Sérieusement et pour répondre à la question originelle en professionnel donc hors tendance naturelle à l’autosatisfaction, certes compréhensible je vous l’accorde… un excellent choix hélas pour celui qui, en vérité, aura des sous à perdre ; ainsi le capteur KAF-10500 n’est-il pas au catalogue de Onsemi et l’obturateur reste-t-il une m…., pardon un organe vital déficient hors protection, présentant alors des lames aussi « flottantes » que celui d’un FM/E-2 -du vécu, naturellement-. Notez que dans l’histoire, le M8 bis version dite « améliorée » perdit en vitesse, les Nikon non… il faut néanmoins avouer qu’il ne s’agissait alors que de conservation du 4000ième dans un environnement moins sensible.

En bref, l’utilisateur reste l’éternel cobaye puisque n’étant pas nouvelle la mésaventure des obturateurs à hautes performances, de non moins haute technologie, mais à fonctionnement systématiquement aléatoire de part les lois de la physique sommairement appliquées à la celle de la technologie des matériaux ; c’est donc là que le bas blesse : lames d’obturateur en vrac après 8k cela avec une optique quasiment rivée à poste pour éviter toute contamination, ceci semble un tantinet disons… hors tolérance.

Aussi la chose n’a-t-elle rien de dramatique même sur un D à un chiffre après quelque 200k puisque le bloc coûte quelques dizaines de Dollars, que l’on vous montre même comment en changer fissa et en un tour de main, mais las, qu’en est-il là ? Ennui, attente voire castration, la douloureuse perte du cher objet, camarade...

De modèles de plus en plus performants est-il en outre question ? Le diagnostic est osé et le constat mitigé, cela dit avec tout les devoirs que j’exprime envers cette noble assemblée, le produit M8 et ses choix étaient corrects, format, taille et densité de transducteurs d’un capteur ainsi que ses particularités correspondant à un usage, le mien déjà ; tout juste pouvions, pardon pourrions-nous regretter un « buffer », traduisez une mémoire cache restreinte lorsqu’il s’agit de récupérer l’image en brut, lorsque toutes ces avancées d’un modernisme alors relatif ne concernent qu’une électronique effectuant un succédané de post-traitement, autrement lui de plus en plus abordable et performant pour celui qui n’a que l’art pour dessein.

Dans le domaine des chiffres commerciaux faut-il dès lors voir une progression alors que les « data sheets » des capteurs sont eux moins optimistes et alors que cette course au modernisme numéraire conditionne l’abandon prématuré de certaines technologies moins rentables ? Le doute assaillira l’impénitent cartésien.

Valeur de frime surtout donc pour l’amateur... et grincement de dents pour le professionnel en proie à une certaine lassitude après l’expérience de moult exemplaires d’une version numérique désespérément expérimentale et désormais jetable, cela même acquis au titre de Xième « spare » pour la modique somme de 3/400€ (M8/9…) sur le discret marché de ceux qui rentabilisent et ne veulent désormais plus s’encombrer, ainsi du moins aurez-vous la valeur transactionnelle actuelle hors circuit purement marchand.

En résumé un matériel à déconseiller pour l’amateur même et surtout peu fortuné pour cause de mtbf inquiétant, pardon un temps moyen de bon fonctionnement si limité que l’on ne puisse même plus parler de maintenance au grand désespoir de celui ou celle qui sera ainsi forcé à changer de boîtier tous les quatre matins.

Entrée dans le domaine de la visée grand champ par le M8 ? Un ticket de sortie, j’en ai peur, pour nombre de toujours jeunes artistes talentueux -toujours jeune président les Tunisiens disaient-ils avec un brin d’humour en montrant les portraits- mais eux à petit budget donc peu destinés à dépendre d’un outil qui peut lâcher à tout moment et qu’il sera conseillé d’utiliser en couple.

