delà de 400 "ASA", qualité d'image suffisante pour un agrandissement format A4 ...
Un peu comme je faisais avec mon agrandisseur !
Pour moi, c'est le M numérique parfait : un argentique, avec un capteur semblable à une pellicule ni plus ni moins !!!

en ce qui me concerne, pour mon M4, c'est tension après la préparation à la 1ère photo, soit armement + 3. Comme ça aucun problème

Très étonnant en effet, car vu la superficie du patch, un décalage droite-gauche est surprenant !
A-t-il eu un choc ?

30 rouleaux, et pas une défaillance !

R8, R8, R8 !!
Il est certain que la réputation de Leica est celle des M, pas trop des R.
Le R8 a connu, c'est vrai, des problèmes électroniques à ses débuts. Il s'agit d'une mauvaise isolation du boitier qui générait des blocages parfois graves en cas de montage du winder.
J'en ai eu deux : le 1er acheté dès sa sortie = aucun souci (mais pas de winder), et le second acheté il y a 2 semaines à Bièvres : aucun souci également.
Il convient, pour se rassurer, de regarder le numéro de série : les tout premiers sont susceptible de buguer avec le winder (mais si tu ne l'utilises pas pas de problème), mais l'électronique a été revue ensuite.
En résumé, pour moi, soit série M (le M3, mon préféré), ou série R, le R8 ou R9 !

Et bien moi, je viens de racheter à Bièvres il y a 15 jours un R8, identique à celui que j'avais acheté en 1997, puis revendu pour raisons financières.
Magnifique boitier, très performant, avec lequel je viens déjà de griller 5 pellicules de FP4+ et Delta 100.
Trop bien !

Bon, moi je vis mon grand retour aux pellicules ILFORD !
Après l'achat d'un M240 (magnifique boitier, effectivement, mais dont je ne me sers quasiment plus), j'ai acheté puis restauré un M7, puis un M4 et enfin un M3. Du pur bonheur avec le ré apprentissage des vraies photos posées, mesurées. Et puis de charger une pellicule, armer le levier, mesurer la lumière .... !
La seuls chose que je ne fais plus, c'est les tirages papier sous agrandisseurs. J'ai revendu mon agrandisseurs en début d'année, et scanne mes négatifs pour les tirer sur du numériques.
Je sais, ça ne fait pas puriste (j'assume), mais autant j'ai bcp de plaisir à développer mes négatifs, autant tout installer pour tirer sous agrandisseurs ne paraissait trop contraignant et chronophage.
J'ai acheté une EPSON R3000, du papier baryté et c'est parfait.
Alors vas-y, fonce !
Mais attention, sois patient car souvent des débuts (ou retours !) à l'argentique sont décevants, trop habitués que nous sommes aux automatismes et rattrapages que permettent le numérique.
Bonne chance et surtout bonnes photos !!!

Alors pour moi, réponse simple : la quintessence reste le M3, avec un Leicameter MR. Je viens d'en acheter un que j'ai restauré, et franchement c'est magique. La vraie photo argentique posée, où on prend la temps de mesurer la lumière, choisir le couple diaph / vitesse, fair ela mise au point dans un viseur avec un grossissement 1 ...
J'ai un M4 et un M7, mais j'aime le côté "rétro" du M3.
L'armement en deux temps (j'ai un des premiers), la douceur des commandes. Bref une excellente école avec un très bel outil !