Contre-jours de fin d'après-midi, un M7, un 50 et un mélangeur de couches pour de la Kodachrome 64.



Le transfert sur le net semble me diminuer les contrastes.

Bonnes photos à toutes et tous

Cordialement

Merci de vos points de vue sur mon image et de vos propositions. C'est cette dernière version qui me convient finalement: le mouvement chorégraphique (terme de Lison) est bel et bien le sujet de l'image et le cadrage plus en horizontal (regard de mektoub) met mieux en valeur ce que j'avais capté ce jour-là.
Quant au contraste, il varie après transfert sur le site de Summilux (l'image n'est pas "molle" sur mon écran).
Quel conseil auriez-vous pour l'encadrement: le format n'est pas standard ? Faire un passe-partout sur mesure, dans un cadre conventionnel ?

Et ainsi ? Ce cadrage permettrait de conserver l'aspect chorégraphique de cette scène et donne plus de présence aux jets d'eau qui placent les "acteurs". Le spectateur de droite ferme l'image et contrebalance le personnage de gauche

Et en y allant encore plus dans votre sens (plein cadre dans la largeur de l'original) ?

Les jets d'eau invitent plus à un format 2/3 (ou 4/3) qu'a un cadrage un peu en panoramique, afin de conserver l'élan général

cosi ?

On perd les spectateurs

Je m'y jette en vous postant ma première image sur Summilux.net




Berne, Bundesplatz, M7, 2/35 Asph, Superia 200 + Coolscan 5000, sans accentuation.

et avec le scanner, une main suffit.

A utiliser, non; ce qui est plus complexe, c'est le post-traitement de l'image, la recherche de la reproduction fidèle et vouloir obtenir un scan d'apparence identique à la diapo visionnée sur la table lumineuse.
Puis vient la question de l'impression "maison" qui elle est assez laborieuse si l'on veut maîtriser tout le processus.
Si l'idée est de faire du web avec ses images argentiques, le plus simple est de commander em même temps que le développement seul une planche contact et un CD-Rom contenant les nég/dia scannés. Puis ensuite, numériser les images vraiment significatives (comme le suggère Alain Besançon)
Si l'on veut sauvegarder son oeuvre argentique par numérisation, alors il faut le LS5000 avec un chargeur pour avoir du rendement (quoi que, je me méfie des machines qui devraient fonctionner toutes seules sans problème pendant que je bois l'apéro ou que je dors tranquillement dans mon lit...)

Si on veut commander qqch en utilisant l'anglais, voir le lien ci-dessous

http://www.mapcamera.com/english/inquiry.php

Pour les jolies femmes, tout est aussi question de flair et de grande sensibilité (et mieux vaut être éclairé !)

Il fait désormais le bonheur d'un hôte de summilux.net. !
Bonne continuation.

Il me semble que ce sont des repro numériques, bien de loin mais loin d'être bien.
Pour moi, le sujet étant plus important que l'objet, j'ai surtout été sensible à l'approche qu'a René Burri:
Il voit, puis regarde et enfin nous donne à observer. Quel que soit l'objectif fixé sur l'appareil, apo ou pas apo, c'est au point ...
Intéressant aussi le fait que, 50, 75, 35, 90, de toute façon c'est recadré quand c'est publié. Ce qui relativise l'importance de la focale en utilisation "presse". Et au passage, l'image perd de son objectivité.

Bonnes photos !

... ou qui arrive à créer la peur de manquer... (je sors de l'expo consacrée à René Burri, avec une grosse envie de photographier...)

Ce que j'aime dans cette image, c'est le rapport "terre-nuages", comme si les deux éléments étaient en attente l'un de l'autre:
La terre en attente de l'eau nécessaire à la vie en puissance contenue dans les sillons, et les nuages en attente de cette vie à lui venir en retour, par le cycle de l'eau.

A suivre ?


Phil.