Avec beaucoup de retard j’adresse mes plus sincères félicitations à Thomas, dont le document Issu donne une ampleur et une richesse supplémentaire à ce travail.
Je dois avouer que je suis totalement ahuri par les réactions déclenchées... par... par j’ai bien du mal à comprendre quoi à la vérité.
Pour avoir découvert le fil assez tard je dois avouer ne pas avoir eu le courage de tout lire.
Je ne vais pas entrer dans les polémiques totalement surréalistes sur le rôle des enfants dans ce travail qu’il faut évidemment prendre au second voire au troisième degré, dont on sent bien qu’ils s’amusent et qui chez moi (père d’une petite fille) ne génère absolument aucun doute, aucun sentiment de malaise. Mais il n’est pas toujours aisé de comprendre l’oeuvre d’un artiste. Personne n’est à l’abri on va dire.
Ce qui m’a le plus interloqué c’est dans ce que j’ai pu lire c’est la remise en cause de l’utilisation de l’intimité pour s’exprimer, pour photographier. Une sorte de tabou en quelque sorte dont j'ignorais l'existence.
La mise en cause de l’utilisation de l’intime pour photographier, alors, là, le délire est total..
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Mesdames Messieurs qui pensez ça, surtout n’ouvrez jamais un livre d’Antoine d’Agata.
Ou si vous le faites, résistez à la tentation d’appeler la police dans le quart d’heure !
Et sérieusement, qui pourrait contester la dimension artistique du Marseillais ?
Encore bravo Thomas.