Merci Gui et Jean Marie

Une expo c'est déjà compliqué en temps normal, là je n'y pense même plus. En revanche, une publication c'est en cours

Ca m'évoque forcément quelqu'un et vu l'utilisation de cette focale en particulier pour ce sujet particulier je pense que tu devais avoir la même référence à l'esprit mais incontestablement, l'inspiration (je ne parle absolument pas de copie) t'a réussie

Je continue mon exploration et je découvre avec bonheur (puisque la conclusion est très positive) ce fil magnifique.

Daniel, je te l'ai dit, j'accorde un attachement particulier à Charleroi où je vais depuis plusieurs années déjà. Je n'ai pas encore vraiment exploré ce secteur du Bois du Cazier même si j'ai eu l'occasion de boire un verre avec le fils du conservateur du musée. Cette série m'interpelle déjà à ce titre.

Ensuite, j'admire ta façon de rencontrer des gens et de raconter leur histoire. On devine une véritable pugnacité dans l'acte photographique, jamais gratuit chez toi. Une telle profondeur dans le propos ne peut s'obtenir en survolant le sujet, en photographiant une personne à la volée et en échangeant au mieux quelques politesses. Cela va au delà. La photo n'est pas un but mais un moyen. Pas d'effet de style, pas d'esbroufe, juste un regard qui touche l'âme.

Merci Daniel

Je me plonge à travers tes photos dans une ville grouillante, crispante, bruyante et donc vivante

Il y a, c'est vrai, un peu de tout dans cette série, des scènes de rues ordinaires, d'autres plus travaillées, des rencontres, des jeux graphiques, de l'étouffement et de la respiration. Certes tu pourrais trier et organiser mais je prends la salve telle quelle, comme une évasion bienvenue.

Mazette, un traitement Fresson est intégré à ce 75 ? C'est délicieux !


P.S. : je vais regarder chez Ilford (Foma je ne suis pas convaincu mais je vais peut être regardé la Kentmere)

Merci, merci

Pas de souci pour en faire sortir une du lot, une série est composée de moment fort de moment faible, il faut savoir distiller la tension et l'attention. Comme pour n'importe quelle histoire

J'ai pas mal essayé la Pan 400. J'ai eu de gros loupés mais également quelques réussites. Même si je ne la trouve pas aussi riche que la tri-x, elle a sa personnalité. Ce n'est pas un choix à écarter même si j'aimerais quand même réessayer la HP5+ (que je n'ai pas dû utiliser depuis une dizaine d'années). Notamment pour travailler à 1600, ce qui est essentiel pour moi.

Bon, ça devient pas facile la photo en noir et blanc mais ça aurait pu être pire, nous aurions pu être coloriste

Bon, on bavarde, on bavarde mais il est déjà dimanche soir et j'aimerais voir un petit bout de ta Corse sur mon écran...

Merci à tous pour vos coms et vos +1 (je découvre cette fonction)

@Malik : oui, Tokyo et le Japon c'est tout à fait ça, des rencontres inattendues et surprenantes.

Et vous touchez juste en évoquant Jake Adelstein. Ces livres "Tokyo Vice" et "Le dernier des Yakusas" sont hautement recommandables pour qui veut comprendre (un peu) la société japonaise. Il a d'ailleurs très bien défini le Setsunai dans le premier opus

@JM : je me suis fait un peu aider pour l'éditing, c'est toujours très utile un regard extérieur. De plus en plus c'est un aspect de la photo qui me passionne. De la prise de vue à la présentation de l'image en passant par le post traitement et l'editing, c'est important d'apporter à toutes ces étapes le même soin je pense.

Il me reste un peu de Tri-x... après je ne sais pas. Pour des tas de raisons, j'imagine mal ma pratique photographique en dehors du film. Mais pour moi aussi, Kodak risque de devenir une vieille histoire

@Tilu : Très joli grain... et l'ambiance est parfaite, je m'y croirais !

@ Iblossom : Très jolie construction (je parle de l'image, pas du pont ) et joli noir et blanc

Belle trilogie !

J'ai profité de ce reportage pour me plonger dans tes précédents travaux sur les moulins à eaux.

Tout cela forme un très bel ensemble, très bien documenté et mis en image.

Ici, je retiens la première pour son beau cadrage, la quatrième pour son dynamisme et la dernière pour sa majesté.

Merci beaucoup pour ces mots Amaterudarts.


On continue alors...

De biens jolies ambiances de film noir par ici. C'est toujours intéressant cette résonance cinématographique en photographie