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Reste quand même une pondération à prendre en compte : OUI sur le principe, le capteur des M est optimisé pour les optiques M, et principalement les courtes focales, mais en retour d'expérience terrain photo, pour des focales >=35mm, et moyennant quelques retouches post-productions finales éventuelles, est ce que c'est flagrant?
Parce que finalement, on ne fait pas des photos pour les osculter au microscope, on fait d'abord des images...et donc si la charge esthétique n'est pas gâtée par la technique, c'est un faux débat.
Et ce d'autant plus que nombre d'images réputées réussies sont techniquement bien critiquables.
Par contre, il est certain qu'une bague d'adaptation présentant des ajustements mécaniques insuffisants conduira à des déboires assurés.
C'est vrai aussi pour les optiques elles mêmes : si avec le temps elles prennent du jeu (bayonnette, interne), ou un voile de pollution, on aura de mauvais résultats ( contraste, mise au points, voile, flou...).

Rep : Re: Bague M Leica ou autre marque ?

Nicci78 a écrit :

Si on utilise une optique à monture M non Leica. Ex : Zeiss ZM, Voigtländer VM, 7 artisan, etc... le M-Adapter-L officiel n’a que peu d’intérêt. Sauf à choisir dans le menu un objectif M approchant au niveau des corrections logicielles. Zeiss propose un tableau avec l’objectif M à choisir pour avoir droit aux corrections logicielles automatiques.

Pourquoi ces corrections logicielles ? C’est très simple. Les objectifs M étant conçu à la base pour la pellicule. Elles ne sont pas du tout télécentriques. Elles ont Donc impérativement besoin d’être corrigée pour offrir un résultat correct avec un capteur numérique.
Pour offrir un excellent résultat, les Leica M numériques usent de plusieurs méthodes : filtre passe-bas ultrafin, réseau de micro-lentilles très incurvées et corrections logicielles automatiques après reconnaissance de l’objectif.
Et cerise sur le gâteau : un capteur de lumière ambiante pour deviner l’ouverture choisit sur l’optique M. Et ainsi adapté la correction automatique à l’ouverture devinée.

Les SL et SL2 ont droit aux corrections logicielles indispensables avec la bague officielles et au filtre passe-bas fin, mais pas aussi fin. Leur réseau de micro-lentilles est également moins incurvés.
Pourquoi ces différences ? Très simple, le SL et SL2 ont besoin d’être compatible avec les M et surtout avec les optiques L-mount. Qui sont elles télécentriques. Histoire de ménager la chèvre et le chou. Ils ont opté pour un compromis : qualité optimale avec les L-mount. Et tout juste très bonne avec les M.
Alors que la qualité sera excellente sur un M numérique.

Pour résumer. Pour avoir :
- 100% du potentiel de la gamme optique Leica M. Il faudra utiliser un M argentique
- 95%. Il faudra utiliser un M numérique.
- 80% le SL ou SL2 + M-Adapter-L officiel. Car pas de filtre ultra fin et de micro lentilles ultra incurvées, ni de zoom automatique lorsqu’on manipule la bague de mise au point. (C’est une exclusivité des M et des M10 en mode liveview) Et toutes les optiques >35mm seront nettement moins bonnes dans les coins qu’avec un M10.
- 70% le CL ou TL2 + M-Adapter-L officiel (car seulement APS-C et pas de capteur de luminosité pour deviner l’ouverture)
- 50% le SL, SL2, CL ou TL2 sans la bague officielle. Car on perd les corrections automatiques, le capteur de luminosité, la molette de droite pour agrandir l’image, l’Auto-ISO, les EXIFS et l’IBIS pour le SL2.

Voilà à vous de voir si l’économie de la bague officielle vaut le coût ou pas. Mais je pense que non.

Or donc, et si j'envisage une optique M montée via une bague Novoflex sur un boitier Panasonic S1 (celui avec le modeste 24Mpixels), on obtient quelle désastreux % de rendement?...

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Ca y est il est officiellement sorti.
Dans huit jours, nous saurons qui des Sony/Nikon/Canon comparables et du S5 aura les faveurs des rédacteurs.
Et pour le photographe paisible que je suis, qui ne fait pas de vidéo, avec des optiques R et M anciennes, non codées, je patienterai pour savoir si un Pana S5 neuf ou vieux de quelques mois, un Pana S1 de belle occasion ou un Leica SL(1) pas trop rincé aura ma préférence dans un an...
Je crois avoir déjà une préférence à l'esprit.
Reste un point : a-t-on une idée de la disponibilité en France et des capacités de SAV en cas de révision/dépannage chez Panasonic Camera ?

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La vue verticale me plait bien !
Ceci dit, des toiles de Van Gogh très célèbres sont néanmoins plaisantes... ou pas, également.
On est dans le subjectif pur.
Ceci dit, je pense que ces optiques athypiques méritent d'être exploirées avec un réflex, pour bien construire ce que l'optique est capable d'offrir; alors qu'au télémétrique, c'est la loterie...

