Bonjour
Très beau Mamiya 645 Pro (format 4 1/2 x 6)
Il est en superbe état, je ne l'ai hélas que très peu utilisé car la mise au point sur l'excellent dépoli quadrillé m'est devenue très difficile suite à des problèmes oculaires importants. Je peux toujours faire le point sans difficulté avec le télémètre mon M6 je me limiterai donc aux télémétriques ou aux autofocus.
Cet appareil comporte un magasin interchangeable comme le Blad.
Le prisme en plus de la visée redressée, assure la mesure de l'exposition et la commande automatique de l'obturateur. Débrayable pour le passage en manuel
L'objectif est un SEKOR 2,8 / 55mm donc petit grand angle (la focale courante est 80 mm) il est clair, impeccable pour céder au rituel: "ni champignons, ni décollement ni poussières"
objectif avec bouchon et pare soleil caoutchouc.
Je l'ai équipé d'un petit boitier latéral Mamiya (voir photo) qui permet le déclenchement par flexible. (Il existe un système de déclenchement électrique)
Sur les photos on voit la manivelle d'avancement du film et armement.
J'ajoute à l'annonce une poignée de déclenchement électrique avec avancement du film et réarmement, moins belle d'aspect mais fonctionnant parfaitement.
Prix 670 € fdp
ci joint quelques photos, d'autres sont disponibles sur demande.

Nikon D610

Nikon D610

Nikon D610

Bonjour
Toujours dispo
C'est pour monter dur Biogon 2,8 35

bonjor
Je cherche un filtre UV pour Biogon 2,8 ZM
filetage 0,75 diametre 43

Oui il s'agit d'un développement physique avec un révélateur contenant du nitrate d'argent.

Coustet terminait ce chapitre en écrivant: "En somme , depuis la découverte des colorants désensibilisateurs, cette méthode paradoxale n'a qu'un intérêt de laboratoire"

Bonjour jugoslav
C'est toujours intéressant de voir un positif d'après un film mais il y a trop de manipulations intermédiaires pour se faire une idée des qualités du film: tirage de la photo, avec quel révélateur? positif par scan du négatif et inversion dans P.S ou bien encore tirage argentique et scan du positif ou photographie numérique du positif, etc. etc. et en fin de chaine, chacun voit le résultat sur son écran réglé, ou pas.

Pourrais tu nous transmettre une vue du négatif teinté par le PMK (un bon révélateur qui se conserve des années dans ses deux flacons d'origine, avec un effet de bord et une teinte favorable aux tirages alternatifs sous U.V.
Il y a des films qui réagissent plus ou moins favorablement au pyro, peux tu nous montrer une image de ce négatif sur foma 100 ?
merci à toi.

Ce que j'ai lu quelque part c'est le manque de régularité des caractéristiques de ce film Foma...mais là encore, quid des développements dans des conditions identiques.

Tu as raison de persister avec le D76 ou d'ailleurs une autre des nombreuses formules de révélateur.
Pour maitriser développement et tirage au labo, l'important est de bien connaitre une émulsion et son traitement sans écouter les sirènes publicitaires.

Bien entendu il est toujours intéressant d'expérimenter, in The Darkroom Cookbook de Steve Anchel on trouve des vingtaines de formules différentes, c'est la joie du petit chimiste dans notre labo.
Je me souviens d'un photographe du club de Bievres qui ne jurait que par le FP4 et la formule 10 / 100 / 1000 un très bon coctail

Pour ne revenir au monobain c'est en effet connu depuis fort longtemps comme l'a dit mon ami Piga ...'salut Raymond)
On en trouve quatre formules dans le Cookbook
Le procédé est très bien décrit dans le chapitre "Développement et fixage simultané"
"Traité Général de Photographie" Ernest Coustet librairie Delagrave édition de 1833.

On y trouve encore plus étonnant: "Développement après fixage" eh oui! on commence par tremper le film dans de l'hyposulfite à 2% !

bonjour
avez vous fait affaire avec votre acheteur parisien?
cordialement

bonjour
je suis intéressé, quel est le numéro de série ?
Quid de l'écran de visualisation?
merci

Merci et bravo Gregory
tes images sont envoutantes, on y plonge, on y rêve, on s'inquiète...

Bonjour
Les colles de l'agglo diffusent certainement des chimies nocives pour l'argent.
Cependant il semble que, d'après ce que je comprends, les barytés en question sont accrochés dans un endroit ensoleillé. La lumière solaire directe est à éviter.
Je me souviens d'une exposition de calotypes de Henri Le Secq aux Musée de Arts Décoratifs. Les calotypes étaient éclairés par transparence, certes avec des lampes à incandescence, mais ce n'était pas bon pour leur pérennité.
Les seuls tirages qui résistent à un bombardement UV continu sont les tirages "au charbon" et les tirages aux encres grasses (oléotypies, oléobromie, impressions taille-douce (héliogravure, photopolymère)

Bonjour
Je ne suis pas au courant de ces cadres effaceurs mais c'est très étonnant, il devrait rester des traces de l'image, même chose pour un fixage ou un rinçage insuffisants.
Entre () une image mal fixée ne devient pas blanche mais au contraire se teinte en raison des sels d'argents résiduels.
Il serait bien utile que tu nous montres une photo de ce baryté "effacé"

En environ 50 ans de labo je n'ai jamais vu un seul tirage baryté disparaitre, sinon virer un peu en taches jaunasses pour les plus maltraités .

Nous voila revenus au temps du concours du Duc de Luynes, le célèbre concours remporté par Louis-Alphonse Poitevin pour la technique du procédé au charbon et la photolihtographie.
L'objet du concours était de trouver des solutions à l'impermanence des tirages à cette époque, hélas l'appât du gain retarda de plusieurs années (1856 à 1867) les recherches, chacun essayant de réussir dans son coin sans collaborer avec les autres chercheurs .

Bonjour
Je passe mon tour, apres quelques recherches le complément serait trop important pour mon budget actuel
cordialement

Bonjour
Je n'ai pour le moment aucune idée d'un montant pour équilibre.
je vais me renseigner

Bonjour
J'ai un 50 Elmar noir rentrant, acheté neuf il y à quelques années et en état parfait. Et également très peu utilisé.
Mais voila je ne suis plus sur Paris mais en Bretagne et pour l'instant je n'ai pas de voyage à Paris prévu à court terme.
Je pourrai envoyer des photos.
Mais bien entendu, l'exigence est la même de mon coté. je consentirai un échange pour un Summicron 35 en parfait état.

Je vais bien en dépit de problème tendineux à l'épaule droite, mais les séances de kiné m'arrangent lentement cela.
Je suis maintenant en Bretagne tout près de l'océan, beaux ciels à photographier si tout est prêt au bon moment...ce qui est rarement le cas.
Je continue les tirages charbon et encres grasses et puis des contacts sur mon stock d'AZO qui ne se détériore pas au cours des années.
On ne peut en dire autant du Lodima.
Pour le petit format je m'escrime avec les négatifs jet d'encre et Charthrob... un peu la galère...
Heureusement Henri Gaud est toujours vaillant
salut