Bonjour !


Mieux vaut consulter les bonnes sources…

• Le dico de notre site préféré s’avère plus complet : UOOZK !
• Les catalogues Leitz spécifient les quatre utilisations de cette bague (voir par exemple celui de 1973, page 73).

Il est vrai que la possibilité de démontage de la tête de l’objectif Telyt f:4/200 mm n’est guère mentionnée dans la littérature…
Les catalogues Leitz illustrent cependant la tête isolée (voir par exemple celui cité, page 47).


Probablement, après avoir réglé les bagues du diaphragme et de présélection sur f:22.
Je viens d’essayer, sans succès ; je préfère ne pas forcer ce filetage, qui n’a jamais été dévissé depuis 1967 !

Jean D.

Bonjour !


Ici (fonction "Rechercher")


Certes, mais pourquoi on se décarcasse ?

• Focales de 21, 28 et 50 mm : 14097 / IRZOO
• Focale de 90 mm : 14098 / ISBOO
• Focales de 35 et 135 mm : 14099 / ISOOZ

Ayez le réflexe "dico" !

Jean D.

Bonsoir et merci pour vos voeux !

La tête de l’objectif Telyt f:4/200 mm est bien amovible.
Cette tête pouvait d’ailleurs être livrée seule pour emploi sur le dispositif à soufflet (mise au point depuis l’infini jusqu’au rapport 1:3).
Une bague intermédiaire (UOOZK / 16598) est nécessaire pour ce montage.

Jean D.

Bonsoir !

À propos du dispositif de mise au point rapprochée ADVOO, merci à Mak dont les photos viennent d’enrichir le dico !

Jean D.

Bonsoir !

Merci pour le dico : les entrées FHKOO et FCKOO sont maintenant illustrées !

Jean D.

Bonsoir !


Il me semble qu’il s’agit plutôt d’un Elmar f:3,5/3,5 cm, mais cela n’explique pas le feu des enchères...

Jean D.

Bonsoir !

Rien n’a coulé, mais c’est effectivement un petit signe de décrépitude !
Il s’agit probablement d’un phénomène optique (franges d’interférences) traduisant une très légère amorce de décollement, demeurant heureusement locale, en périphérie des deux prismes. Je ne pense cependant pas que ce soit inquiétant, ce décollement devrait être stabilisé…
Quant aux deux rangées de minuscules taches (en haut et en bas), ce sont d’infimes gouttelettes de baume du Canada excédentaires, qui ont suinté aux arêtes des deux prismes après leur assemblage (on les distingue en regardant attentivement par l’avant dans les viseurs des Leica M2 et M3 sous une certaine incidence).

Jean D.

Bonsoir !

« Ouvrons donc le débat sur le degré de collaboration de Leica avec le IIIème Reich... » (citation puisée ci-dessus)
Sujet curieusement récurrent, relevant probablement d'un a priori...
Ouvrir le débat ? Dans ce fil, l’attitude de la firme Leitz face au nazisme a été évoquée et la brimade dont fut victime Max Berek, l’éminent opticien de Wetzlar, est rappelée.

Jean D.

Bonsoir !

Merci par avance, Mak, quand tu pourras…
Pour illustrer le dico, s’il te plaît : les photos n° 1, 2, 3 et 7.

Jean D.

Bonjour !

Merci pour la suite de ce reportage... Comme le poulain Baloo a grandi et forci, en quatre mois !
Superbe N&B agentique et scans, mais cette louange confine au pléonasme lorsqu’on évoque les images présentées par Paradoxal...
J’admire en particulier la dernière photo : quelle précision sur tout le champ, quel magnifique éventail des nuances de gris !

Jean D.

Bonsoir !

Il faut dissoudre le baume du Canada scellant cette grande lentille (xylène ou toluène), puis l’extraire précautionneusement et patiemment (ses bords sont épais et elle est étroitement ajustée).
L’opération demeure longue et délicate, nécessite certaines compétences ; les solvants du baume sont toxiques et très volatils.

Jean D.

Bonsoir !

Le viseur SBLOO ne comporte qu’une seule lentille : la grande lentille antérieure rectangulaire (divergente plan-concave) ; les viseurs SLOOZ et SBKOO respectivement deux et trois. Ces lentilles ne sont pas traitées : nettoyage précautionneux à l’eau claire et au savon de Marseille, ou au produit-vaisselle ! Rinçage à l’eau claire. Essuyer à l’aide de papier absorbant, puis "polir" délicatement au chiffon très doux non pelucheux.
Mieux vaut ne pas tenter de démonter le reste (miroir…) qui ne s’extrait pas facilement, si ce n'est pas vraiment nécessaire, car c'est difficile et très risqué : l’essentiel - sinon la totalité - du trouble observé provient généralement de l’encrassement de ces grandes lentilles.

Jean D.

Bonjour !

Oui vraiment bravo, je suis très étonné que la soudure ait cédé aussi facilement !
L’explication de Jean-Philippe est intéressante : « "rouler" sur la soudure (…) annule quasiment toute contrainte sur le support ».
Les deux orifices circulaires, normalement dissimulés par l’embase, doivent jouer un rôle lors de la fabrication du boîtier ; ce qu’on distingue à l’intérieur est probablement la "cage annulaire" ; le petit trou dans le prolongement est le "trou d’aération" que j’ai évoqué ici.
Ce sauvetage difficile est en bonne voie !

Jean D.

Bonsoir !

Une meilleure idée me vient :

• laisser tel quel ce viseur SBLOO estropié en conservant sa patte restante (ce qui évite tout risque à l’optique),
• prélever l’embase de cet autre viseur en ôtant les trois vis,
• supprimer d’un trait de scie fine la partie indiquée par la flèche (déjà largement séparée),
• ébavurer soigneusement à la lime (c’est probablement de l’aluminium),
• avec un peu de chance cette embase modifiée épousera l’arrière cylindrique du viseur SBLOO à côté de la patte restante (sinon l’ajuster à la lime demi-ronde),
• la coller avec une colle appropriée pour unir les métaux !

Jean D.

Bonjour !

Entendu, merci Mak, quand tu pourras…
Par exemple une photo montrant bien l’ADVOO en gros plan (celle figurant est un peu floue) et une autre sur ton IIIg (pareillement orienté en entier) avec la mise au point bien nette sur cet étonnant dispositif.
Et des photos d’autres accessoires anciens, si tu en possèdes, un grand merci !

Jean D.