J'aime ces images qui créent l'abstraction à partir d'un réel brut.
Voir la simplicité qui nous entoure avec un autre regard : la poésie du quotidien. De belles images

Choisir entre de "grandes" images ou présentation en dyptique : ton choix peut se justifier. Cela-dit je ne comprends pas bien toutes les associations constituant les diptyques.
Globalement j'aime ces images et leur cadrage, où la géométrie a toute sa place ( j'aime ça !) : ma préférence va au 4, 5, 6, 7, 8 et 10 !

Un approche assez intime de Pigalle : le portrait 1, ce 'tout petit" habitant de la 2, cet homme seul sur la 4, l'apparente douceur de la 6, ou cette passante dans le bus 9. Les autres images sont moins dans cette thématique de l'intime.
Je ne connais pas bien Pigalle, mais j'avoue en avoir un autre souvenir : de bruit, des touristes, du glauque... Cet autre regard me va bien !

Belle approche pour découvrir autrement cette ville.
J'aime beaucoup tes cadrages et le ton de tes images ; certaines ont ma préférence : 1, 3 et surtout 7 et 8 !

J'aime le foot quand il est conté comme cela, en images et en mots ! D'une manière générale, j'aime tes cadrages vivants, et tes développements denses. Les premières images de la série sont, à mon goût, les meilleures !

J'aime bien cette série. Le sujet m'inspire, sans doute ; mais aussi car cela me rappelle "Les droits imprescriptibles du lecteur" de Daniel Pennac ( le droit de ne pas lire, le droit de sauter des pages, le droit de lire n'importe quoi, le droit de lire n'importe où, ...).
Point perfectible à mon sens : le traitement est peut-être un peu trop chirurgical (trop de micro-contrastes me semble-t-il) : le thème et les images apprécieraient sans doute un peu plus de douceur, de flou.

Un reportage poignant et une dernière image qui clôture parfaitement par une note d'espérance.
Le traitement est un choix, qu'il te faut sans doute assumer, mais personnellement, il ne passe pas (ton chaux et dureté extrême du traitement...)

Personne ne peut être insensible à ce qui se passe sur cette terre.
Certaines images sont fortes : 1, 3, 7 et 8 (la dernière me semble de trop avec ce refus de pdv).

Un bon sujet qui sent la ferme et les alpages ! Certaines images sont toutefois redondantes à mon sens (1-2) ou dénote dans la série (5). Sans doute davantage de gros plans dans l'éditing équilibreraient ces très beaux paysages.

Que de contorsions, en effet ! Je comprends que tu as cherché à capter l'évolution du "noeud/enfermement/oeuf" vers "l'épanouissement/liberté".
Le mouvement est bien saisi, même si certaines séquences sont moins lisibles (2 à 3, 7 à 8 et 8 à 9).

Assurément, la couleur est le sujet de cette série. Un côté apaisant comme peut l'être une fin de journée.

Le sujet est original ; de belles images. Mais j'ai le sentiment qu'il me faut choisir une ou deux images parmi 8. Aussi voici mon choix : 8 puis 3. Peut-être le début d'une série?

Le pont de Brooklin est un sujet difficile : si l'on s'intéresse de près à NYC ou à la photographie, on l'a déjà vu sous toutes ces facettes, dans toutes les couelurs, par tous les temps ; le parti pris d'un traitement différentiant s'explique peut-être en ce sens?

L'image 5 me semble sortir du lot (elle est top!), ou la 10 ; d'autres sont bien en-deça de mon point de vue (qui vaut ce qu'il vaut pour le coup!) :les 2 et 3 par exemple. En revanche, la série ne m'interroge pas, et me raconte peu.

Je découvre tes portraits : ils sont sans doute trop redondants pour constituer une série. Le même exercice avec d'autres modèles, et l'affaire est dans le sac ! Bonne continuation.

Nos Solitudes

Il est un « voyage » au cœur de mes errances photographiques et de mes recherches poétiques, un « voyage » personnel et assurément universel : le « voyage » vers la paix intérieure.

Ce cheminement vers la paix intérieure débute bien souvent dans nos lieux d’enfermement, dans l'oubli et la peine, dans l'inattention aux autres. Comment trouver la voie de la paix intérieure, quand, dans notre quotidien, nous devons supporter l'ignorance de l'autre, vivre l'angoisse ou accueillir la tristesse ? Quand nos solitudes ne sont que désolation et humeur noire?

Pas mélancolique,
Seul pour contempler le monde.
Errance d’artiste.

Pour poursuivre la route, d’aucuns devront prendre le temps de l'introspection et de la relecture du temps passé. Prendre ce temps est sans doute nécessaire pour accueillir sa réalité et y consentir.

Consentir au présent,
Consentir à la vie,
Choisir comme un enfant,
La joie, là où je suis.

Alors, peut-être, aboutira le voyage vers la paix intérieure et la joie profonde.
Nos solitudes heureuses!

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La série « Nos solitudes » est extraite d'un corpus plus large de photographies prises entre 2016 et 2020 sur le thème du cheminement vers la paix intérieure.

Les photographies argentiques (principalement des Kodak TriX révélées dans du HC110) présentées ici sont réalisées avec mes meilleurs compagnons d’errance photographique : les merveilleux M7 + summicron 35mm, ZM + summicron 50mm et iiif + elmar 5cm.

Ce travail donnera lieu - je l'espère ! - à l'édition d'un livre et à une exposition dans lesquels photographies et poèmes courts pourront dialoguer : la force des images et le pouvoir des mots !

Je vous souhaite un beau voyage dans mon petit monde.

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