J’allais oublier, oui, j’en ai effectivement 2 -non, pas comme tout le monde Mesdames, de M8 en intime dotation et plus ou moins opérationnels tant que quelque Dieu le voudra, question de chance- comme tous ceux qui doivent s’en contenter depuis que les adeptes du modernisme d’apparat continuent à confondre capteur grand format et taille du négatif imposé par les bonnes vieilles contraintes du film, ignorant ainsi les limites de l’optique tout en admettant la valse des corrections, celles sans retour d’un objectif dédié supposé parfait... avant d’être ensuite étonnement, non, logiquement en fait, logicielles et reconstructrices mais ceci est une autre histoire.

Equivalence, je vous l’accorde, très sommaire : R5/7 en lieu et place de l’excellent FE2 -obturateur titane mis à part pour ce dernier- et pour le Meccano F-3… rien, ou un FA -pardon, c’était tentant- du moins au niveau versatilité d’emploi. Ceux qui dérivent -je plaisante- vers Leica à partir de ce genre de plateforme le font : 1 - pour la « frime » -critère autrement parfaitement compréhensible sinon d’importance quoi qu’on en dise- ; 2 - pour un changement d’optique -non, pas seulement celle-là, d’ergonomie- soit retour vers la case R8/9.

Sur ces modèles (R5/7/8/9) -j’ai usé de toute la « collection »-, le comportement est sain question réactivité, la course de la queue de détente aidant à un coup plus assuré, traduisez moins « arraché », certains ayant une nette tendance à la violence exprimée par la pression de l’index ; une éventuelle « latence » n’est ainsi pas forcément inconvénient, cela donne en fait à l’ensemble le temps de se stabiliser.

Or donc, l’amateur a en effet souvent la curieuse sinon trompeuse impression que les spécialistes qui président à la création d’un boîtier et autrement en principe connaisseurs en matière de cinétique sont des ânes qui ne le comprennent pas ; certes en effet, ceux-ci doivent-ils faire un compromis entre l’habile -je n’ai pas dit d’office inspiré- « professionnel » qui fonctionne à l’instinct et celui qui demande à être formé pour anticiper, maîtriser sa fougue et l’ébranlement du miroir.

Rappelez-vous que l’humain n’est pas un organisme simple dans sa structure donc dans son raisonnement, le temps de réponse entre votre vision et l’action programmée de départ du coup, pardon déclenchement volontaire ne sera donc pas négligeable et significativement plus long que n’importe quel temps de latence qui ne sera d’ailleurs lui aussi estimé qu’à partir de mûre réflexion après stimuli auditif complexe (grattement du contact, bruit du miroir et de son mécanisme, etc...).

En clair...

http://acces.ens-lyon.fr/acces/thematiq ... e-que-cest

Ainsi le photographe en plus d’être technicien, psychologue et imaginatif devra-t-il être aussi rapide en matière de prise de décision que le politicien à soutenir qu’il n’y a pas d’autre alternative par réflexe.

De l’influence du déclenchement instinctif... je sais, tout cela peut paraître complexe, donc en résumé à partir du moment ou votre esprit est décidé à presser cette f….. détente et l’action, il peut se dérouler un sacré bail qui ne se compte pas en menus millièmes, futurs maîtres de l’image parfaite ainsi certains prennent-ils même le temps de fermer les yeux avant d’exercer la pression fatidique, c’est dire...

Le constat du philosophe : j’arrive à la bossette, j’appuie, non, j’enfonce doucement et pour le reste, ce sera Inch Allah -je ne suis pas autrement croyant mais si ça peut aider-.

Le R6 est « manuel », ainsi lorsqu’il est question de remplacer un plantureux FE2, cela peut-il poser problème et notez que les 5/7 ont une correction dioptrique.

Dans les aléas citons quelque condensateur tantale qui peut se mettre en court-circuit sans avertissement sur les versions anciennes des R, valeurs des résistances carbones, cellules qui accusent leur âge et se sera d’ailleurs le seul défaut d’un R3 autrement solide et utilisable comme casse-tête.

Absolument...

Autrement je suppose qu’il y a maintenant et toujours le six pans creux dans la « roulette » pour la délicate introduction d’une clé Allen de 2mm si je me souviens bien.

http://www.summilux.net/forums/viewtopic.php?t=40796

Comme quoi la bonne lecture ne doit pas être apanage du senior de la pastille.

