Toujours disponible, 700 euros.

Vends objectif Summicron 5Omm f/2 noir, avec housse cuir, boîte, bouchons d'origine. Filtre UV Leica en sus. Acheté neuf en 2004.

Les photos en lien :

Image 1
Image 2
Image 3
Image 4

(Les photos ont été faites avec un vieil APN fatigué que l'on m'a prêté. Mes excuses pour leur faible qualité.)

Peu servi, état cosmétique et optique comme neuf.
Filtre UV Leica en sus.
Mode d'expédition à convenir avec l'acheteur.

Prix : 800 euros.

Offres par MP.

Vendu. Merci aux administrateurs de fermer le sujet.

Je vous ai écris clairement à ce propos, il me semble.

Et me suis excusé auprès des personnes qui avait sollicité des photos, n'ayant, à tord sans doute, pas considéré leur demande de renseignement comme une option ferme sur l'objectif.

Objectif réservé par MP. Je confirmerai sa vente dès que celle-ci aura été définitivement conclue, le cas échéant.

Merci à tous pour votre intérêt.

Strovoï !

Un cadeau ? tant mieux alors.

Je m'en sépare car il roupille et qu'en plus, vieillissant, j'utilise de moins en moins le M.

(Peut être même que d'autres choses seront proposés en vente ici même.)

Toujours dispo., et j'espère pouvoir faire quelques photos assez rapidement.

Désolé pour l'oubli ; Il est noir.

Pour les photos, il me faut mettre la main sur un truc à image numérique. J'essaie de faire le nécessaire au plus vite.

Vends objectif Voigtlanger Color Skopar 21mm avec bague adaptatrice monture M à baïonnette, pare-soleil, viseur externe et boite d'origine, le tout en très bon état.

160 euros, port compris.

Le Rodinal est fait pour durer. Un test de développement sur une bande de film exposée pour un sujet quelconque permettra de lever les doutes quant à son état.

Pour l’Agefix, il suffit de tester la durée de clarification d’un morceau de film non exposé ; si le fixateur est encore bon, le film devrait avoir été totalement éclairci en 2 minutes.

Au labo. dans l’obscurité totale, sort le film de sa cartouche sans la décapsuler avec un récupérateur d’amorce (si tu n’en as point, un bout de film que tu glisses dans la cartouche peut faire l’affaire avec un peu de doigté). Coupe une bande correspondant en gros à deux vues (entre 15 et 20 cm compte tenu de l’amorce). Rembobine ton film. Développe ton « cut test ». Et ensuite, développe le reste de ton film, après ajustement si nécessaire de la durée, comme d’habitude.

Le traitement des films couleurs est standardisé (traitement C41, E6). On ne modifie donc rien aux durées indiquées.

Pour le processus en négatif (C41), révélateur chromogène, blanchiment, fixage lavage et stabilisant.

En positif (E6), le processus est similaire à celui du développement des films inversibles : un premier révélateur, lavage puis inversion (lumineuse jadis, chimique aujourd’hui), révélateur chromogène, conditionneur, blanchiment et fixage puis lavage final.

Les traitements se font à une température des bains à 38 degrés (la rigueur nécessaire est moins importante que pour le traitement des films). Il faut préciser que, contrairement au n&b, les traitements et les chimies ont été calibrées pour le travail en minilab de plus en plus automatisées.

Une sympathique introduction à la couleur, ici.

Société Coger
79, rue des morillons
75015 PARIS
Tél : 01 45 32 71 04

On y trouve tout. Pas de site internet. Un simple coup de fil, ou un coger@coger.fr et vous aurez un devis pour ce que vous recherchez. Chèque à la commande et livraison rapide (sauf si rupture sur un produit – le principal fournisseur est en Espagne). Les quantités de bases sont généralement de 100 ou 250 grammes selon les produits. La boutique est très sérieuse.

La sensibilité spectrale du Rollei IR ressemble beaucoup à celle du SFX 200 d’Ilford (sensibilité étendue jusque vers 750 nanomètres), ce qui est peu pour un film dit IR. Il s'agit plutôt d'une émulsion panchromatique dont la sensibilité spectrale est étendue dans le rouge (zone où les films classique perdent leur sensibilité). La sensibilité spectrale d’une émulsion classique bloque vers 650 nanomètres. Le seul véritable film IR est le Kodak IR HS 2481 dont la sensibilité est étendue jusque 900 nanomètres. Ceci pour dire que l’effet IR sera que peu spectaculaire avec le film Rollei.

L’intérêt de l’utilisation d’un filtre IR est qu’il bloque le spectre visible pour ne transmettre que le rayonnement IR (à partir de 700 nanomètres environ). Tous les sujets transmettent du rayonnement IR, mais dans des proportions qui n’ont rien à voir avec les densité que l’on a l’habitude de voir en n&b « normal ». Par ex., la végétation émet beaucoup de rayonnement IR et donc présentera de hautes lumières avec un film IR - l’eau, le ciel bleu, l’absorbe au contraire et seront rendu par des zones très denses. Si l’on utilise un film IR sans filtrage spécial, tout le spectre, visible et IR, impressionnera le film. L’effet IR sera amoindri, voire noyé par le rayonnement visible. Avec le filtrage IR le film n’enregistrera que le rayonnement IR, mais dans la limite de sa sensibilité spectrale (donc de 700 à un peu plus de 750 nanomètres pour le Rollei, ce qui est peu). Les filtres rouges ou orange ne bloquent qu’une fraction limitée du spectre, leur usage en photographie IR est donc très limité. En revanche, il y aura un décalage de la mise au point à prévoir, les rayonnements IR décalant la mise au point légèrement en arrière (ou alors utiliser un diaph. fermé pour compenser par la profondeur de champ).

Pour finir, un film IR se développe avec une chimie classique. Tous les révélateurs font l’affaire, selon les goûts et préférences de chacun. Mais j’invite vivement qui souhaite se lancer dans la photographie IR de choisir l’émulsion Kodak. C’est cher, très cher, mais hors normes et tellement IR.

& une belle année à toutes et à tous.

Le faire ?

Sportif mais pas impossible.

Projection au sol, margueur sur mesure en carton (faire réaliser un passe-vue d'encadrement aux côtes du tirage), développement et fixage en gouttière maison (on roule délicatement l'épreuve). Beaucoup de soins dans les manipulations, un peu de gachis pour commencer, mais sans doute beaucoup de bonheur au final.

Je m'associe à ce coup de coeur pour un photographe quelque peu oublié, à mon sens.

En règle générale, les livres des Editions de la Martinière sont très bien réalisés.