Il me semble que cette attitude fort connue et calquée sur certains maîtres manque de nuance et surtout de clarté:
- si je ne m'abuse, tout vient du noir et blanc où là il est bien plus simple, plus beau, plus gratifiant de prendre une pellicule sensible ou de la pousser
- mais en couleurs papiers et en lumière pauvre, dîtes moi comment faire pour éviter le flash:
+ avec la magnifique Fuji Superia 800 ISO, il est conseillé de se mettre à 400 en éclairage classique de maison sous peine d'avoir des couleurs jaune-brun dégueulasses (j'ai obtenu ça)
+ je viens de recevoir mes épreuves en NPH 400 ISO, malheureusement, un jour de temps fort gris, je tournais vers 1/30 et à nouveau dominante un peu jaune -marron alors que les couleurs sont splendides en fin de pellicule, jour ensoleillé.
- j'utilise donc, de moins en moins, le flash SF20 Leica, excellent en TTL mais à prix prohibitif, dont la tête n'est pas orientable, et que l'on ne peut décentrer qu'en rajoutant un cordon accessoire, à prendre chez Nikon ou Contax et dont le prix me fait un peu ....
Donc je suis bien d'accord avec vous, mais j'attends des idées pour la couleur en lumière pauvre. N'oubliez pas que la célèbre réputation justifiée du M d'être utilisable en "available light" vient avant tout du N&B; je n'ai absolument rien contre le N&B, mais de là à limiter mes prodigieuses optiques au N&B, je m'y refuse catégoriquement.
Alain