Il ne faut surtout pas s'affoler devant la qualité du Portra, qui est méritée à 1000%.
Sur le cliché "original", je détectais l'harmonie des couleurs, propre au Portra, la subtilité des tons, propre au Portra, la précision, propre au Portra, et je m'apprêtais en tant que protagoniste inconditionnel du Portra à faire son éloge.
Effectivement devant le premier cliché soumis par Doc Henry, on est en phase avec l'évanescence des bulles de ce précieux liquide champenois, et bien loin, très loin, des errances exagérées des caricatures barbares du Fuji dopé au saké (shochu pour les connaisseurs !
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