Pas de choc, certes, -là, il serait question d'un écartement du droit chemin en vertical- mais une petite colère ou un excès de caféine en enquillant la lentille peut-être ? -je plaisante- ; en pathologie, on parlera de maladie bénigne du mono-boîtier, dite du changement soudain ou répété d’optique -oui, comme en politique mais en moins grave et là au moins, cela se soigne sans nécessité d’attendre 5 piges-.

A la Russe, Camarades : à chaque objectif son boîtier... à moins que ne soit l’inverse.

Dans les 3,7€ sur l’Est asiatique, elles sont correctes question usinage -je dis elles car j'en use assez librement et elles restent à poste, naturellement...-

fr.aliexpress.com

Certes...

Autrement dit l’Industar 10 et dont il existe même une version macro -non ? Mais si...-, en fait, le couple n’est pas si étrange et il se pourrait même qu’il soit témoin d’une époque de mixité -non, pas sociale, technique-, cette optique issue justement de l’ « optical plant » de Kharkov, centre de recherche bien connu des les années folles -non, depuis et après le navrant intermède du 3ième Reich millénaire plus exactement-, cette optique disais-je étant peut-être un rescapé de cette période un tantinet tumultueuse ; d’ailleurs il faudra bien qu’un jour je vous conte par petits extraits les pans de l’histoire discrète, de ceux qui ne se trouvent plus que dans certaines archives oubliées tant légendes oniriques et gravures de mode « officielles » reconnues sont maintenant légions chez les marchands du temple récoltant le fruit du commerce des appartenances.

Or donc absurde affront matérialiste à une idéologie dantesque ou œuvre de béotien sans scrupule ? En période d’allégeance persistante au bon beurre, j’ai peur que même la première ne soit plus envisageable -je plaisante-.

Concernant le Leica des origines, les « premiers de couverture » de rechange 4ième échelon -il n’y en a pas de supérieur- sont aussi légion et ceci est tout à l’honneur de la firme, quant à ce qu’il en a été fait...

A qui le dites-vous...

Peut-être préféreriez-vous celui-ci comme illustration de nos propos?

https://www.ebay.fr/itm/LEICA-III-F-dig ... rk:49:pf:0

Inimaginable sinon tellement franchouillard d’ignorance pour celui-ci : un IIIc-Charlie datant de la fin des tribulations du dernier avatar des marcheurs au pas de l’oie, soit une page d’histoire transformée en... étincelant bidule de bazar façon Mr John B ; remarquez autrement le FED haute époque (3,5 à 18 en fermeture) qui aurait, lui aussi, bien des choses à nous raconter.

Je sais... Bilbao la travailleuse, rénovation urbaine maintenant comprise et prétendante ou plutôt prétendant au classement du miracle économique.



Difficile toutefois de penser que le mieux d'apparat puisse être à lui seul témoin d'abstraction des et solution aux maux de société, même derrière le nouveau clinquant de ces nouvelles façades colorées, mais il est vrai que le flâneur sera déjà content.



Celle-là, c'était pour renouer avec le thème de travail.

Bien le bonsoir, Sire Robert.

Et celui-là, tu l'as ? -mille excuses pour la familiarité, c'était juste pour la rime-.



Sous le regard du Christ auréolé, Lisbonne-les-bains... clic, c'est dans la boîte ; heureusement, après tout ce temps à guetter le moment fatidique sur la baille -le navire quoi, j'ai dit sur et pas à-.

Soyez bénis par lui mes bons amis -je ne sais si cela sert à quelque chose, mais cela ne peut pas faire de mal-.

« Quand te décideras-tu photographe, à être acteur plutôt que témoin ? »


Architecture inspiratrice, celle qui t'aide certainement à penser, ma belle.



Architecture mêlant formes et odeurs, tu seras celle de demain.



Non, ce n'est pas encore une création onirique et nul besoin d'ordinateur, un simple reflet et un brin de parallélisme... du travail en somme.