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Si le viseur se limite à 2.36 Mdots, en espérant que le confort de visée reste inchangé, ça risque de m'inciter à viser (c'est le cas de le dire) un S1 d'occasion plutôt qu'un S5 neuf...
Pour moi, le poids n'est pas un obstacle insurmontable, par contre la visée est discriminante, et je pense le S1 bien né, donc...
Mais attendons la présentation, puis les premiers retours d'expérience.

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"MISE À JOUR: Panasonic a annoncé qu'il organiserait un événement de lancement en ligne pour son nouvel appareil photo sans miroir plein cadre, le Lumix S5, le mercredi 2 septembre 2020 à 15 heures, heure d'été britannique."

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Un petit bruit laisserait présager de la sortie d'un "petit S1" ?
Pourvu que son viseur ne soit pas sacrifié pour un trou de serrure et que la stabilisation soit maintenue, ce serait alors un support idéal pour porter des petites optiques M !

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J'ai peur que le fait de généraliser l'autofocus et/ou le stabilisateur, donc les mécanismes qui vont avec, conduit à des limites en terme de taille et de poids telles que ça risque de ne pas être viable.
Je sais qu'en photo animalière, certains se retranchent sur des formats plus petits que 24x36 pour disposer sans trop de contraintes de gros télés, tout en conservant des profondeurs de champ assez réduites et une qualité d'image suffisante pour des agrandissements raisonnables.
Ce sont des compromis à identifier.
J'aimerais bien faire une photo avec un Pana S1 et un 560...Vu que le Pana est stabilisé et que son capteur n'est pas démesurément défini, ça doit matcher ?

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Il pourrait y avoir une solution, ce serait de créer un cluster national qui serait importateur et distributeur, histoire de massifier un peu les commandes, un cluster par pays serait sans doute une bonne échelle, voire un cluster pour l'Europe puisque l'Europe est un marché à monnaie unique, et des achats en ligne pour économiser le cout de boutiques à approvisionner au goutte à goutte.
Dans ce cluster, on y trouverait tout ce qui touche à l'argentique, en tant que boutique virtuelle ou lien avec des services dédiés (artisans réparateurs, labos, galleries d'exposition).
La structure devrait être peu capitalistique pour éviter des dérives de business opportuniste ou la rentabilité est une fin en soi, puisqu'on chercherait là à pérenniser une démarche technique et artistique.
En retour, ce serait une structure d'excellence pour valoriser les travaux artistiques issus de l'argentique.
Donc une plateforme technique, commerciale et culturelle de l'argentique.
Reste à trouver une pointure passionnée, dotée d'un beau carnet d'adresse et de quelques centaines de milliers d'euros pour concrétiser un projet, lui donner corps et l'animer.
L'espoir fait vivre !

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Reste maintenant à partager le retour d'expérience de cette réparation " à coeur ouvert" !

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Une aiguille de galvanomètre reste un moyen très précis et très conformable.
Il faut juste s'assurer à l'acquisition d'un M5 qu'il peut avaler une pile moderne et que le dit galva est en parfait état de marche, car la réparation risque de n'être plus possible.
Donc le prendre en main, s'approprier son ergonomie et faire une pelloche sont les démarches préalables à l'achat d'un M5, sans oublier le plaisir de faire connaissance en vrai avec son vendeur !

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Au risque de relancer une polémique, je serais d'avis d'envisager un M5 pour trois raisons :
- d'abord parce qu'il a une cellule intégrée d'une rare efficacité
- ensuite parce qu'il est dans la lignée des boitiers non électroniques et dans la bonne tranche d'âge
- enfin par ce que mal aimé à sa sortie, il est en train de remonter sa cote d'amour et reste aujourd'hui d'un prix raisonnable; compter1000 € en bel état avec son adaptateur de pile.

Et pour l'optique, faut pas charier, choisir une optique ancienne pas trop lumineuse, par exemple 35mm qui permet avec l'hyperfocale de ne pas trop rater de mises au point à la volée. On doit pouvoir s'équiper sans risque et pour de belle image pour 1500€

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Oui mais 5.6, c'est quand même pas très lumineux pour une optique moderne et pour une focale sommes toutes très médiane à moins que ça concerne la partie grand angle?...
je veux bien que le viseur électronique encaisse tout, mais quand même.

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Bonjour,
Je reviens sur ce sujet, suite à une électure récente sur un autre forum.
- Est ce que tous les 3.4/180mm ont été réalisés au Canada ?
- Est ce vrai qu'à l'origine, cette optique avait un fonction d'observation la conduisant à ne fonctionner qu'à l'infini ?
Et si oui, qu'est ce qui a conduit à étendre son emploi à la photographie" civile" ?
- Combien auraient été fabriqués ?

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je me pose quand même une question : ces nouvelles optiques ayant pour finalité de travailler sur des boitiers numériques récents, on a peut être à considérer des optiques dont la conception-restitution intègre une optimisation faite par le boitier, comme pour le 28mm du Q.
Dit autrement, si ces nouvelles optiques étaient exploitées sur des boitiers neutres, on obtiendrait quoi ?
Je pense que désormais, ce sont des couples optiques-boitiers qui sont optimisés.
Fini l'époque des diamants bruts montés sur des enclumes...

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