« Et dire qu'il y en a qui passent des plombes à apprendre le modernisme pour en faire un art alors qu'il suffit de faire oeuvre des symétries que d'autres ont oubliées ou même négligées pour s'en imprégner. »



Symétrie qui vit le mariage des formes par le jeu des transparences.



Architecture sacrée qui accepte même la couleur en tant que dimension.



Architecture profane qui accepte de te voir Dieu.



Architecture d'avant-garde d'un passé si moderne... en perspective corrigée.



Architecture si audacieuse d'un présent si distant… en perspective non corrigée.



Architecture vivante de toujours façon arc-en-ciel mêlant profane et sacré.



Architecture du passé pour un regard sur une mode d'aujourd'hui.



Hey, rock you baby... la visite est terminée.



Bon, Bilbao, c'est beau, pigé ?

Bonjour chez vous...

Douceur de l'aube pour statue d'un doux Jésus, le moment ou la lumière se diffuse.

Et avec un peu d'imagination, vous pouvez même sans difficulté vous permettre d'être un tantinet créatif.



Nocturne du Poitou à Poitiers.

Fractales de dalles à Dubrovnik. Notez que l'architecture que je nomme fractale est encore aujourd'hui du domaine de la joyeuse improvisation étant peu rentable hormis pour des exercices de style et même si les qualités mécaniques sont intéressantes hors ce genre de système de défense.



Si vous oubliez de regarder où vous marchez en cherchant votre chemin...



Si vous êtes assez fous pour ne pas regarder où vous mettez les pieds lorsque le damier se fait uniforme...*



Du moins le chat-guide qui bat lui aussi le pavé sera là pour vous montrer où il se termine avant que vous ne vous les mouillez là où terre et mer se confondent.



Notez que je triche grâce à au seul rendu d'intensité pas phénomène de mode pour un sou voire même particularité du sapiens logique... puisqu'un tel fondu est tout simplement improbable en reproduction couleur.

Ainsi alors que l'adoption d'un mode est le plus souvent lié à ce seul phénomène de mode, il sera bon de rappeler qu'il puisse dans certains cas dont celui-ci être pensé pour transmettre l'information, d'ailleurs la qualité indéniable du document parfait de Maître Grigou montre bien qu'il convient de faire preuve d'éclectisme et de la même attention au détail *.

* Le genre à s'exercer avec une exposition à caler pile poil pour cause de dynamique étendue.

C'était aujourd'hui ma petite fantaisie du mercredi.

Pardon, j'étais ailleurs -non, pas que la tête-...

Y-a-t-il eu seulement déclenchement ?

Or donc si l'armement coince, c'est que l'obturateur est probablement... armé tout simplement ; sinon pour le bouton de rembobinage et histoire de bien le voir, il suffit de faire tourner la bobine réceptrice dans le sens inverse des aiguilles de l'horloge jusqu'au clic caractéristique... à condition qu'il n'y ait pas, comme ici probablement, de débrayage des axes vu que l'obturateur ne désarme pas -la sale bête- d'où le fait en fin de chaîne qu'il ne revienne pas en bas -le petit bouton-.

Nous avons là affaire ou à faire avec que l'on appelle vulgairement une chaîne cinématique complexe avec morsure de queue garantie, affaire ici à forte partie donc et il faudra s'y faire -ça va, j'arrête-.

Revenons à nos moutons, pardon boutons et regardons à l'intérieur par ce trou si béant qui fera que si l'on y prend garde les saletés s'accumuleront : la cellule est-elle correctement rentrée ? Si elle montre encore le bout de son nez et est « mobile », repoussez-la délicatement dans son logement pour finir l'action.

Si la cellule est à poste et verrouillée, regardons en haut à gauche, il y a là une petite gâchette avec un axe cylindrique à côté du pivot de support de cellule qu'une -toute gentille- poussée vers le haut avec un cure dent actionnera et ô miracle déclenchement s'ensuivra... du moins en principe.

Bien penser que ceci n'est qu'un pis-aller, donc ne JAMAIS forcer et utilisez de préférence l'outil adéquat : le cure dent en bois ; bon, si besoin est je ferai une photo, mais comme mon esprit coquin a retracé le parcours, il n'y a pas de raison qu'un autre esprit un peu malin ne puisse le suivre sans incident.

Notez-bien que ceci ne sera pas solution en cas de casse, mais peut sortir d'affaire le joueur en cas de lubrification trop importante, accumulation de saletés, rouille, etc, etc... ainsi le plus souvent la machine repart après leur retrait avec le divin cure-dent, une puissante insufflation tête en bas et quelques coups de semonce.

A ce propos donc, il dit quoi, le bouton de tir -rien, je sais-, ne serait-il pas un peu bloqué par hasard ? Va-t-il bien à fond de course ? Sur les vieux contax, il suffisait de déclencher et de le faire « danser » pour éliminer les résidus avec le même cure dent.

Bon, déjà et pour ma part, avant de tenter d'expulser un bouton, j'essaye de savoir à quoi il peut servir et si sa position est normale même si elle est peu orthodoxe du fait que la vérité soit ailleurs, mais chacun son truc -je plaisante-.

Désolé pour le temps de retard et la petite taille du pansement de première urgence.

Amitiés et bon week-end.

« Devant tant de beauté le Diable même arrêta sa cruauté, devant tant de passion dans leur regard Dieu ferma les yeux »

Une petite câlinerie, pardon fantaisie maltaise peut-être ?

Tant que le bout de la queue s'agite il sera prudent d'immobiliser les extrémités dangereuses...



Pour après aller de l'avant et s'adonner à la caresse dans ce cou si tentant.



Bon Dimanche et bon câlins... avec vos chats.

A l'occasion d'une trop rare visite sur site -enfin ici, quoi-...

Offrir une baie pour la baille, un havre même pour la paix du pauvre esquif.



Offrir un siège pour la réflexion...



Sentir sur soi le lever de l'astre roi et le soir son coucher ;
sentir la fraîcheur de l'embrun du matin et le parfum des fleurs ;
sentir jusqu'à s'imprégner de cette odeur de bougainvillier ;
sentir… qu'il est sitôt l'heure de l'Ouzo, sacré nom de nom d'une pipe en écume !

Offrir une table pour la révision... révision ? Pas sûr, car ici l'on joue partout entre amis ma belle amie ou amies mes bons amis.



Offrir la fantaisie du mouvement, de la couleur et des étoffes, façon « Top of the Pope » -pardon, c'était trop tentant- pour regard rock'n roll.



Offrir naturellement de hauts lieux pour la prière...



Mais aussi des balcons pour le papotage.



Offrir une belle anarchie dans les styles architecturaux, de belles perspectives à corriger donc... enfin pas toutes ; qui se plaindrait en effet de fort jolies aberrations sphériques -de l'objectif- ?



D'ailleurs à ce propos voici l'empreinte de M. Guillaume -non, pas celui-là, le nôtre-, qui comme chacun sait, écrivit beaucoup sur, pardon pour ces Dames.



Bon, pour les réfractaires au second degré qui invite à la curiosité, ne cherchez pas, c'est d'Apollinaire dont il est question en ce lieu qui fleure bon la France, celle qui communie avec l'âme Grecque.

Offrir un bouquet pour elles me semble ainsi approprié, fraîche composition créant l'illusion d'un troublant penchant... même si l'axe est maintenu parfaitement vertical.



Offrir aussi quelque bel écrin incongru pour le Street Art... à condition que l'inspiration y soit, ce qui n'est hélas pas toujours le cas.



Offrir l'espace pour la lumière... et la simple ligne du linge, signe d'une vie qui se montre sans fard.



Offrir un garage pour l'Aston-Martin, car il y a céans du beau linge... en perspective corrigée -la prise-.



Offrir un port d'attache pour l'escadre grise qui s'affiche couleur d'opulence et de crise propice...



S'offrir enfin Corfou en majesté.



« Et d'avoir trop chanté en tant que vaillante fourmi décorée, je me mis à danser sur fond de rebetiko » ; à revoir absolument : Zorba le Grec, naturellement.